30/11/09 (B527) Radio Trottoir (lecteur) Une stratégie, qui continue à éliminer.

IOG en pleine déprime !

Aperçu d’une stratégie, qui continue à éliminer.

  • A force d’éliminer les Patriotes, à force de traiter tous les dirigeants Djiboutiens d’apatrides, à force d’insulter les pauvres à ses bottes -> tous les dangers sont à toutes les portes,
  • A force de violer la Constitution et tous les Droits des citoyens, de violer tout, même le respect des religions, tout en rappelant que lorsqu’il était Chef de Cabinet, de son oncle, et responsable de la Sécurité Intérieure et Extérieure et bien avant l’assassinat commandité du Juge Français Bernard Borrel, les cloches des Eglises Chrétiennes avaient été sommées d’arrêter les sons des cloches dans un « pays » qui vient de se libérer du Colonialisme Chrétien.

La Suisse suit l’exemple des Mafieux de la Société des nations unies actuellement basée à Djibouti.

  • A force de déstabiliser nos voisins immédiats, d’abord la Somalie, aujourd’hui le Yémen, demain l’Erythrée et après demain l’Ethiopie, mais avant tout, faut-il s’attendre au démantèlement de Djibouti ?

Faut-il donc, pendant qu’il est encore temps de dénoncer et combattre les MAINS MISES des Forces Etrangères opérationnelles à partir d’Haramous

IOG en pleine déprime !

Certains Djiboutiens, souvent en cachette et doucement, disent « notre JEANNE D’ARC Djiboutienne, la Veuve Isabelle BORREL déstabilise le criminel IOG et à bon titre » .

En République de Djibouti, le Mafieux à la solde de la Mafia internationale, s’est mis à pleurer, en pleine déprime, de jour de la Fête Al ADHA.

Ces larmes de crocodiles, heureusement n’ont affecté personne.

Evidemment pour le jour de la Fête du mouton, ses cris dignes des pleureuses éthiopiennes que l’on achète pour les décès, sont franchement incongrus.

Des Procès auprès de la CPI, mais aussi comme prévenu à la Barre des Accusés dans les Tribunaux à Compétence Universelle s’approchent inéluctablement.

A bon entendeur Salut

Un patriote en plein combat
pour élucider la vérité.