03/03/05 (B287) Radio-Trottoir : des nouvelles des épouses des fonctionnaires en poste à l’Ambassade de Djibouti à Bruxelles. C’est stupéfiant !!! (Lecteur)

Je pense que tout le monde
connaît bien mister Moussa Ali, j’espère qu’il m’excusera de
ne pas pouvoir écrire son troisième nom car si ma mémoire
est bonne il avait exigé de la journaliste somalienne de radio somaliweyn
de dire ses trois noms au complet à chaque fois quelle lui posait une
question : le fameux officiellement premier conseiller à l’ambassade
de Djibouti (c’est à dire n°2 ).

Je dis officiellement
car tout le monde sait depuis qu’il se fait séquestrer de 16 heure
à 21 heure à l’intérieur de l’ambassade puis tabasser
par la femme de ménage de l’ambassade et que son supérieur lui
a interdit de tenter quoi que ce soit contre cette femme que la réalité
est autre.

Je pense qu’il n’est plus
nécessaire de rappeler le nom de cette femme célèbre
depuis cette affaire. Il paraît qu’il y’a des gens qui viennent de la
hollande pour la voir tellement que l’histoire est incroyable : qu’une femme
de ménage séquestre et tabasse impunément l’ambassadeur
par intérim à l’intérieur de son ambassade, car c’est
le premier conseiller qui devient officiellement ambassadeur par intérim
lorsque le titulaire s’absente et c’était le cas ce jour là.

Non, il n’est pas seulement
connu par le milieu Djiboutien et même somalien grâce à
cette affaire. Il est connu aussi depuis l’interview qu’il a donné
à la journaliste SAIDA de la radio somaliweyn à l’intérieur
de l’ambassade, après une manifestation des opposants djiboutiens de
Bruxelles demandant un état de droit et la liberté d’expression
dans leur pays.

Lors de cette interview
il avait déclaré que les manifestants sont des djiboutiens qui
ont demandé l’asile au royaume de Belgique avec des fausses identités
somaliennes, et qu’ils viennent selon lui devant l’ambassade pour prendre
des photos. Notre soit disons premier conseiller n’avait certainement pas
préparer l’interview, je pense que c’est pour ça que 50% était
composé que de  » ma aragtayee  » ou des  » iiiiiiiiiiiiiiih
« .

D’une part, il saurait
que les djiboutiens qui ont demandé l’asile avec des fausses identités
somaliennes ne viennent pas devant l’ambassade prendre des photos et prennent
les risques de dévoiler aux autorités belges qu’ils sont djiboutiens.

D’autre part il n’aurait
certainement pas oublié que la majorité du personnel non diplomatique
de l’ambassade sont des djiboutiens et djiboutiennes qui ont demandé
l’asile en tant que somaliens(ennes) : oubli qui lui a valu la séquestration
et les coups qui l’ont conduit une journée à l’hôpital
car la femme qui l’a enfermé pendant 5 heure sans mangé dans
l’ambassade est elle-même une djiboutienne qui est là sous une
fausse identité somalienne et dieu sait combien ce sujet est tabou
dans ce milieu (proche du secret d’état).

Je pense que beaucoup
des lecteurs se demandent jusqu’à maintenant pourquoi ce type reprend
cette histoire aujourd’hui car c’est une affaire qui date d’avant l’été
et qui a fait couler beaucoup d’encre. Je pense que certains d’entre vous
se disent que c’est un djiboutien perdu au fin fond de la Norvège et
qui n’a entendu l’affaire que maintenant.

Détrompez-vous
chers amis lecteurs, je suis les informations de Djibouti pas à pas
comme presque tous les djiboutiens qui se trouvent à l’extérieur
dieu merci grâce au site de l’ARDHD. Il est révolu le temps ou
toute information concernant notre pays était filtrée et que
nous avions les yeux et les oreilles fermés.

Non, il y’a du nouveau,
ouvrez bien vos oreilles ou plutôt vos yeux car j’ai gardé le
meilleur pour la fin. J’ai repris toutes ces informations de long en large
pour donner plus de goût aux nouvelles de notre premier bras croisé
(oh_ excusez moi je veux dire premier conseiller) de soit disons Ambassade
de Djibouti à Bruxelles (capital de l’Europe ) qui est devenu une salle
des soirées pour les faux somaliens en mal d’animations sous prétextes
qu’ils veulent faire l’éloge de notre insatiable dictateur et son épouse.

Je sais vous avez envie
de me dire  » ne te perds pas dans les détails et crache le morceau
« . Je ne peux pas m’empêcher car ces détails sont vraiment
choquants pour tout démocrate comme moi quand on y fait attention.
Mais ne vous en faites pas l’information ne va pas se perdre dans mes pensées
trop démocrates qui n’acceptent pas et qui n’accepteront jamais aucune
humiliation sur ma personne ou sur mon identité djiboutienne quels
que soient les avantages qui accompagnent.

Juste après cette
séquestration et après que son supérieur lui a donné
l’ordre de ne pas donner suite à cette affaire. Notre numéro
deux de l’ambassade s’est sentit frustré de n’est pas se rendre justice
en radiant cette femme de ménage puisque normalement il est son supérieur.

