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30/06/11 (B610) La sécession du pays Afar ? Oui, mais s’il n’y avait plus d’autres alternatives ! A nous tous de nous mettre au travail pour réunir toutes les communautés et pour faire échec aux plans machiavéliques de Guelleh et associés ! (Par Omar Gabassé)
/dans Gabasse, Point De Vue/par jlschaalMon article, qui a été publié à ma demande sur le site de l’ARDHD, dans lequel j’évoquais la possible sécession de la région Afar, a soulevé de nombreuses réactions qui m’ont été adressées par nos compatriotes.
Je m’en réjouis et il me paraît nécessaire maintenant de clarifier ma position.
Bien entendu, lorsque j’évoque le mot sécession, je le fais à deux titres :
– D’abord, comme une provocation, en espérant qu’elle suscitera une prise de conscience de la part de tous nos compatriotes afin qu’ils rejettent les projets machiavéliques fomentés par les tenants illégitimes du pouvoir à Djibouti,
– Ensuite, parce qu’il s’agirait pour nous les Afar, d’un choix ultime pour éviter l’extermination programmée de notre pays, de nos surs et de nos frères.
La sécession serait une décision grave qui entraînerait des conséquences incalculables pour chacune et pour chacun. La décision ne pourrait être prise qu’après avoir fait le constat de l’impossibilité de vivre en paix et en harmonie dans notre pays, sur nos terres ancestrales.
Il faut donc l’éviter ! Comment cela ?
C’est simple ! Nous les Djiboutiens, nous vivons sur une terre commune, qui a des frontières reconnues. Issus de différentes origines et élevés dans des cultures différentes, nous devons profiter de cette source de richesse.
Nous combattre, au contraire, serait suicidaire, car chaque communauté se recentrerait sur ses racines.
Dans ce cas, quelles pourraient-être les espérances ? A une époque où la mondialisation est le maître-mot, où les organisations, les peuples, les pays, se regroupent ou s’allient pour peser dans le concert international (La création de l’Union européenne est un exemple parmi d’autres, etc..) ?
Fragmentés, divisés, repliés sur eux-mêmes, les Djiboutiens ne trouverait que la « mort économique » au bout de la route !
Nous devons au contraire réaliser que chaque ethnie a besoin des autres ethnies pour souder la population autour de la construction d’un avenir concerté et prometteur.
Or c’est le contraire qui se passe actuellement !
Pour se maintenir illégitimement au pouvoir, les plus hauts responsables de la République, pratiquement tous natifs de l’étranger, tentent de dresser les communautés les unes contre les autres et ils désignent les boucs-émissaires (Méthode souvent utilisée par toutes les dictatures : désigner un ennemi pour faire oublier les problèmes du pays).
Même si ce n’est pas la seule tribu à avoir payé le prix fort, les Afar sont particulièrement visés par cette politique de court terme. Après avoir éliminé progressivement la majorité des cadres, puis les employés Afar des postes à responsabilité et des emplois stables, la phase de l’extermination physique a été lancée. Cela dure depuis des années !
Avant tout, nous sommes des femmes et des hommes de paix, souhaitant vivre en harmonie avec nos surs et nos frères des autres ethnies autochtones du pays. Mais jamais nous ne pourrons accepter d’être la cible à abattre et nous devrons résister par tous les moyens à l’oppression et à l’injustice. Comment ?
La guerre n’apportera que des malheurs, alors il restera la sécession.
Il faut que nos surs et nos frères natifs du pays comprennent notre position et qu’ils ne se laissent pas « embobiner » par le discours officiel de ces étrangers, qui désignent les Afar, comme étant les responsables de tous les malheurs du pays. Alors que les véritables responsables de la faillite : ce sont eux !
