16/11/06 (B369) La situation sur le terrain pourrait devenir explosive avec une reprise des hostilités et un soutien possible de l’Ethiopie. (lecteur)

Je viens
de lire un nouvel aticle que vous devez avoir lu sur le nouvel obs du 15.11.2006
que je joins à ma contribution.

Vous savez
que le terrain commence à être favorable pour une nouvelle "résistance
armée", avec le soutien que l’Ethiopie pourrait choisir d’apporter
au FRUD.

Nous connaissons
une situation économique et sociale de plus en plus difficile et ce
n’est pas le sommet du COMESA qui règlera les problèmes intérieurs.

Il me
semble nécessaire qu’une véritable coopération s’établisse
dans ce dossier entre le Frud, l’ARDHD, qui nous a inconditionnellement aidés
et la famille Borrel que nous allons considéré au même
titre que les victimes civiles de la guerre de 1991 à 1993.

Un
lecteur

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Nouvel Obs

AFFAIRE
BORREL

L’Etat
français reste mobilisé

NOUVELOBS.COM
| 15.11.06 | 17:38

La
ministre déléguée à la coopération Brigitte
Girardin a réaffirmé sa détermination de faire "toute
la lumière" sur la mort du juge Borrel.

La ministre
déléguée à la Coopération Brigitte Girardin
a déclaré devant l’Assemblée nationale que le gouvernement
est tout à fait déterminé à ce que toute la lumière
soit faite sur les circonstances exactes du décès du juge Borrel
en octobre 1995". Elle a ajouté que "nous souhaitons que,
dans cette affaire, toute l’instruction puisse se faire sereinement, à
l’abri de la pression médiatique, dans le respect des droits de chacun,
dans le respect de la présomption d’innocence, et également
dans le respect du secret de l’instruction".

Brigitte
Girardin a fait état de "difficultés" avec Djibouti
pour la mise en oeuvre de la convention d’entraide judiciaire entre les deux
pays sur cette affaire. Elle a néanmoins fait part de la volonté
de Paris de coopérer de manière "très étroite"
avec la Cour internationale de justice (CIJ) de la Haye, auprès de
laquelle Djibouti a déposé un recours en janvier.

Personne
"n’a tué" le juge

L’enquête
menée par Djibouti a conclu à un suicide et le président
djiboutien Ismail Omar Guelleh a réaffirmé mardi 14 novembre
que "personne n’a tué" le magistrat français.

La thèse
de l’assassinat a été privilégiée par l’enquête
judiciaire française en cours. Des hautes personnalités djiboutiennes
pourraient être mises en cause.

Deux repris
de justice djiboutien l’un en fuite, Awalleh Guelleh et l’autre curieusement
gracié, Hamouda Hassan Adouani, considérés comme de possibles
exécutants d’un assassinat ont été placés en octobre
sous mandat d’arrêt par la justice française.

Elisabeth
Borrel, l’épouse du juge, a affirmé que son mari enquêtait
sur des trafics d’armes et des attentats dans lesquels le président
Guelleh aurait été impliqué.