19/09/10 (B570) VERITE : ARIKO est un bijou précieux (Lecteur)

Combien de Djiboutiens savent que la personne qui signe sous le pseudo d’Ariko est une personne précieuse et courageuse qui nous fournit sans cesse des informations précises et exclusives.

Le sergent Moussa Hassan est un citoyen modeste, un enfant du pays, un homme qui aime ses origines, le peuple et son identité.

Ayant toujours le souci de mieux informer ses concitoyens, il est déterminé a dévoiler la vérité, à enquêter et à regrouper les informations. Il est bien informé et il conduit des enquêtes de qualité pour élucider les faits et les crimes orchestrés par la famille au pouvoir.

Ses écrits dérangent le régime tyrannique et le Prince. Il décrit avec précision les méthodes utilisées pour créer la rutpure entre le pays, son peuple et les différentes communautés qui le composent. Il s’arrête sur les crimes organisés, la violence quotidienne, la séquestration et la mise en prison ferme d’honnêtes gens sans défense.

Son organisation pour la recherche des scoops est sans concurrence. Il a toujours la volonté d’approfondir les faits pour mieux informer les citoyens et pour déshabiller le fils de l’oued.

En faisant cela, Ariko jette de l’huile sur le feu qui couve dans les plus hautes sphères du pouvoir, en racontant la mise en scène complète d’un crime odieux contre une personnalité honnête.

Note personnelle concernant le Sergent-Chef Ariko, quand il servait dans la Gendarmerie nationale.

  • Elément sérieux et consciencieux
  • Très bon gradé, très humain car il aidait souvent les nouvelles recrues affectés dans son service,
  • Actif et très productif pour améliorer le service
  • Ayant un grand cœur, il aimait toujours la transparence et la liberté
  • Il s’est opposé à de nombreuses reprises à la routine et à la mauvaise organisation du service
  • Il refusait souvent les mauvais ordres d’un chef borné ou d’un galonné ayant eu la promotion du fait de son appartenance au clan au pouvoir
  • Toujours compétent, professionnel, il refusait d’abaisser les uns et de glorifier les autres
  • Il était reconnu pour son franc-parler car il était juste et honnête
  • Etant un s/off exemplaire, il maitrisait parfaitement la situation dans son détachement.

Les Djiboutiennes et les Djiboutiens sont fiers d’avoir un homme de cette trempe pour dénoncer avec fermeté la pourriture du régime et la nature criminelle de son Chef IOG.

Cher Ariko ! Vous avez traversé le marigot. Il ne vous reste plus qu’à traverser l’océan pour démonter tous les rouages de la tyrannie qui nous asservit : la malédiction du fils de l’Oued qui détruit le pays, sa société, la fratenité et l’économie.

MERCI……….FRERE ARIKO, BON COURAGE