21/12/03 (B226) Les actions de la France remontent à Djibouti. Deux hauts fonctionnaires décorés par Dileyta, cette semaine ! (Extraits de l’ADI)

Le nombre de décorations
accordées aux ressortissants d’un pays étranger est bien souvent
représentatif du climat relationnel entre les deux pays ….

Il y avait bien lontemps
que les ressortissants français n’étaient plus décorés
: depuis l’arrivée des Américains ?

 


Patrick Roussel,
Ambassadeur de France à Djibouti, sur le départ.
Et voilà
que cette semaine, nous apprenons que deux hauts-fonctionnaires viennent
d’être décorés par Dileyta. Est-ce le signe que les
actions de la France remonteraient actuellement ou que Guelleh a besoin
de l’argent français, ce qui est plus vraisemblable. N’a-t-il pas
envoyé cette semaine, une délégation à Paris,
qui participera à un vague forum (qui ne fait pas les grands titres
de la presse internationale) mais qui devrait permettre de quémander
des subsides à la France.

Général Guy Durand,
Médecin Chef de l’Hôpital Bouffard

Le Gouvernement français
aura-t-il les moyens de refuser une aide exceptionnelle ou complémentaire
à Guelleh, qui a des gros soucis d’argent aujourd’hui ? (*)

Cela étant, les
Français qui ont par bêtise administrative et politique, laissé
s’implanter les Américains, devront assumer maintenant leurs erreurs,
en cédant probablement au chantage … "Si vous dites non à
ma demande d’aide exceptionnelle, vous pouvez partir, je ne vous retiens pas
…"
ne manquera certainement pas de dire Guelleh, fort du soutien
américain actuel.

Nous lui conseillons quand
même de rester trés prudent, car les Américains ne sont
pas comme les Français : la fidélité n’a pas le même
sens dans la politique étrangère américaine. Le jour
où Guelleh ne leurs sera plus d’aucune utilité où s’il
on découvrait des ressources pétrolière ou minières
à Djibouti, il serait balayé d’un revers de la manche et jeté
par Bush ou par son successeur, à la vindicte internationale, comme
le pire des dictateurs, ce qu’il est de toutes les façons …. Il y
a assez de preuves pour le traduire devant la Cour pénale internationale.

(*) Ce pauvre Guelleh,
Il faut qu’il finisse de payer la somptueuse résidence qu’il vient
de s’offrir à Paris : trois salons, une salle à manger, des
gardes, des serviteurs, des voitures …. Le luxe habituel du potentat et
surtout du nouveau riche …. Paulette adore tout ce qui brille, alors IOG
n’a pas hésité à faire dans le plus mauvais goût
possible, d’après des témoins invités à admirer
le nouveau petit nid d’amour parisien de Paulette et du Chamelier.