01/03/11 (B593) Vérité -> la conscience perturbée du tyran qui a perdu la raison et le bon sens. Appel aux leaders de l’opposition(Lecteur)

Le tyran a perdu la raison et ils attaquent les leaders d’opposition et les manifestants qui demandent son départ.

La vie de nos concitoyens est préoccupante, les honnêtes gens sont menacés quotidiennement, les jeunes sont violentés, les leaders sont humiliés devant leur famille, tous ces actes du prédateur sont commis contre un peuple qui demande seulement le départ du dictateur.

Le dictateur a mis en marche ses machines rouillées pour disperser, avec violence, les manifestations pacifiques d’un peuple uni qui est prêt à lui arracher sa liberté.

IOG a créé des milices avec des membres de son clan recrutés dans les camps de réfugiés et des éléments mercenaires en provenance des pays voisins pour gonfler les effectifs de la garde républicaine. Tout cela montre qu’il refuse de céder le pouvoir au peuple.

IOG est actuellement dans une très mauvaise position, car il a de moins en moins de soutien de la part des citoyens. Même la terre djiboutienne refusera de donner asile au fils de l’oued et à ses mafia-warabeys.

Il n’a plus la force de résister au vent de la démocratie qui souffle fort dans notre pays pour redonner une vie décente au peuple.

IOG est dérouté par l’évolution de la situation et il croit encore qu’avec de l’argent sale, il va pouvoir acquérir des vieux chars en Afrique du sud et que la garde républicaine du clan va le maintenir sur le trône, <vous chantez monsieur, bientôt vous danserez …. >

IOG a perdu d’avance ! ses vieilles méthodes pour terroriser, mettre en prison les défenseurs des Droits humains, les leaders honnêtes de l’opposition. Son image de dirigeant est discrédité dans l’opinion internationale, le mot « Grand dictateur chevronné » lui colle à la peau.

IOG refuse de voir la réalité, de juger, d’améliorer la transition, d’écouter le peuple, alors s’il continue dans cette mauvaise voie, il sera malmené par un peuple soudé et assoiffé de la liberté.

IOG vit au jour au jour, Il dort peu, il a perdu bon sens et il se refuse à abandonner le pouvoir pendant qu’il est encore temps pour lui et pour sa famille. Il ne sait pas quel sera le jour J, celui où le peuple se dirigera vers Haramous pour le contraindre au départ.

IOG croit aux fausses informations de son clan. Il imagine encore qu’il peut encore protéger la nomenklatura, les proches, les familles des « obligés ». Il raconte souvent, <>

IOG refuse d’obtempérer à l’appel général d’un peuple soudé qui demande seulement le départ du gourou et qui veut éviter la guerre civile au sein du pays.

Le peuple djiboutien lance une mise en garde aux milices étrangères, à la garde républicaine recrutée à la hâte dont le rôle est de terroriser les citoyens, les jeunes, les citoyens, car tous ces responsables seront jugés selon les actes qu’ils ont/auront commis contre la population.

1- tôt ou tard IOG va partir
2- les officiers récalcitrants et inhumains sont répertoriés
3- les milices du clan sont connues d’avance
4- les responsables des opérations nocturnes seront jugés sur la place de la liberté
5- les services de sécurité (police-gendarmerie) à la solde du dictateur qui assument des missions spéciales pour éliminer les honnêtes gens qui refusent la politique d’autruche du tyran, seront poursuivis et passibles d’être déférés devant un tribunal international.

J’informe tous ces éléments qui adorent IOG, que le fils de l’oued vit dans le brouillard de ses mensonges et que bientôt il va partir et qu’il va fuir en vous laissant seuls assumer vos acters devant le peuple. Pour vous, alors, ce sera trop tard, car vous aurez des comptes a rendre au comité de la libération.

Prenez vos précautions. Il y a des limites a ne pas dépasser et vous devez respecter la révolution, et soutenir votre communauté, votre peuple, votre pays qui demande des sauveurs. Je vous signale également que le peuple est décidé, et prêt à continuer a la recherche de sa liberté, et à manifester à tout moment dans la capitale et dans les cercles jusqu’à chasser le tyran et ses apatrides hors du pays.

Cher peuple, unissez vos forces, assumez vos responsabilités pour mieux accueillir la démocratie et pour mieux diriger la révolution