30/09/2011 (B623) Radio-Trottoir : la République bananière dans tous ses états. Un lecteur nous propose deux informations qui ont été déjà été publiées sur d’autre sites.

Mohamed Hassan Abdillahi, secrétaire général du gouvernement dans le collimateur des USA

Un Vice Dictateur à l’abri des regards

S.E.M. Mohamed Hassan Abdillahi, comme il est mentionné partout sur les documents officiels de la République, n’est ni plus ni moins qu’un Vice-Dictateur discret, qui préfère être à l’abri des regards de l’opinion publique nationale.

Aux affaires du gouvernement depuis plus d’une décennie, S.E.M. Mohamed Hassan Abdillahi, souvent qualifié de paresseux notoire, connu pour son amour indéfectible du khat (mais aussi, murmurent certains, pour un certain penchant pour les jeunes filles) est le numéro 2 du système Iogiste, « l’éminence grise ».

Ce personnage controversé au caractère trempé, sert-il d’anti-chambre pour amortir toutes les dérives contre la République et les citoyens ? Connu pour ses sautes d’humeur et sa fascination pour le système dictatorial, grand amateur de la discrétion et des détournements des deniers publics, il aime s’imposer aux ministres comme le Vice-Président et sa parole équivaut à celle du représentant de la « Famille mafieuse».

Et pourquoi pas, vous direz-vous ? Certes, la constitution Djiboutienne ne prévoit pas de Vice-Président. Même le poste de premier Ministre est dévalorisé puisque c’est le dictateur qui concentre à lui seul tous les pouvoirs d’Etat. Le revers, c’est qu’il ne peut pas gérer à lui seul sa boutique nationale et qu’il a besoin d’un second.

Donc, l’astuce était simple. Il a créé le poste de Secrétaire Général du Gouvernement, comme un triple moyen d’abord de substitution au poste de 1er Ministre, voir d’un Vice-Président, qui contrôlerait à lui seul le gouvernement et sous le regard bien veillant du malade mental à la tête de l’Etat et de la Reine de pacotilles et ensuite mettre sur la touche toute représentation d’un citoyen de la communauté Afar pourtant légitime pour un tel poste.

Seulement voilà, depuis la publication d’un document officiel signé par le « Vice-Président » S.E.M. Mohamed Hassan Abdillahi, ordonnant au Ministre de l’intérieur de l’époque, Yacine le Gros Nounours Trouillard, d’intensifier les écoutes sur des opposants, les Djiboutiens ont compris les importantes responsablités dont jouit ce « paresseux notoire ?» au sein du système mafieux.

Pire encore, il faut savoir, que S.E.M. Mohamed Hassan Abdillahi est une de personnalité clé, qui contribue en permanence, à l’enrichissement du Somaliland avec les milliards de nos francs détournés en sa faveur.

Mais depuis la venue de la nouvelle Ambassadrice américaine, Geeta Pasi, le clash entre elle et ce dernier n’a pas tardé. Jeudi 22 septembre, « le paresseux notoire ?» S.E.M. Mohamed Hassan Abdillahi a voulu s’interposer entre les agents du FBI revenus à Djibouti pour poursuivre l’enquête sur l’assassinat sauvage du responsable de la sécurité à l’ambassade US de Djibouti en ordonnant à toutes les sécurités d’Etat (SDS, POLICE…) de ne pas collaborer avec eux.

Cette obstruction à l’enquête ne laisse aucun doute quant à la détermination du dictateur à liquider tout individu dont l’assassinat lui servirait un moyen de pression sur les puissances présentes à Djibouti et en mémoire , l’affaire Borrel.

Depuis la nomination à Djibouti au poste d’Ambassadrice de Mme GEETA PASI, les USA ne comptent plus entendre de cette oreille et ils sont déterminés à connaître la vérité sur les meurtres de leurs ressortissants et de leur employé même s’il est de nationalité djiboutienne.

La réponse de l’ambassadrice au caractère implacable ne tarda pas à venir. Elle ne compte pas se laisser impressionner ni par le dictateur ni par les charlatans autour de lui. Elle pris des mesures contre des personnalités politiques : refus de toute demande de visas émanant des officiels qui souhaiteraient se rendre aux USA, quelque soit le motif. Et cela tant que Djibouti continuera de refuser de collaborer dans l’enquête judiciaire sur cette affaire.