En évoquant la sécession de la région Afar, j’ai voulu tenir ce discours à nos surs et frères issus d’autres communautés pour leur dire simplement : « Nous les Afar, nous souhaitons vivre en paix avec tous et construire un pays de droit, où la justice sera la même pour tous. Nous mettrons toutes nos forces, notre expérience et notre courage au service de la Nation. La seule condition est que vous fassiez de même et que vous rejetiez définitivement les discours de propagande des tenants du pouvoir. »
Ensemble nous pouvons mettre un terme à la dictature et reconstruire notre société multi-ethnique dans l’harmonie, la paix et le respect de l’autre. Et que les grincheux qui s’y opposeraient, soient mis à l’écart et même rejetés par leurs communautés respectives.
30/06/11 (B610) Quand Paris installe » démocratiquement » les chefs d’Etat africains (Info lectrice)
/dans 3ème Mandat, Canard/par jlschaalLien avec la source : cliquez
L’hebdomadaire français « Le Canard Enchaîné », dans l’article ci-dessous, publié le 22 juin, n’apprend rien aux Africains sur le sujet. Ceux-ci savent de longue date que les chefs de comptoirs coloniaux que sont les hommes qui les gouvernent ne sont rien sans " la mère patrie " qui les a adoubés et bénis.
Sur les fraudes bénies par Paris ils n’ont besoin de personne pour le savoir : ainsi les Congolais savent-ils qu’en 2009 Sassou par exemple a été élu par 10 % de la population, ce que se sont bien gardés de rapporter les " observateurs " français dépêchés sur place, histoire peut-être d’avoir une chance de revenir au palais de Mpila la prochaine fois, un endroit où, paraît-il, la soupe est bonne.
_____________________ « Le Canard Enchaîné »
Paris a béni les trucages électoraux africains
La France ne se contente pas de soutenir, sans états d’âme, certains dictateurs africains, elle ne craint pas d’en rajouter en jouant les vigies de la démocratie sur ce continent. Des observateurs pointilleux surveillent, en son nom, la régularité des élections. Et Paris participe très activement aux « programmes de soutien à la démocratisation » supervisés par l’Union européenne. Cette année, avec 18 scrutins présidentiels – un record – plus une multitude d’autres élections, l’« observation » marche à plein régime. Bruxelles y met les moyens : 38 millions !
Peu curieuses ou tenues à l’écart des tricheries, certaines missions sont une aubaine pour les pays « invitants ». Elles leur permettent de s’offrir une caution internationale et de conforter leur pouvoir. D’autres rapports, franchement critiques, eux, sont inopérants. Leur publication intervient plusieurs mois après le scrutin. Uand tout est oublié.
Exemple : les légilsatives de février au Tchad. Un observateur français, consulté par « Le Canard », les qualifie de « mascarade ». Les remarques gênantes de la mission dont il était membre n’ont été rendues publiques… que le 27 mai.
Quelques jours après le vote, Catherine Ashton, ministre des Affaires étrangères de l’UE, a donc salué le « bon déroulement » des opérations dans un « climat apaisé et serein ». Au pouvoir depuis son coup d’Etat de 1990, le dictateur Idriss Déby en est sorti plus fort. En avril, il a été triomphalement réélu président. Cette fois sans témoins internationaux.
Pas de tintouin au Congo
Autre parodie, il y a trois mois, en Centrafrique. L’ONU et Bruxelles avaient pourtant dépensé 9,5 millions et Paris 500 000 euros pour l’organisa¬tion du scrutin présidentiel et le déplacement des observateurs. Dans leur rapport : urnes fictives ou bourrées, bulletins non comptés (25 %), violences et intimidations d’opposants. Et « réélection » (65 % au pre¬mier tour) du général Bozizé…
Les experts internationaux ont relevé des facéties du même calibre au Congo et en Mauritanie (juillet 2009) ainsi qu’au Togo (février 2010). La France, impavide, a célébré la « victoire » des présidents sortants. Alain Joyandet, à l’époque ministre de la Coopération, s’est autocongratulé au sujet de l’un d’eux, arrivé au pouvoir par un coup d’Etat quelques mois avant cette élection : « C’est grâce à nous, quelque part, qu’en Mauritanie la démocratie revient. »
Bien sûr, les observateurs ne sont pas toujours de simples faire-valoir.
