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22/12/2015 (Brève 566) L’équipe de l’ARDHD souhaite de bonnes fêtes de Noël à tous les chrétiens du monde (ARDHD)

L’équipe de l’ARDHD souhaite de joyeuses fêtes de Noël à tous les Chrétiens et elle leur recommande d’avoir une pensée pour tous les peuples qui souffrent dans le monde, soit en raison de leur croyance religieuse, soit en raison de systèmes de gouvernement autoritaires et injustes.

Elle espère que la Paix reviendra en 2016 et que les menaces qui s’exercent contre les différentes populations, cesseront.

Joyeux Noël à tous les Chrétiens et à toutes celles et tous ceux qui se reconnaissent dans la fraternité, l’amitié quelles que soient les différences (ethniques, religieuse, ..) et dans la tolérance.

26/08/10 (B566) Yémen Express – Yémen : quatre membres d’al-Qaïda tués – les forces de sécurité reprennent le contrôle de la ville forteresse d’al-Qaïda dans le sud – LE YÉMEN ABANDONNE LES DROITS HUMAINS AU NOM DE LA LUTTE ANTITERRORISTE – Yémen du sud: l’armée reprend le contrôle de Loder – Violences au Yémen : 7 morts (8 articles)

_______ 8 – Quotidien du Peuple (Chine) avec XINHUA

Yémen : quatre membres d’al-Qaïda tués

Quatre membres d’al-Qaïda ont été tués lundi lors d’une opération militaire lancée par les forces de sécurité yéménites, dans la province d’Abyan (sud), a déclaré le ministère de l’Intérieur.

Cela porte à 16 le bilan des militants d’al-Qaïda tué depuis vendredi dernier.

Le reste des militants, qui se cachaient dans des maisons situées à la ville de Lodar, se sont enfuis des lieux, a fait savoir le ministère dans un communiqué, rendu public sur son site internet.

"Les forces de sécurité ont fait irruption dans des maisons suspectes des militants d’al-Qaïda, et ont découvert des grenades propulsées à la roquette, des munitions et des grenades à la main", a affirmé le communiqué.

Les forces de sécurité imposent encore un blocus contre la ville, alors que des raids ont été lancés contre d’autres refuges des groupes suspects d’al-Qaïda situées à Lodar, toujours selon le communiqué.

Dimanche, le ministre yéménite de la Défense a indiqué que l’armée et les forces de sécurité avaient tué sept militants d’al-Qaïda au cours des affontements qui ont eu lieu à Lodar.

La province d’Abyan a été le théâtre depuis le début de cette année d’une série d’attaques meurtrières attribuées au mouvement Al-Qaïda dans la Péninsule Arabique qui ont fait des dizaines de morts et de blessés parmi le personnel de sécurité.

Le Yémen, pays natal du dirigant d’al-Qaïda ben Laden, a intensifié les opérations sécuritaires et des raids aériens contre des groupes terroristes, après que la branche d’al-Qaïda au Yémen eut revendiqué la responsabilité d’un attentat raté de Noël dernier contre un avion de ligne américain à destination de Detroit.

__________________ 7 – Casafree (Maroc)

Yémen – Terrorisme : les forces de sécurité reprennent le contrôle de la ville forteresse d’al-Qaïda dans le sud

Les forces de sécurité yéménites ont repris le contrôle de la ville forteresse d’al-Qaïda de Lodar, suite a cinq jours de combats féroces, tuant au moins 12 hommes armés, a indiqué le ministère de l’Intérieur mardi.

"Les militants Al-Qaïda ont été expulsés de la ville de Lodar de la province d’Abyan du sud", a affirmé le ministère dans un communiqué publié sur son site-web, citant le vice-ministre de l’Intérieur Saleh Hussein al-Zuari.

"Les forces de sécurité ont totalement pris le contrôle de la ville de Lodar tout en recherchant davantage d’éléments terroristes hors de la ville", a-t-il indiqué.

Le ministère de la Défense a souligné dans un communiqué que "les services de sécurité étaient déterminées à détruire l’organisation d’al-Qaïda à Lodar, un des refuges de l’organisation".

Au moins 27 personnes, dont 15 soldats et 12 militants d’al-Qaïda ont été tués depuis le coup d’envoi des combats vendredi dernier, selon des sources de sécurité.

Des milliers d’habitants ont fui la ville, où des dizaines de maisons et des installations publiques ont été détruites lors du combat de cinq jours, a indiqué un responsable de la sécurité provinciale à l’agence Xinhua sous le couvert de l’anonymat.

