27/04/2000 – Monsieur Ali Abdi Farah, est confié pour la première fois dans l’histoire de Djibouti, aux affaires étrangères du gouvernement « Mas-aasan ».

Comme la plupart des lecteurs ont lu la lettre officielle parue dans le journal la Liberté #29. Monsieur, Ali Abdi Farah, ex-chef du « Maqaam ou dortoir » habituellement appelé ambassade, en Tunisie. Premier « iidoore » confié pour la première fois dans l’histoire de Djibouti, aux affaires étrangères du gouvernement « Mas-aasan ».

Un être marginal qui vit dans un monde un peu spécial. Il est d’une manière insidieuse sous l’empire d’une préoccupation de la soit disant réconciliation Somalienne. Un dernier feuilleton télévisé et radiodiffusé financé obligatoirement par les djiboutiens, mais qui passionne les djiboutiens Somalophone.

Une façon adéquate de réunir tous les ingrédients pour ignorer le drame du peuple Afar djiboutien du Nord et du Sud-Ouest, victime de la guerre et de la répression du gouvernement. Empoisonnement de puits, vol et destruction de cheptel, exécution sommaire des jeunes bergers etc.

Étonnant, aucun parti politique de l’opposition n’a fait de remarque à part la ligue de droit de l’homme djiboutienne. Personnellement je ne vois pas une différence entre RPP, PND, PRD, puisqu’ils suivent la philosophie de Mahamoud Harbi (ushaada oo dhiib nin aad kaqaadi karto). Tandis que, les Afars meurent de leurs propres politiciens qui se livrent à une guerre qu’on appelle en langue Afar décent (CARSAA).

Tuhina, Obock, tu renaîtras de tes propres cendres. (CANEE BAR CAN XAQAM MEQEE)

M. M. M.
Afar S/lilandais
membre du Bloc Obockois
Montréal, Qc, Canada