01/10/2011 (B624) Témoignage : envoi d’un lecteur. Jeune fille étudiant dans la rue à la lueur d’un lampadaire …

Pour quelles raisons, cette jeune fille est-elle contrainte d’étudier le soir, seule sur un parking désert, à la lueur d’un lampadaire ?

Parce que l’EDD n’assure plus correctement l’approvisionnement des habitations des Djiboutiens ? C’est une certitude. Notons qu’en dépit des annonces arrogantes et irresponsables d’un pouvoir qui assurait, hier encore, que l’interconnexion des réseaux avec l’Ethiopie, permettrait d’assurer une bonne distribution de l’électricité … la situation est inchangée et elle se dégrade même.

Mais aussi, parce que les familles djiboutiennes ont été ruinées par la corruption généralisée et par les prélèvements inconsidérés et astronomiques qui sont effectués par Le Chamelier, sa Paulette, leurs proches et tous leurs obligés : les Warabeys ! Ces familles sont ruinées et les parents sont au chômage. Comment pourraient-elles payer des notes d’électricité à un tarif exagéré ?

Comment étudier dans ces conditions, quand la nuit est tombée ?

Cette jeune fille courageuse a trouvé une solution, mais dans quelles conditions d’inconfort et peut-être de danger.

Rappelons que la famille princière de pacotilles et ses complices ne manquent jamais d’électricité et qu’aucun d’entre eux ne payent ses factures, ce qui provoque une augmentation des tarifs pour la population djiboutienne en grand danger.