28/12/09 (B531) Flash Info : assistons-nous au début de la débandade parmi les militaires sur le front de Doumeira ?? Maladroitement le Ministre, collabo et fils de collabo, tente de les faire passer pour des prisonniers, aux mains des Erythréens ..! (Info lecteur)
Douze militaires Djiboutiens ont abandonné leur base d’Andoli.
La version officielle émise par la propagande d’Haramous, pour mettre en cause l’Erythrée, parle d’Adgueino, car ce poste est situé au point d’intersection des trois frontières (Erythrée, Ethiopie et Djibouti). Il est clair que le régime cherche à obtenir le soutien des militaires Américains et de ceux de l’Ethiopie.
Ces militaires djiboutiens en avaient plus qu’assez de la gabegie qui règne au plus haut niveau de l’Armée nationale. Ils sont éloignés de leurs épouses et de leurs familles, depuis trop longtempos et ils sont constamment maltraités par la hiérarchie.
Pour refuser ces conditions imposées par le régime dictatorial, ils
ont pris armes et bagages et ils ont quitté leur camp le samedi 26 décembre 2009 au soir. Plusieurs sources concordantes laissent penser qu’ils auraient rejoint les combattants du FRUD, mais cela reste à vérifier.
D’après un responsable, proche du ministre des Affaires « Etranges », ces 12 militaires auraient été kidnappés par les Erythréens.
C’est ce même ministre, qui en pleine folie, avait récemment affirmé publiquement que le gouvernement Erythréen était constitué d’un bande de voyous désoeuvrés : c’était lors de sa dernière « sortie » fracassante devant les caméras de la RTD de Djibouti.
En pleine folie et se prenant même pour le ministre des Armées, il avait affirmé que les Erythréens détenaient 16 soldats Djiboutiens.
Curieux, car le Chef d’Etat-Major des Armées le Général de Division Zakari, lui-même et en personne avait affirmé que les Erythréens détenaient 19 de ses hommes. Qui croire ???
Qui dit la vérité ? Je conseille aux lecteurs de l’ARDHD d’interroger la Croix Rouge à ce propos.
Il serait intéressant de savoir, à l’issue du prochain conseil des Ministres, ce que va dire ce ministre aux ordres d’Haramous. Natif d’un bled situé dans la banlieue de Tadjourah, comment va-t-il présenter le ralliement de nos militaires aux combattants du FRUD, sachant que les faits se sont produits loin de sa nouvelle résidence qu’il a fait construire, avec prudence, à Arta, car, bien sur, cet enfant du Nord ne se sent plus en sécurité sur ses terres natales…, c’est à dire au Nord !!
Cependant, il faut l’excuser, car il était très jeune et il ne pourrait (peut-être ?) rien savoir des activités occultes (de collabo ?) qui auraient été commises durant la période coloniale par son père associé d’IOG, activités qui sont pourtant connues de toute la population..
Par Dahabo (Or en français)
épouse respectable d’un militaire.