Leur apport a, par exemple, été reconnu lors des récentes élections en Guinée et en Côte d’Ivoire (novembre 2010), qui ont abouti à l’alternance. « Et l’arrivée d’une délégation étrangère est toujours un signe d’espoir pour les populations opprimées », constate une habituée des missions dans les ex-Républiques soviétiques.
« Le problème, renchérit un familier de l’Afrique, c’est que nos critiques — même virulentes — ne sont pas suivies de mesures de contraintes à l’égard des régimes. » Ainsi, alors que le rapport sur la présidentielle éthio¬pienne, en 2005, s’annonçait calamiteux, Javier Solana, haut représentant pour la politique étrangère de l’UE, avait, comme le raconte « Jeune Afrique », invité en grande pompe à Bruxelles le vainqueur et roi de la fraude, Meles Zenawi.
Pour certains « observateurs », les conditions matérielles des missions ne sont pas à négliger. Le job est dépaysant et bien rémunéré : de 150 à 200 euros par jour, billet d’avion payé. Les experts dits « de long terme », qui préparent durant des mois, sur le terrain, l’arrivée de leurs collègues « de court terme », peuvent, eux, toucher plus de 10 000 euros mensuels.
Admirateurs de Ben Ali
Mais l’appât du gain ou la sympathie pour un régime gé¬néreux suscitent d’autres vocations. Sous le couvert, parfois, d’un organisme bidon, des élus, des juristes ou des uni¬versitaires s’improvisent « observateurs indépendants ». Edmond Jouve et André Decocq méritent d’être cités en exemple. En octobre 2009, ces deux profs de droit avaient cau-tionné les législatives organi¬sées par Ben Ali, dont ils sou¬lignaient « l’intégrité et la transparence ». Fallait oser…
Au Burkina (novembre 2010), l’ancien ministre Jacques Godfrain, un parlementaire UMP et un dirigeant de Bolloré, ont salué la troisième réélection (irrégulière) du président Blaise Compaoré. Au Congo- Brazzaville (juillet 2009), l’ex-ministre Jacques Toubon et les députés UMP Jean-Michel Fourgous et Jean-François Mancel ont porté la soupe à l’inoxydable Denis Sassou Nguesso.
Il s’est aussi trouvé des témoins complaisants pour juger « libre, transparente et crédible » la présidentielle de Djibouti (avril 2011). Ismaël Omar Guelleh y a été sacré avec 80 % des voix. La France, qui, avec les Etats-Unis, soutient à bout de bras cet autocrate, a envoyé le 8 mai Henri de Raincourt féliciter l’heureux élu. Ministre de la Coopération, il y a croisé – sans faire la moindre remarque – le Soudanais Omar El Bechir, poursuivi par la justice internationale pour crime contre l’humanité et génocide.
Difficile de lui en vouloir : Béchir était sûrement venu en simple « observateur »…
Jean-François Julliard
« Le Canard Echaîné » (22/6)
29/06/11 (B610) (Audio) Interview de Jean-Paul Noël Abdi, Président de la LDDH (Ligue djiboutienne des Droits Humains) sur AfriRadio dans l’émission préparée par le Groupe de SURVIE / Paris et présentation du contexte. (A écouter ou à télécharger sur notre site ou sur celui de la station) – Article complété à 10h30 / Paris
/dans 3ème Mandat, LDDH/par jlschaalLien avec la page originale : AFRIRADIO
____________________ Présentation :
Jean-Paul Noël Abdi, président de la Ligue Djiboutienne des Droits de l’Homme, revient pour nous sur les derniers évènements survenus à Djibouti : la manifestation du 18 février contre le 3ème mandat, la répression et finalement la réélection du président djiboutien, Ismael Omar Guelleh.
