23/11/2011 (B631) LDDH : Manifestation pacifique des étudiants chômeurs vite réprimée
Le Président |
BREVE INFORMATION DU 23 NOVEMBRE 2011. Manifestation pacifique des étudiants chômeurs |
Manifestation pacifique des étudiants chômeurs vite réprimée par les forces de Police et conduits au Centre de rétention de Nagad
Ce matin 23 novembre 2011, malgré les fausses promesses du gouvernement fantoche, qui ne pense qu’à piller les fonds publics et l’assistance internationale ou des pays amis, voir même plus prudemment les aides financières de l’Union européenne sous le haut contrôle des parlementaires européens.
Les étudiants chômeurs sont fatigués des fausses promesses jamais tenues, des propos humiliants et dégradants (en effet dans son minable discours le jour de la grande Fête du sacrifice du mouton le « fantaisiste » dictateur-pirate des biens sociaux, a sur un ton d’ordre en langue Somali a dit aux diplômés universitaires d’aller vendre dans la rue comme les bonbons les chocolats glacés etc.
Malgré l’engagement personnel du Chef d’Etat-major après que ces jeunes aient été relâchés de Nagad et un peu avant la tentative d’assassinat du Chef d’Etat-major Abdillahi Abdi, par un élément de la Police (ou certes par un groupe d’éléments, l’histoire prochaine un jour le dira), les jeunes étudiants chômeurs ont mare, marre et marre.
Faut-il rappeler que, les jeunes diplômés djiboutiens, condamnés au chômage permanent, n’ont qu’une seule ambition celle d’un avenir meilleur en garantissant leur futur, en travaillant pour avoir une vie normale, se voient aujourd’hui condamner définitivement sans autre recours que celui de faire parler la rue et si la répression continue, les risques des violences seront hélas incontrôlables.
Il est temps aux parents de nos étudiantes et étudiants (l’avenir de notre pays) de se mobiliser en urgence ;
Je lance un appel aux travailleuses et travailleurs djiboutiens de renforcer la mobilisation des parents et les revendications des futurs travailleurs actuellement sans emploi condamner, par la mauvaise Gouvernance de la Mafia transrégionale au pouvoir, condamner à vivre dans la stricte misère, de quémander les membres de leur famille et parfois de leurs amis qui sont à l’étrangers
Oui nous devons tous agir !
Afin de chasser du pouvoir ces bandes de pirates qui ratissent sans vergogne et en toute impunité « AU NOM DE L’ETAT DE DJIBOUTI ».
Tous ensembles, nous devons sauver notre Patrie Djibouti en danger de mort.
NOEL ABDI Jean-Paul