GEETA PASI, bien briefée par son prédécesseur, James SWAN sur les mœurs et les trafics en tout genre du dictateur et de ses proches, compte a priori porter atteinte à une certaine impunité qui a régné jusqu’à maintenant, en y apportant une détermination absolue pour mettre fin à des pratiques malsaines et mafieuses auxquelles s’ajoutent des crimes gratuits.

La monarchie commence à se fissurer de toute part et le bateau que le mafieux croyait éternel, commence à prendre l’eau et les rats s’échappent, les uns après les autres.

Merci GEETA PASI

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Le pick-up blanc qui livre repas et khat aux Al-Shababs à Djibouti

S’il est dit des vérités sur les têtes pensantes de la grande « Familia », la mafia Djiboutienne,en l’occurrence, la « dernière » Dame du pays et son mari le dictateur IOG, d’autres personnages aussi néfastes pour notre société ont toujours existé depuis l’arrivée du IOG aux affaires Djiboutiennes pour ne pas dire à la tête d’un Etat qui n’existe pas.

Si les uns et les autres sont connus et reconnus pour leurs vices, d’autres tous aussi dangereux mènent la barque de la destruction et de l’instabilité de notre cher pays.

Cette barque cachée, est à la hauteur du vice par excellence que cache notre autre bédouin du système mafieux, Ismaël Tani, « le médiocre », nommé Secrétaire Générale de la Présidence .

Cet extrémiste en tout genre, tribal, anti Djiboutien et islamiste, dont la réputation d’homme radin et aigri, sale et menteur fait la une auprès de nos compatriotes, semble se livrer depuis depuis 3 ans, à un exercice périlleux pour le pays.

Déjà en 2000, son acte d’homme voyou, avait fait du bruit jusqu’à même rendre furieux, son ami le dictateur, pour avoir expulsé de force, avec revolver à la main, le propriétaire de son domicile actuel à coté de l’école de la nativité, pour avoir juste eu le tort d’être d’origine arabe.

Le comble, à cette même époque, il épousa une jeune Djiboutienne d’origine arabe, et il lui fallait une villa digne de son nom pour épaté sa nouvelle compagne tout en plaçant femme et enfants de son 1er mariage, dans une bicoque à Balbala et ne plus donner signe de vie.

Au-delà d’abuser du système, le « médiocre » semble être un déstabilisé de la nature. Ce petit chiffonnier de la « Maison Présidence » cultive un tout autre vice, celui de faire exploser le pays, dans une tromperie grossière que nous remarquons tous.

Si le dictateur croit tromper la communauté internationale dans son double jeu, à la fois celui d’un homme de paix de la région, pour autant sa promesse d’une guerre sanglante à la société Djiboutienne est très palpable.

Dans cette mission, ce dernier délégua depuis quelques années, à son ami Ismaël Tani « le médiocre », ou le « simplet » la gestion de l’accueil en république de Djibouti, des membres de Al-Shababs, non pas pour amour pour leurs beaux yeux, mais pour les impliquer dans un crime qu’il compte perpétrer contre les Djiboutiens au cas de soulèvement populaire qui le mènerait à sa destitution.

En cette raison, des immeubles de « l’Etat », comme celui derrière le commissariat central à côté de l’ANEFIP ou encore, le fameux immeuble du défunt président, boulevard Nasser où la présidence concède un loyer de plusieurs millions de nos francs au neveu, surnommé « Sakatouré » ont été réquisitionnés et servent des lieux de planques pour ces criminels « autorisés ».

Depuis quelque temps, les Djiboutiens observent les ménages grossiers d’un PICK-UP blanc, portant l’immatriculation de la présidence, venir livrer quotidiennement, grosses courses, vêtements et khat aux résidents de ces planques qui commencent à faire véritablement du bruit auprès de l’opinion publique nationale.

A plusieurs reprises, les allers et venues du « médiocre » dans ces lieux, ont été remarqués d’où, l’inquiétude grandissante au sein de la population.

Comme si la famine à laquelle ils ont exposé le peuple ne leur suffisait plus, les voilà qu’ils lui préparent des cadavres jonchés au quatre coins de la rue.