Il nous explique aussi plus largement les rouages de l’accaparement des processus électoraux depuis 20 ans à Djibouti, l’état de la presse, de la torture et le bilan économique de Djibouti. à lire Billets d’Afrique, Djibouti havre de paix
Ce témoignage est suivi d’une petite mise en perspective avec les propos tenus par le Ministre de la Coopération français, M. Henri de Raincourt, suite à sa visite à Djibouti lors de la cérémonie de réinvestiture du président djiboutien en mai 2011.
________________ A écouter ou à télécharger (4 documents) – 1 –
1°) Présentation de SURVIE
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________________________ – 2 –
2°) Présentation du contexte à Djibouti avant l’interview
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______________________________ – 3 –
3°) Interview de Jean-Paul Noël Abdi
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______________________________ – 4 –
4°) La participation du Ministre français des A.E. à la cérémonie d’investiture de Guelleh, en présence d’Omar El-Bechir, Président du Soudan, sous le coup d’un mandat d’arrêt délivré par la CPI
– Ecouter en format WMA
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29/06/11 (B610) Hommage à Jean-Paul Noël Abdi. Par un lecteur qui lui dédie un sonnet, dans lequel il l’appelle « Tonton », en nous précisant bien que c’est un terme respectueux dans la culture djiboutienne, dès lors, qu’en l’absence de tous liens familiaux, il y a une différence d’âge.
/dans Lecteur/par jlschaalTonton
Par ce louable travail pour lequel ils t’harassent
Anoblis-tu, tonton, Fierté de mon quartier,
Qui engendra des noms dignes de grandes races,
Mon pays aux gens altiers !
Frêle éternel lutteur qu’aucune nuit vorace
Habillée en agneau engloutir en entier
Ne le pourra jamais par ses guets de rapace
En bien de noirs sentiers !
Tu n’es qu’un grand combat, de coeur et de carcasse,
Ou perdirent beaucoup leur gencive et dentier
Tel un os qu’on ne casse !
Tu es républicain, rêveur et vieux routier,
Héros pour Djibouti qui de toi ne se lasse :
Bon Dieu pour ton métier !
29/06/11 (B610) Point de vue d’un lecteur. Equilibrons aussi les symboles pour garantir l’unité du pays et prévenir sa partition.
/dans Lecteur, Point De Vue/par jlschaalLa statue qui domine l’esplanade du palais du peuple représente un berger Issa bien connu. Elle ne saurait être une référence pour les djiboutiens qui aspirent à une bonne moralité. De surcroit celle-ci s’impose comme un symbole de la domination Issa.
Tournée vers le nord, la statue est porteuse de messages provocateurs.
Avec l’avènement de l’Etat de droit, ce symbole devra-t-il être remplacé par deux statues, l’une représentant un(e) nomade Afar et l’autre un(e) nomade Somali de bonne moralité au cas où les personnes, qui auraient servi de modèle, soient identifiables.
L’exigence de deux statues à l’entrée du palais du peuple sous-tendrait le principe d’égalité des deux principales composantes de la population dans tous les domaines. (A condition qu’elle ne soit pas un symbole qui écarterait les composantes minoritaires de la vie publique ! Note de l’ARDHD). Seule l’égalité pourra sauver la République de Djibouti de la sécession des pays Afar, qui représentent 87% du territoire national.
Cette idée de
sécession fait son chemin, parmi les populations concernées, par réaction (légitime) au durcissement de la politique de marginalisation et de répression appliquée par le dictateur Ismail Omar Guelleh.
27/06/11 (B610) L’anniversaire de l’indépendance: le temps de la célébration et de la réflexion politique // (En Anglais par Ali Sultan) // Independence Day: Time for Celebration and Political Reflection
/dans 3ème Mandat, Ali Sultan/par jlschaalOn the 27th of June 2011 Djibouti will have thirty four years of freedom of self rule. As history teaches this freedom has been a hard won and sometimes bitter fruit. Looking back over the past three decades prompts us to ask just what have we gained and what there is to celebrate.
