05/09/08 (B463-B) ONU / La Nation. En matière de technologie de l’information et de liberté sur Internet, le régime de Guelleh se classe en 157ème position sur 183 pays. Depuis le temps qu’on vous dit qu’il est liberticide et interneticide….C’est l’ONU qui le dit aujourd’hui de façon officielle !
_________________________________ La Nation
Selon le rapport 2008 de l’ONU sur le e-gouvernement, qui classe 183 pays en fonction de différents critères, Djibouti pointe à la 157e place mondiale. Notre pays occupe le 16e rang des pays arabes utilisateurs des NTIC.
Selon le rapport 2008 de l’ONU sur le e-gouvernement, qui classe 183 pays en fonction de différents critères tels que les services administratifs en ligne, sites gouvernementaux, monnaie électronique ou paiement en ligne et mesure pour chaque Etat l’avancement des technologies de l’information et leur utilisation pour améliorer l’accès aux services publics, la Suède arrive en tête du classement, suivie du Danemark, de la Norvège , des Etats-Unis, de la Hollande et de la Corée du Sud qui devance les autres Etats asiatiques.
Djibouti pointe à la 157e place mondiale. Notre pays occupe le 16e rang des pays arabes utilisateurs des NTIC. Le pays serait, semble-t-il, mieux loti dans ce domaine que le Soudan, le Yémen et la Mauritanie qui le talonnent.
Les Emirats Arabes Unis arrivent en tête du classement des pays arabes. Bahreïn, la Jordanie, le Qatar, le Koweït, l’Arabie Saoudite, le Liban, l’Egypte, Oman, la Syrie, La Libye et l’Algérie…maîtrisent assez bien les atouts de l’e-gouvernement. Le terme désigne l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC) par les administrations publiques visant à rendre les services publics plus accessibles à leurs usagers et à améliorer leur fonctionnement interne.
Contrairement à ce que l’appellation pourrait laisser penser, il ne s’agit pas simplement d’utiliser l’Internet en lieu et place des moyens de communication papier ou d’informatiser les procédures existantes, mais de les repenser pour améliorer la productivité de l’administration et les services rendus aux usagers.