21/11/04 (B273) A lire sur le site du GED, un article documenté sur l’utilisation de centaines d’obus au phospore contre les villages afar, sous les ordres, apprend-on, de Guelleh et avec la participation de ceux qui seraient aujourd’hui les Officiers supérieurs de l’Etat-Major : des centaines de civils seraient morts sous les gaz de combat, sans que personne ne s’en fasse le moindre écho, au niveau international.

Lien avec l’article du
Ged :

Extrait de l’article
:

(…) En préparation de ce conflit (*Guerre contre la résistance
Afar) et avec l’aide de Fathi A BELIKI, Ismaïl OMAR GUELLEH lancera une
véritable campagne savamment orchestrée en ressortant de ses
caves des antagonismes très anciens pour attiser le feu chez les Afars
qu’il va noyauter en achetant quelques consciences allant même jusqu’à
s’appuyer sur les conflits entre Afars et Issas en Ethiopie pour la maîtrise
des points d’eau dans cette période de grande catastrophe humanitaire
pour étayer ses arguments que des  » propagandistes  » (rémunérés
par l’Etat) diffuseront dans la capitale comme à Dikhil et à
Ali Sabieh. .


Le Chef d’Etat Major Général des Armées, le Général
Ali MEÏDAL WAÏS, étant mis à la  » retraite  »
par anticipation, le Lieutenant Colonel Omar BARREH DARAR ayant été
éliminé dans un accident de véhicule qu’il aura fait
saboter, le Lieutenant Colonel Hoch ROBLEH IDLEH décédant dans
un hôpital parisien ( on parlera d’empoisonnement par un visiteur…),
le chemin de Fathi A BELIKI est dégagé et prendra comme adjoint
le Lieutenant Colonel Zakaria CHEICK IBRAHIM – proche du président
Hassan GOULED et qui en fera son protégé – à qui il laissera
l’entière gestion y compris financière du Camp CHEICK OSMAN
de l’unité de Blindés djiboutiens.


Entre le début du conflit contre le FRUD et le mois de décembre
1994, des centaines d’obus au phosphore vont être tirés non sur
les positions d’un ennemi insaisissable mais sur des villages où des
centaines de vieillards, de femmes et d’enfants Afars vont être tués.