The end result of this independence was not easy to achieve for Afar people. As many lives have been erased and so many homes and business destroyed.
Thousands of families have been permanently dislocated and the social and psychological damages are incalculable. Our liberties seem to be illusionary. All we are seeking in the long term is representation and justice for those who have brought deaths to ordinary people struggling to live in a dignified manner. To rejoice for something we do not truly possess is a diversion from the main goal of regime change or complete political reform.
Unlike the political body in power the people of Djibouti care about the welfare of each other. They are both fair and friendly with all however the politicians put their own interests and agenda before the people. They resort to feelings such as hatred; contempt and superiority to justify their evil actions against their own brothers and sisters. When I come back to my Afar brothers I see them oppressed and looking for freedom.
Presently we still find many bad apples in power. They spread poison to both their own ranks then quickly to the people. As we strive to unite to join hands challenging the regime they have us fight amongst ourselves in order that we do not achieve any tangible freedoms of our own.
Afar people need to be vigilant for narrow divisions where ever it rears its head. These battles are not worth fighting as the energies towards real freedoms are wasted. Soon the tactics of turning our people against one another will fail as we realize that is what our politicians desire. It is a tool of continual poverty and despair. Any benefits our politicians gain by this infighting will be eclipsed as we wake up one day and see clearly. When the scales fall from our eyes the focus will be solely on the politicians.
Ali Sultan
27/06/11 (B610) L’ARDHD et le Président de la LDDH, Monsieur Jean-Paul Noël Abdi, actuellement en Europe, souhaitent une très bonne fête à toute la population djiboutienne à l’occasion de l’anniversaire de l’indépendance.
/dans 3ème Mandat, ARDHD/par jlschaalLe Président de la LDDH et toute l’équipe de l’ARDHD souhaitent une joyeuse fête à toute la population djiboutienne en ce jour de commémoration, qui devrait être un jour de fête pour toutes et pour tous.
Malheureusement, cela ne sera pas le cas dans de nombreuses familles qui doivent faire face aux privations. Selon M. Abdi, un seul enfant djiboutien sur cinq (20 %) mange à sa faim.
Les cheminots accumulent 9 mois de retard de salaires, les dockers aussi et ce ne sont que des exemples lamentables (car il y en a d’autres), qui ne peuvent s’expliquer que par l’énormité de la corruption et des détournements publics. Djibouti est certainement le pays ou l’un des pays qui reçoit le montant le plus élevé de subventions et d’aides par tête d’habitants et pourtant la misère s’installe de plus en plus profondément dans la population.
L’électricité est rationnée de façon inimaginable : pourtant la centrale de production de Boulaos a du recevoir au moins trois ou quatre fois, des subventions étrangères pour la rénover intégralement … mais il n’y a jamais eu ne serait-ce que le commencement des travaux nécessaires et financés : au mieux de simples réparations « de bout de ficelles » . On dit qu’un groupe de remplacement qui aurait été offert par un pays étranger, aurait été vendu au Yémen, avant même d’arriver à Djibouti !!!
L’eau est rationnée. Pourtant l’ONED a reçu des subventions pour rénover son réseau. Etc et le tout à l’avenant. Pendant ce temps, on dit que la famille Guelleh-Haid a accumulé l’une des plus grandes fortunes d’Afrique !!!
En dépit de ce constant alarmant, qui ne trouve pas encore ni l’écho ni le retentissement légitime au sein des grandes puissances occidentale et auquel on ne peut manquer d’associer la dégradation des Droits humains (avec encore quelques jeunes emprisonnés à Gabode) … des exécutions extra-judiciaires et la fin de toute démocratie, avec les viols électoraux successifs. nous espérons que toutes les familles pourront fêter et oublier pendant quelques heures les difficultés qu’elles traversent.
ARDHD
Association pour le Respect des Droits de l’Homme à Djibouti
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