27/01/06 (B334-B) Copiant les pratiques de Guelleh et de ses sbires, les singes (dont on connaît les capacités d’imitation de l’homme) se mettent à harceler les populations dans le district d’Ali Sabieh …. Sont-ils formés par la SDS et subventionnés par le Palais de l’Escal ? (Un peu d’humour à partir d’un article de La Nation qui nous a été adressé par un lecteur)

Dans un pays où les citoyens sont pris en otage,
les singes se révoltent !

__________________________________ Note de l’ARDHD (humour)

La Nation se fait l’écho d’un nouveau harcèlement des populations pourtant déjà placées en grande difficulté pour survivre en raison de l’appauvrissement et de l’asservissement imposés par le régime de Guelleh.

Ce sont les actions des singes. Très vite en lisant cet article vous ne pourrez pas vous empêcher de faire la comparaison entre les singes et les sbires de la SDS et autres organisations de Guelleh au service du crime et de la violation des Droits de l’Homme à Djibouti.

Au fond quelles sont les différences entre les singes et les misérables vautours de Guelleh ?

Ne parlons pas de l’intelligence, car les différences seraient peut-être beaucoup plus réduites qu’on ne le pense généralement.

Parlons du besoin : les singes ont un véritable besoin de manger et de boire. Les singes de Guelleh aussi, mais ils y ajoutent la cruauté et le sadisme.

La vraie différence c’est que les « obligés » de Guelleh doivent absolument plaire au patron pour survivre alors que les véritables singes n’en ont cure … à moins que … Guelleh n’ait trouvé un moyen universel pour acheter la conscience de toutes les espèces de singe. C’est qu’il en serait capable le bougre !!!

___________________________________________ La Nation

Assamo ou la révolte des singes 

Incroyable mais vrai. La nouvelle a été diffusée sur le service somali de la RTD, lundi dernier.


Malheureusement l’info n’a pas été reprise dans la langue française. Les agriculteurs d’Assamo petite localité située dans l’est du district d’Ali – Sabieh sont confrontés à un problème particulier. La menace que font peser les singes préoccupe au plus haut point les habitants du secteur qui sont en majorité des exploitants agricoles. Les cynocéphales dévastent régulièrement les jardins, saccagent les récoltes. Les agriculteurs exténués de voir leurs champs dévastés et leurs récoltes détruites sont sur le qui-vive et s’organisent pour se défendre et protéger les fruits de leur dur labeur.


 » Nous avons tenté de parvenir à un compromis avec les cynocéphales en leur fournissant chaque matin trois kilos d’oliviers. Nous leur avons également donné de l’eau…  Mais ce compromis a volé en éclat. Les singes ne l’ont pas du tout respecté, » a déclaré sans rire un surnommé Qash Fash, un des fondateurs de la coopérative agricole d’Assamo au micro du correspondant de la RTD à Ali Sabieh.


« Les singes ont continué à détruire nos jardins… », a expliqué le même homme.  » Cette situation nous est insupportable. Nous demandons aux bonnes volontés de tenter une médiation afin de faire revenir les singes à la raison et d’éviter que la situation ne dégénère, » a-t-il poursuivi sur  ton sérieux et préoccupé mais à la limite de la plaisanterie. L’homme est parvenu à son objectif. Faire passer son message avec humour. Beaucoup d’auditeurs ont éclaté de rire tant la situation décrite était insolite. Il a ajouté que  » les cynocéphales constituent une attraction touristique, de ce fait, nous ne comptons pas leur faire du mal. »


Le problème entre l’homme et son plus proche cousin (ardhd ?) n’est pas simple du tout. Il débouche en fait sur une question environnementale. Qash Fash a fait une excellente analyse des raisons qui poussent les  cynocéphales à prendre pour cible les exploitations agricoles. Aux yeux de cet agriculteur, la destruction du milieu naturel des singes avec le déboisement, l’accaparation des puits dont l’eau est pompée, tous ces facteurs aggravés par la sècheresse ont provoqué la révolte des singes . « Nous ne leur avons rien laissé » a déploré M.Qash Fash.


Vu  l’impact des  actions de l’homme sur l’environnement, il est tout a fait normal que ce dernier se retrouve à gérer des situations conflictuelles avec les représentants des autres espèces qui affamés et assoiffés viennent frapper à ses portes.

Note ARDHD : toutes ressemblances entre cette espéce animale et des membres de l’organisation Guelleh seraient forfuites et involontaires et uniquement une conséquence du hasard.