12/06/05 (B302) A lire sur le site du GED, un article sur les développements judiciaires possibles dans le cadre de l’Affaire Borrel.
Lien avec l’article original sur le site du GED
Selon une information fiable qui vient de nous parvenir, il semblerait que de nouveaux éléments, témoignages et documents, soient en passe d’être produits (ou le furent dans les 48 heures) auprès de Mme la Juge chargée du dossier sur ce qui est considéré sans conteste aujourd’hui comme étant l’affaire de l’assassinat du Juge Bernard Borrel le 18 octobre 1995 à Djibouti.
D’après nos sources, des documents de première importance quant à la recherche de la vérité dans cette affaire pour le moins nébuleuse auraient été directement envoyés de Djibouti à la Justice française (sous anonymat) alors que, fait du hasard, un ancien officier français (services spéciaux ou pas ?) ayant servi de nombreuses années en périphérie immédiate du pouvoir djiboutien se serait présenté spontanément au Palais de Justice de Paris muni – lui aussi – d’un volumineux dossier.
Les rumeurs les plus variées ont circulé jusqu’à très tard dans la soirée quant à une possibilité que les pièces communiquées par cet Officier soient la copie (ou l’original) du dossier que beaucoup de « gens indisposés » ont recherché dans l’urgence et avec une certaine fébrilité dans les heures qui ont suivi l’assassinat du Juge Bernard Borrel.
Que cherchaient-il de si précieux et qui vaille une telle fouille précipitée de l’appartement de la famille Borrel (hors des règles élémentaires de la décence) devant une veuve éplorée.
Bien qu’il ait fait à tort confiance à celui que nous appelons « Alpha Roméo » et qui va le mener à sa perte dans un piège le 18 octobre dans l’aprés midi, se sachant tout de même en danger il est tout à fait probable qu’avant son décès Bernard Borrel ait pris certaines « mesures conservatoires » de son travail d’investigations et qu’il ait expédié par la poste militaire française (BPM) une copie dudit dossier (ou l’original ?) afin de le protéger en le confiant à un ami.
On comprendrait alors qu’un journaliste de la presse occidentale – qui a mené en toute discrétion une longue et minutieuse enquête depuis plus de deux années et qui vient de la finaliser – soit en mesure de faire paraître dans les semaines à venir un article qui devrait nous éclairer sur des zones d’ombres dans ce dossier.
Un scandale d’une grande ampleur risquerait bien d’émerger, d’après ce qui nous a été dit il pourrait impliquer directement – car documents à l’appui – quelques « anciens » de Djibouti qui pour certains s’en sont éloignés vers d’autres cieux mais qui ont « chaud aux fesses » depuis de nombreux mois et qui voudraient bien que la Justice française les oublie.
Si « l’Ordre règne à Djibouti » certains doivent avoir le sommeil perturbé tout comme leurs « amis » en Corse… et ailleurs !.