12/07/08 (B456) Radio-Trottoir : Le combat dans la clandestinité est normal quand la liberté d’expression est interdite (lecteur)
Le combat dans la clandestinité est légitime, quand il n’y a plus de liberté d’expression !
Faudrait-il marcher les épaules courbées, démuni d’argent, alors que des crimes de Blanchiment d’Argent sont commis par Casinos interposés et qu’ils concernent des montants importants, soustraits au Trésor public ?
Acceptez toutes mes excuses pour ce language qui est celui d’un simple citoyen Djiboutien.
Je tiens à vous dire que nous n’avons toujours aucune preuve écrite des affirmations contenues dans la propagande de la « Nation » (certainement encore sous l’emprise du Khat arrivé d’Ethiopie) et communicable seulement dans un « Mabraze » de haut niveau. La version originale de la lettre de DAF n’est toujours par vérifiable.
Et plus génaralement aucun texte attribué à DAF pour justifier la mise en liquidation du MRD n’est vérifiable. Faudra-t-il attendre que les experts maison en bidouillage nous propose une version maquillée ?
Et d’ailleurs, je tiens à dire que le Journal « La Nation », s’il s’apesantit sur la lettre attribuée à DAF, a omis (volontairement) de publier le communiqué de presse du MRD en question, qui démentit les faits et que l’ARDHD a mis aussi en ligne.
Il faudra être vigilant mardi, car c’est le 15 juillet 2008 que seront vendus aux enchères par simple Décret, le patrimoine du MRD (ex PRD), sous le haut patronnage « privé » d’une gente alliée au Pouvoir, qui ne pouvait qu’être allergique au Renouveau, le Journal du MRD.
Cela se fera sans aucun complexe ! Tout est prêt pour des ventes futures aux enchères « et en l’état » de tous les biens immobiliers et propriétés de l’Etat plus maintenant celles des partis Politiques placés sous verrouillage. Bien entendu, il ne sera émis aucun appel à acquéreur …
Tout se fera dans le silence feutré des mabrazses réservés au clan dominant et à ses obligés avec la complicité muette de la communauté internationale et des grandes puissances présentes à Djibouti.