27/03/05 (B291) Petit annuaire des agents du régime Djiboutien infiltrés illégalement en Belgique. Si vous les rencontrez, n’oubliez pas de prévenir la Police belge … (Lecteur)
On
connaît, depuis son enfance, l’Agent parmi les agents du régime Djiboutien
infiltrés en Belgique. C’est ABDOURAHMAN A…, Alias (I.. O..).
Il se dit né dans les années 60 à Dikhil. C’est là
qu’Ina Oromo passa son enfance, une enfance dure dans un contexte peu favorisé.
Il a commencé à travailler comme employé à l’Office
National d’Eau Djibouti (O. N. E. D) section de pompage, avant d’être licencié.
En réponse,
il a choisi de soutenir la dictature qui sévit dans notre pays depuis bientôt
28 ans et d’encourager les violations des droits de l’homme à Djibouti.
Il est partisan du joug, de l’autoritarisme et de ce régime qui a soif
de vengeance, qui déchaînent les haines et qui multiplie les humiliations
contre le Peuple.
Hélas,
il ne fait pas toujours bon de continuer ce sale métier en dehors des frontières
de la République de Djibout, car tu as focalisé la haine et toutes
les vangeances sur ta personne et tu vas en subir les conséquences.
Nous
savons que ta femme et tes 4 enfants ont demandé l’asile en Belgique sous
une fausse nationalité (somalienne), alors qu’ils n’ont jamais été
victime de quoi que ce soit : ta position suffisait à les protéger
… N’est-ce pas ?
Est-ce
de l’inconscience ? ? ? ? ? Bien sûr que oui, tu es inconscient. Faire chaque
année, le va et vient entre Djibouti et l’Europe plus précisément
la Belgique juste pour espionner les démocrates Djiboutiens (ennes) exilés
(ées). Que fais-tu de la dignité et de ta personnalité :
c’est misérable.
En
tout cas, il semble que tu sois mal parti et que son avenir soit bien incertain.
La vérité te rattrape et personne n’aura oublié ta coopération
assidue avec les entreprises criminelles. Tu ne trouveras plus de refuge pour
te cacher… car nous saurons te retrouver le jour venu et la fin du régime
est proche…
Ce
que je dis concerne aussi les autres agents du régime Djiboutien infiltrés
dans le royaume de Belgique et qui résident sur le territoire Belge.
ILYAS I… B.. alias (I.. A.. Galab) qui habite à Bruxelles, rue
de H… à 1060 Saint-Gilles, avec sa femme Neïma A.. O… alias (Neïma
M…) et de son premier enfant. Officiellement, il se dit non marié avec
sa femme afin de toucher un double revenu illégalement … après
avoir demandé l’asile sous une fausse nationalité (Somalienne).
Auparavant, ILYAS était étudiant en France et il travaille actuellement
dans le bâtiment à Bruxelles.
MAHAMOUD
A.. alias (I.. A.. Cayeh) qui travaillait au S. M. I de Djibouti et qui contineu
à toucher son salaire. Sa femme LEILA .. G.. alias (I.. h..) et ses enfants
qui ont venus en Belgique en 1998 pour demander l’asile sous une fausse nationalité
(Somalienne) et ils résident actuellement à Bruxelles
LADIYEH
(*) ancien Gendarme, cité pour sa participation à des actes de torture
et d’humiliation, avant de venir en Belgique alias (Carurti K… R..) travaille
actuellement comme chauffeur de taxi à Bruxelles. Avec sa femme et ses
enfants il réside dans cette ville après avoir demandé l’asile
sous une fausse nationalité (Somalienne). Son passé de tortureur
reconnu fait de lui une personne qui sera recherché par les victimes.
FARAH
G… M… alias (Farah B…) et sa femme AICHA alias Aicha A.., qui pourrait
importer des drogues douces (KHAT) depuis la Hollande vers la Belgique et que
l’on dit les livrer rue Theodore Verhagen à Saint-Gilles au domicile d’HAWA
M… L… et à Courtrai au domicile d’HAWA. M… L… où se rassemblement
de nombreux agents de Guelleh, comme le mal nommé S… D… FARAH
qui a demandé l’asile sous une fausse nationalité (Ethiopienne).
Son épouse ayant préférée se faire passer pour une
somalienne …
ABDO
Ch… ex employé de MOBIL à Djibouti avant de s’installer en
Belgique avec sa femme SAADA A… alias Saada S.. J… est la soeur d’un ancien
sportif mort accidentellement. Ils ont 1 enfant et ils résident à
Bruxelles. Eux aussi ont demandés l’asile sous une fausse nationalité
(Somalienne). Abdo ayant déclaré aux autorités qu’il serait
le frère d’ALI Samatar (ancien Premier Ministre du régime de Siad
Barreh)
ABDOULKADER
A.. F… alias R… a la nationalité française, mais il vit
en Belgique. Il s’est remarié récemment et il aurait des liens par
alliance avec le Président de l’A.N. et avec le secrétaire général
du R. P. P .
AICHA
K… alias Aicha C… ex compagne de MEIDHANEH B… alias Meidhaneh Badow,
avec qui elle vivait et qui est devenu député du régime autoritaire.
Aicha K… a un enfant de cette liaison. Avec son fils, elle a demandé
l’asile en Belgique en se faisant passer pour une somalienne. Cela ne lui suffisant
pas, elle a aussi demandé l’asile en France sous une autre identité
… Elle réside actuellement à Bruxelles
FATHIA
O… est l’épouse d’HASSAN A… qui est actuellement Officier du régime
Djiboutien. Elle réside avec ses enfants à Bruxelles après
avoir demandé l’asile avec ses enfants sous une fausse nationalité
(Somalienne) et en cachant bien entendu la profession du mari …. qui aurait
prouvé qu’elle ne risquait rien du régime ….
Toutes
les personnes citées ont demandé l’asile sous une fausse nationalité
Somalienne et/ou Ethiopienne et sont des agents du régime djiboutien et
de la SDS / Services de la Documentation de la Sécurité. Ils sont
infiltrés dans le royaume de Belgique et soutiennent la dictature qui règne
depuis 28 ans
Avec
notre groupe, nous les avons placé sous une surveillance permanente, ce
qui permet de vous donner les détails ci-dessus. Les autres détails
et les preuves sont en notre possession et nous avons communiqué des copies
aux Services du Ministère de l’intérieur Belge qui suivront certainement
vos activités avec le plus grand intérêt.
Que
tous les démocrates djiboutiens sincères et engagés se méfient
de ces personnages et qu’ils n’hésitent pas à informer le poste
de Police le plus proche, s’ils les rencontrent.
Un
démocrate Djiboutien de Bruxelles
qui coordonne l’information sur
les mouvements
de tous ces agents infiltrés illégalement
et
qui représentent un danger
pour tous les opposants à la dictature
et à l’asservissement du peuple.
(*)
Ladiyeh a été cité sur notre site par plusieurs victimes
de torture. Les récits peuvent toujours être consultés sur
le site (Note de l’ARDHD)