26/05/04 (B248) Et s’il fallait simplement inverser les phrases pour découvrir le vrai Guelleh !

Nous nous sommes amusés
avec l’une des réponses qu’il a fait paraître à grands
frais dans Jeune Afrique :

Voici le texte original
:
Je suis un homme
modeste, j’aime rester dans mon coin, je préfère l’ombre à
la lumière. Je m’efforce de rester très proche des Djiboutiens.
Je lis chaque jour moi-même, sans censure préalable, les dizaines
de lettres que m’envoient mes compatriotes. Chaque week-end, je visite les
villages les plus reculés, là où même les 4×4 ne
passent pas. Je n’aime ni l’argent ni les dépenses ostentatoires. Je
suis quelqu’un d’heureux et de bien dans sa peau. Un citoyen devenu président.

Maintenant vous l’inversez
comme suit :

Je ne suis pas un
homme modeste, je n’aime pas rester dans mon coin, je préfère
la lumière à l’ombre. Je m’efforce de m’éloigner des
Djiboutiens. Je ne lis aucune des dizaines de lettres que m’envoient mes compatriotes
et qui sont censurées au préalable. Chaque week end, je m’abstiens
de visiter les villages les plus proches où passent les 4×4. J’aime
l’argent et les dépenses ostentatoires. Je suis quelqu’un de malheureux
et mal dans sa peau. Un étranger devenu Président.

-> Ne trouvez-vous
pas, comme notre équipe, que cela aurait un accent de vérité
et que cette réponse aurait été plus conforme à
la vérité ? Est-ce vrai qu’IOG ment toujours quant il communique
et surtout quand il parle de lui ? Allez, c’est surement parce que c’est grand timide
!