17/08/10 (B565) Troisième et dernière partie de l’intervention d’Abdallah Deberkalleh. Sur sa vision de l’opposition politique !
______________ 1°) A écouter en WMA – 3ème partie
_______________ 2°) A télécharger en MP3 – 3 ème partie
Lien de téléchargement
____________________ 3°) La fin de l’interview
Après la partie 1°) dans laquelle Abdallah Deberkalleh apportait son soutien à Jean-Paul Noël Abdi et dans laquelle il décrivait les risques en cas de développement de sentiments extrêmistes en réaction à la dictature injuste et aveugle, Abdallah insiste sur la nécessité d’assurer la gestion du pays en dehors de toute visée tribaliste.
Après la partie 2°) où il demandait aux différentes ethnies de cesser « leur compétition » et de construire ensemble les bases d’un régime démocratique, juste et soucieux des intérêts de toutes les populations sans distinction d’origine ethnique
Dans cette troisième partie, Abdallah Deberkalleh expose l’analyse qu’il fait des opposants politiques et il dénonce le manque de franchise de certains, qui poursuivraient à son avis, d’autres objectifs, que ceux qu’ils annoncent. A. Deberkalleh recommande d’éviter la guerre et il conseille aux jeunes de ne pas s’enroler dans la résistance, car cette résistance sera utilisée Guelleh pour légitimer son viol constitutionnnel. Pour Deberkalleh, le risque majeur est une radicalisation des populations les plus vulnérables et les plus harcelées par le régime, avec à terme, même s’il ne le dit pas, le risque du développement d’une situation à la somalienne.
C’est un cri du coeur ! Quand ils demandent aux représentants des différentes ethnies de se concerter et de travailler ensemble pour éliminer leur ennemi unique : le régime en place et ses dignitaires, en commençant par Guelleh.