03/05/09 (B497) Les américains et Al Qaïda en Afrique de l’est. (2 articles en Français)

_____________________________ 2 – XINHUA (Chine)

Un rapport américain sur le terrorisme indique que des alliés d’al-Qaeda sont actifs au Kenya

Un rapport américain sur le terrorisme publié samedi par le journal Daily Nation, a indiqué que les alliés d’al-Qaeda sont actifs au Kenya.

Le rapport annuel publié par le département d’Etat américain a prévenu que les agents responsables des attaques à la bombe sur l’ambassade américaine de Nairobi en 1998 et à Dar es Salaam courent toujours et constituent actuellement « la plus sérieuse menace pour le Kenya. »

Le rapport contient un aperçu des liens de sécurité croissantes entre les Etats-Unis et le Kenya, destinés à empêcher les terroristes de mener des attaques à l’intérieur du Kenya et à arrêter les suspects terroristes.

Le document affirme qu’un groupe de militants al-Qaeda est actif à la côte kenyane et dans d’autres endroits de Nairobi.

L’année passée, Washington a affirmé avoir aidé l’armée kenyane à développer une unité d’élite antiterroriste, Ranger Strike Force, capable de conduire des opérations contre les agents infiltrés et les groupes armés.

Les Etats-Unis ont aussi formé et fourni des équipements non- spécifiés à la marine kenyane pour les opérations maritime dans les eaux kenyanes. Le programme d’aide antiterroriste du département d’Etat américain a aussi octroyé une formation et de l’équipement à la section de la police maritime du pays.

Le rapport a affirmé que le Détachement spécial mixte américain de la Corne de l’Afrique basé à Djibouti est en train d’installer actuellement un Système de sécurité maritime et d’information de sûreté dans des positions clé le long de la côte kenyane.

Les mesures ont été en grande partie en réaction aux menaces constituées par deux éléments d’al-Qaeda, qui auraient mené les attaques de 1998 sur les ambassades américaines.

Les experts des renseignements américains ont indiqué que les éléments, le Comorien Fazul Abdullah Mohammed et le Kenyan Saleh Ali Saleh Nabhan, ont échappé aux arrestations grâce à l’aide du réseau de soutien d’al-Qaeda dans la région côtière kenyane et dans certaines parties de Nairobi, la capitale du pays.

Il est indiqué dans le document que « l’escalade du conflit en Somalie crée un environnement permissif pour les groupes terroristes tels qu’al-Qaeda et al-Shabaab. »

Pendant que la frontière entre le Kenya et la Somalie reste officiellement fermée, « certains officiels kenyans ont qualifié la fermeture de sans importance, au regard de la facile traversée dans les deux directions, » a noté le rapport.

Cette expression des inquiétudes au sujet des activités terroristes en Afrique de l’Est à un niveau élevé est la toute récente d’une série d’alertes lancées par les officiels américains par rapport aux menaces croissantes qui pèsent sur le Kenya.

Toutefois, les autorités kenyanes ont rejeté les menaces, estimant que le Kenya était bien à l’abris de toute menace. Nous utiliserons le raport et prendrons des mesures nécessaires, » a déclaré le porte-parole de la police, Eric Kiraithe.

_____________________________ 1 – Casafree (Maroc)

Un rapport américain sur le terrorisme indique que des alliés d’al-Qaeda sont actifs au Kenya

Un rapport américain sur le terrorisme publié samedi par le journal Daily Nation, a indiqué que les alliés d’al-Qaeda sont actifs au Kenya.

Le rapport annuel publié par le département d’Etat américain a prévenu que les agents responsables des attaques à la bombe sur l’ambassade américaine de Nairobi en 1998 et à Dar es Salaam courent toujours et constituent actuellement « la plus sérieuse menace pour le Kenya. »

Le rapport contient un aperçu des liens de sécurité croissantes entre les Etats-Unis et le Kenya, destinés à empêcher les terroristes de mener des attaques à l’intérieur du Kenya et à arrêter les suspects terroristes.

Le document affirme qu’un groupe de militants al-Qaeda est actif à la côte kenyane et dans d’autres endroits de Nairobi.

L’année passée, Washington a affirmé avoir aidé l’armée kenyane à développer une unité d’élite antiterroriste, Ranger Strike Force, capable de conduire des opérations contre les agents infiltrés et les groupes armés.

Les Etats-Unis ont aussi formé et fourni des équipements non- spécifiés à la marine kenyane pour les opérations maritime dans les eaux kenyanes. Le programme d’aide antiterroriste du département d’Etat américain a aussi octroyé une formation et de l’équipement à la section de la police maritime du pays.

Le rapport a affirmé que le Détachement spécial mixte américain de la Corne de l’Afrique basé à Djibouti est en train d’installer actuellement un Système de sécurité maritime et d’information de sûreté dans des positions clé le long de la côte kenyane.

Les mesures ont été en grande partie en réaction aux menaces constituées par deux éléments d’al-Qaeda, qui auraient mené les attaques de 1998 sur les ambassades américaines.

Les experts des renseignements américains ont indiqué que les éléments, le Comorien Fazul Abdullah Mohammed et le Kenyan Saleh Ali Saleh Nabhan, ont échappé aux arrestations grâce à l’aide du réseau de soutien d’al-Qaeda dans la région côtière kenyane et dans certaines parties de Nairobi, la capitale du pays.

Il est indiqué dans le document que « l’escalade du conflit en Somalie crée un environnement permissif pour les groupes terroristes tels qu’al-Qaeda et al-Shabaab. »

Pendant que la frontière entre le Kenya et la Somalie reste officiellement fermée, « certains officiels kenyans ont qualifié la fermeture de sans importance, au regard de la facile traversée dans les deux directions, » a noté le rapport.

Cette expression des inquiétudes au sujet des activités terroristes en Afrique de l’Est à un niveau élevé est la toute récente d’une série d’alertes lancées par les officiels américains par rapport aux menaces croissantes qui pèsent sur le Kenya.

Toutefois, les autorités kenyanes ont rejeté les menaces, estimant que le Kenya était bien à l’abri de toute menace. Nous utiliserons le rapport et prendrons des mesures nécessaires, » a déclaré le porte-parole de la police, Eric Kiraithe.