01/04/06 (B344-A) Selon une information transmise par un lecteur et qui reste à confirmer, Dileita et Said Abdillahi (Ministre de la Justice) auraient pris conscience du fait que l’on ne peut pas continuer plus longtemps avec l’image d’une Justice inféodée au pouvoir et ce en contradiction avec la vision guelléenne de la Démocratie …

____________________________ Note de l’ARDHD
Nous laissons à notre lecteur la responsabilité de cette affirmation, n’ayant reçu aucune confirmation ou infirmation par d’autres sources.

L’information est intéressante et si elle était confirmée, cela prouverait qu’il n’est jamais trop tard pour prendre conscience de ses crimes … et cela mettrait Guelleh encore plus en position de faiblesse.

Mais attendons d’en savoir plus, car l’intoxication est toujours possible au royaume du Chamelier et elle fait aussi partie du jeu de la communciation officielle de Guelleh et consorts.

__________________________________________________ Lecteur

L’affaire des syndicalistes secoue ces dernières semaines le monde politique à Djibouti. Elle occupe beaucoup l’opinion nationale et cela semble apporté deux points positifs aux Djiboutiens que les autorités djiboutiennes avaient habilement anticipés.

– Le premier Ministre, DILEITA MOHAMED DILEITA et le ministre de la justice et des affaires musulmannes, SAID ABDILLAHI, les plus concernés par cette affaire, auraient réfléchi sur l’emprisonnement des 4 syndicalistes de l’UDT. On leur reproche en effet des relations syndicales avec un Syndicat israélien.

En premier lieu, cette accusation démontrerait-elle que la politique du Gouvernement djibouti pourrait être plus proche du fondamentalisme internationale (voire ALQAÏ-DA, qui sait ?) ?

En second lieu, il est clair qu’elle confirme sans doute possible, la partialité de la justice djiboutienne qui émet des jugements sur simple appel téléphonique du Palais de l’Escale.

A mon avis, la population djiboutienne devrait être reconnaissante envers les deux membres du Gouvernement nommés ci-dessus, pour cette prise de conscience qui se traduirait, dit-on, par une guerre secrète contre IOG. Car dans ce cas, ce serait un soutien indirecte qu’ils apporteraient à l’opposition djiboutienne.

un Djiboutien
de passage à Rotterdam.