D’autant plus qu’il croise
les bras depuis car il ne s’entend plus avec son chef qui, il paraît
tient beaucoup à la femme en question. Alors notre Moussa Ali a eu
peur de se retrouver tôt ou tard à la case de départ c’est
à dire comme simple fonctionnaire à Djibouti et de perdre tous
ses avantages ici en tant que diplomate. C’est pourquoi il a dépêché
sa femme au Canada dès fin juillet, pour quelle demande l’asile politique.

Elle était au Canada
pendant deux mois (août -septembre). Elle a effectivement demandé
l’asile selon des sources sures, pour assurer leurs arrières si ça
ne marche pas entre son mari et son ambassadeur. Comme ça, lui-même
peut la rejoindre par regroupement familial dès qu’elle obtient le
statut ! Entre temps, il croise les bras dans l’ambassade et se tait en acceptant
tout pour ne pas perdre ses avantages jusqu’à ce que le dossier de
sa femme aboutisse. Alors qu’il y’a peu il soutenait devant la journaliste
somalienne qu’il fait bon de vivre à Djibouti, qu’il ne comprend pas
que des djiboutiens viennent demander l’asile en Belgique et plus encore qu’ils
manifestent contre leur régime bienfaiteur .

Ce dernier temps notre
premier conseiller de l’ambassade en manque d’activités à l’intérieur
de l’ambassade, a trouvé une nouvelle activité ce dernier mois,
c’est à dire rechercher son esclave (excuse sa bonne) qui a quitté
(plutôt fuit )son lieu de séquestration. Depuis quelques mois
il court dans tous les sens avec la police belges en faisant intervenir quelques
relations qu’il ait eu en temps que diplomate à l’ambassade de Djibouti.

Trois ans plutôt,
il avait amené une jeune fille du somali, lui avait fait un passeport
Djiboutien, et avait fait voyager vers la Belgique. Elle a travaillé
chez lui trois ans sans mettre le pied dehors, sa patronne l’enfermait de
l’extérieur quand elle devait s’absenter. Elle n’avait pas le droit
de connaître des gens, encore moins d’avoir des contacts. Bref, avec
l’aide de dieu la fille a fuit la maison qui est devenu sa prison (car comme
vous le voyez, il n’y’a pas d’autre terme pour designer cette maison pour
elle).

Depuis monsieur Moussa
Ali passe son temps à fouiller avec des agents de la police belge des
maisons en maisons dans le milieu somalien. Nous reviendrons sur cette affaire
plus tard, car des amis suivent l’affaire de près et cherche aussi
la fille afin de la conduire auprès des associations de droit de l’homme
et des associations qui lutte contre la traite des êtres humains.

Elle est certainement
terrorisée et se cache quelque part, car elle ne sait pas qu’elle a
des droits ici en Europe et que l’esclavagisme moderne exercé par les
diplomates de certains régimes dictatoriaux (qui se croient tout permis
comme dans leur pays ) est sévèrement puni ici en Belgique qui
est la capital de l’Europe : la pauvre elle ne sait pas qu’il y’a des associations
qui luttent contre la traite des êtres humains, mais qui allait lui
expliquer tous ça. Il a dut certainement lui raconter, qu’il était
intouchable en tant que diplomate.


Pour terminer, j’aimerai dire au grand chef, Monsieur Ismael Omar Guelleh
: pas la peine de faire des publicités mensongères à
coût des millions des francs Djibouti dans le  » Jeune Afrique  »
car même les diplomates que vous envoyez dans les pays extérieurs
pour donner une bonne image de votre régime à l’extérieur
surtout dans la capitale européenne n’ont pas confiance à votre
politique et à la manière dont vous gérez les affaires
du pays et savent comme leurs mort que tôt ou tard vous mènerez
le pays à la ruine.

C’est pourquoi des diplomates
comme Moussa Ali ( n°2 de l’ambassade) ont une peur bleue de retourner
un jour chez eux à Djibouti et veulent assurer leurs arrières
en poussant leur famille à demander l’asile politique dans des pays
développer et démocratique (car seule la démocratie est
une garantie de stabilité dans un pays) comme le Canada et en jouant
l’hypocrisie jusqu’au dernier moment.

Alors, Monsieur Moussa
Ali les djiboutiens ont partout des oreilles. Tu pensais te moquer de qui
( en tout cas pas les djiboutiens car tout se sait dans la populas , à
moins que tu ne veux tromper ton dictateur) en critiquant les pauvres djiboutiens
qui viennent demander un état de droit, un avenir meilleur dans leur
pays en manifestant devant l’ambassade de leur dictateur. Alors que tu as
demandé toi même à ta femme d’aller demander l’asile au
Canada car tu n’as pas confiance à ISMEAL OMAR GUELLEH et l’avenir
meilleur qu’il prédit pour préparer sa compagne électorale.

D’un coté, j’aimerai
remercier Moussa Ali en mon nom et aux noms des simples démocrates
djiboutiens qui seraient tentés de croire aux mensonges du dictateur
IOG qui n’a qu’une seule idée en tête endormir les djiboutiens
le plus longtemps possible avec des belles paroles afin de profiter seule
des richesses du pays. Merci Moussa de nous avoir ouvert les yeux, en agissant
de la sorte, car tu nous prouves que IOG nous ment même si tu le soutien
publiquement pour ne pas perdre tes avantages éphémères.

Un
démocrate Djiboutien