28/03/10 (B544) Radio-Trottoir. Un bras de fer franco-djiboutien, que Guelleh a perdu (encore une bataille perdue … les échecs s’accumulent) (Info lecteur non vérifiée au moment de la mise en ligne)

Selon des sources généralement bien informées, l’Elysée aurait écrit à Guelleh pour l’informer qu’il ne soutiendrait pas son projet de 3ème mandat.

Le 21 Mars, IOG en réponse à cette décision a envoyé un courrier menancant à l’Ambassadeur de France à Djibouti. Entre autres, il aurait exigé que les FFDJ quittent Doumeira sous 24h00, faut de quoi les relations diplomatiques seraient rompues.

Sarkosy a rejetté ce dictat. Il a ordonné aux FFDJ de montrer leur force et leur présence au moindre signe de menace.

Durant la nuit du 23 au 24 Mars, huit chars des FFDJ ont pris position sur les routes autour du domicile d’IOG à Haramous de 20h00 à 5h00 du matin.

Toute la nuit, ses conseillers et les membres de sa cellule militaire se sont succédés chez IOG pour décider de la riposte la plus adaptée. Très vite, le constat a été établi et IOG a compris qu’il serait le premier perdant d’une épreuve de force contre la France et que la population pourrait profiter de sa faiblesse affichée pour marcher sur le Palais, tellement il est devenu impopulaire.

La sagesse conseillant de ne rien faire contre les forces armées françaises, IOG a avalé sa cravate et il a fait transmettre, dès le lendemain, ses excuses par son ministre des Affaires étrangères.

Le 25 mars au matin, l’Ambassadeur se serait rendu sur les lieux où le corps du juge Borel avait été retrouvé. Il a deposé une gerbe pour le souvenir et une citerne d’eau pour les nomades, sans se préoccuper ni du protocole ni des Affaires étrngères djiboutiennes, qui n’auraient pas été informées au préablable.

A-t-il voulu montrer par ce geste symbolique, que la France est chez elle à Djibouti et qu’elle a les moyens d’impliquer pénalement IOG dans la recherche des commanditaires de l’assassinat …. ?