03/06/07 (B398) Radio-Trottoir – Petites nouvelles de l’Ambassade de Belgique. Tirs croisés à l’Ambassade de Bruxelles : les plaintes pénales se multiplient et les soupçons de commerces illicites

L’Ambassade
de Djibouti compte parmi son personnel beaucoup de chômeurs de luxe
qui coûtent une fortune aux contribuables djiboutiens.

En tête de liste vient Hour…. , suivi de Ch…. « délégation
» et l’invisible Hous… . Ceux-là sont les principaux
bénéficiaires de la largesse de ce micro-état où
la gabegie est la règle d’or en matière de gestion des
deniers de l’Etat.

1 – Le Hour…. en question est un délateur connu ;
il n’a point sa place au sein de sa communauté.

Rappelons
qu’il cotoie de nombreux espions « compatriotes » et en
particulier Hous… dit Twister que l’on peut rencontrer à
toute heure de la journée et de la soirée à la gare du
midi où il enregistre les mouvements des uns et des autres.

Nous avons
la preuve que Hour…., par l’intermédiaire de Twister, aurait
menacé des jeunes personnes d’actions coercitives contre leurs
familles restées à Djibouti si ces derniers et dernières
ne lui obéissait pas au doigt et à l’œil.

Dernière
frasques, nous venons d’apprendre que son épouse, la dénommée
Oum…….. S……. M…… B……, vient
de commettre un délit grave dans le royaume de Belgique. Elle est l’auteur
véritable d’un guet-apens, tendu à la gare du Midi, contre
la fameuse Aicha Afaria, qu’elle a gravement blessée avec des
complices

Aicha
Afaria doit méditer sur son sort car Oum…….. affirme qu’elle
bénéficie de l’appui total de Paulette, épouse
du chamelier et de celui de son oncle maternel, Général à
la tête des forces prétoriennes d’IOG et de l’ensemble
des espions dont fait partie son mari Hour…., dit « Hibou ».
Ceci nous rappel l’article publié il ya quelques semaines dans
les colonnes de l’ARDHD concernant les multiples infractions commises
par les différentes missions Djiboutiennes ayant été
présentent à Bruxelles.

De plus, pour ceux qui ne le savent pas Ouma……. M……
B……, dite Ouma S……., s’était fait passer
en Belgique en 1998 pour une réfugiée. Heureusement, elle avait
été dénoncée par de véritables réfugiés
politiques djiboutiens qui ne pouvaient pas accepter mystification grossière
alors qu’elle était toujours appointée par les Services
de renseignements djiboutiens. Pas découragée, avec l’aide
du falsificateur et de l’usurpateur IOG, elle est revenue en Belgique
depuis quelques années, mais avec un statut diplomatique cette fois
…

Savez-vous ce qui l’attire tant à Bruxelles ?

Oui !! Notre Ouma……. S……, se livre à des petits
commerces juteux. Elle fait commerce illicite de drogues telles que le khat
et initie beaucoup de jeunes belges à fumer la chicha améliorée
avec ajout de drogues dures. Pour créer la dépendance et une
clientèle fidèlisée, elle n’hésite pas à
jouer avec la vie de ces jeunes. Il faut dire qu’elle bénéficie
de la « complicité » de certaines familles djiboutiennes
réfugiées en Belgique. Cela pourrait expliquer de nombreuses
visites à l’Ambassade.

Le couple Hour…. et Ouma……. S……. est
maudi par la communauté Djiboutienne.

2 – Quant à Ch…. « délégation
», il poursuit sa fuite en avant pour échapper
aux fantômes qui le hante. Rejeté de sa famille, il ne peut plus
espérer retourner dans son pays d’origine. En plus, il ne se
sent pas en sécurité dans la capitale de l’union européenne
ou le régime, pour le remercier de sa traitrise envers sa propre famille,
l’a appointé en qualité de diplomate.

3 – Le cas de Hou….. est différent.
Entouré des amis de sa femme avec lesquels, il khate à longueur
de journée jusque dans les hôpitaux ou il est souvent hospitalisé
en raison d’une infirmité qui le met d’une « certaine
» manière à l’écart de tous soupçons.
Pourquoi est-il là ? Qu’a-t-il fait de si glorieux pour mériter
de vivre maintenant comme un PACHA ? Uniquement son appartenance tribale qui
est le seul moyen pour réussir à Djibouti. Je dis bien appartenance
tribale car s’il est en vie, c’est certainement grâce au
nom de sa femme et non au sien. Et sa femme, ce n’est pas n’importe
qui ….

La semaine
dernière, dans un état d’ébriété
fort avancé, elle a été à l’origine d’une
rixe dans un café de Bruxelles. Une plainte pénale a été
déposée contre elle.
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Nous lançons un véritable cri d’alarme à la communauté
Djiboutienne de Bruxelles, pour qu’elle se méfie du couple et
à l’équipe de l’ARDHD pour ne pas relâcher
pas sa vigilance eu égard à leurs agissements.

Nous vous tiendrons informer de l’évolution des plaintes
pénales.