Pour le moment, nous sommes incapables d’apporter une réponse à cette question mais l’aspect quasi systématique du refus de délivrer des Visas, quand les demandes sont faites par des personnes en lien direct ou même indirect avec l’opposition (et bien que leur dossier soit compet) soulève des interrogations.

Au travers de ses bons offices d’assistance pour des pays, comme la Belgique, l’Ambassade de France s’est-elle auto-attribuée un pouvoir de Veto sans en référer le moins du monde à l’Etat concerné.

Va-t-on assister dans les prochaines semaines à la fin de ces pratiques douteuses : les décisions prises au Consulat de France à Djibouti par M Pascal LOREAU au nom d’autres états européens sans les en informer. Avons-nous mis le doigt sur une anomalie ? Car selon les grands principes du droit français, toute personne qui reçoit un mandat, doit informer des actes et décisions (prises en son nom) le mandataire.

++ Les Affaires étrangères françaises au-dessus des Lois ?

Nos compétences en matière juridiques sont limitées, mais suffisantes pour poser des questions pertinentes lorsqu’une règle de droit commun ne semble pas être respectée par un Ministère de premier plan.

A titre d’exemple:, les services consulaires d’un autre Etat, domiciliés à Addis Abeba pourraient-ils demander des comptes à la France sur les refus de Visa pour entrer sur son territoire ? Des informations confidentielles, qui nous ont été transmises, laissent penser que les choses pourraient changer dans un proche avenir ….

++ Qui a donné les ordres de refuser toutes les demandes de Visa déposées par des Djiboutiennes ou des Djiboutiens, soupçonnés d’avoir des liens directs ou indirects avec l’opposition ?

M. Pascal LOREAU, le petit Consul de France. Sa patronne Mme Dana PURCARESCU ou directement le Ministère des A.E. ?

Alors, lequel va répondre à cette question simple ?