Le Yémen a intensifié les opérations sécuritaires et des raids aériens contre des groupes terroristes, après que la branche d’al-Qaïda au Yémen eut revendiqué la responsabilité d’un attentat raté de Noël dernier contre un avion de ligne américain à destination de Detroit.

______________________ 6 – Le Figaro avec AFP

Plus de pression sur al-Qaida au Yémen

Les Etats-Unis sont de plus en plus préoccupés par la menace que constitue le réseau al-Qaida au Yémen et comptent augmenter la pression sur ses membres, a déclaré aujourd’hui un spécialiste américain de la lutte antiterroriste.

Tandis que la direction d’al-Qaida au Pakistan subissait de sérieux revers, ses militants au Yémen se sont regroupés et représentent désormais un danger "virulent", a déclaré ce responsable, qui s’exprimait sous le couvert de l’anonymat.
"Ils ne se sentent pas aussi acculés – pas encore en tout cas – que leurs amis dans les zones tribales" du Pakistan, a-t-il dit. "Et tous ceux qui sont engagés à nos côtés comprennent qu’il faut que cela change".

Ce responsable n’a pas précisé de quelle manière les Etats-Unis comptaient affronter les militants d’al-Qaida au Yémen. Au Pakistan, la CIA (la centrale de renseignement américaine) a eu recours à des bombardements par des drones pour viser des personnalités d’al-Qaida et du mouvement taliban.

Le Wall Street Journal et le Washington Post rapportaient aujourd’hui que cette prise de conscience de la menace posée par al-Qaida au Yémen pourrait entraîner une intensification des opérations de la CIA dans ce pays, y compris sous la forme d’attaques de drones.

Interrogé sur cette réévaluation de la menace au Yémen et sur la possibilité d’y mener de nouvelles opérations, le porte-parole de la CIA, John Little, a répondu laconiquement que "l’agence et le gouvernement dans son ensemble combattent Al-Qaïda et ses alliés violents, où qu’ils soient".

L’effort américain pour combattre les extrémistes au Yémen a jusqu’à présent été mené principalement par l’armée américaine, mais certaines voix au sein de l’administration se sont élevées pour confier un rôle élargi à la CIA, sur le modèle des attaques de drones au Pakistan, selon le Wall Street Journal, citant des responsables non identifiés.

______________________ 5 – AFP

Un journaliste somalien tué dans les combats à Mogadiscio

Un journaliste somalien a été tué dans des tirs croisés mardi à Mogadiscio, lors des combats opposant insurgés islamistes et forces gouvernementales, a annoncé une organisation internationale de défense de la presse.

Barkhat Awale, 60 ans, journaliste radio et directeur de Radio Hurma, était sur le toit de sa station en train d’aider un technicien à fixer un émetteur quand il a été touché par une balle à l’estomac, a indiqué dans un communiqué le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), basé à New York.

Son collègue l’a immédiatement transporté à l’hôpital de Medina où il est décédé à son arrivée, précise le CPJ qui cite des journalistes locaux et des informations de presse.

Awale travaillait comme journaliste depuis près de trente ans et dirigeait Radio Hurma, une petite radio locale, depuis quatre années.

Cette radio est située en zone gouvernementale, au carrefour "KM5".

Il est le deuxième journaliste tué cette année en Somalie, après l’assassinat en mai dans la capitale d’un journaliste de Radio Mogadiscio, selon le CPJ.

Les insurgés islamistes shebab mènent depuis lundi une vaste offensive à Mogadiscio contre les forces gouvernementales et la force de l’Union africaine (Amisom).

Au moins 65 civils ont été tués dans ces combats, dont 30 dans l’attaque mardi d’un hôtel par deux assaillants shebab qui ont ouvert le feu sur les personnes présentes puis ont fait exploser leur ceinture d’explosifs.

Six parlementaires ont été tués dans l’hôtel.

______________________ 4 – Libération

Les islamistes font un carnage dans la capitale somalienne

SABINE CESSOU

Cinq à huit hommes armés, déguisés en soldats de l’armée régulière somalienne, ont tué au moins 31 personnes, hier matin, à l’hôtel Muna, un établissement de trois étages proche de la Villa Somalia, le palais présidentiel de Mogadiscio. Parmi les victimes, six députés somaliens et quatre hauts fonctionnaires, mais aussi des civils, dont un enfant cireur de chaussures. Situé dans une zone jugée sûre de la capitale, le Muna était très fréquenté par les élites politiques du pays. Les attaquants, des kamikazes, ont tiré à vue sur les occupants de l’hôtel, forçant les portes des chambres dans les étages puis tirant depuis le toit sur les forces de l’ordre, avant de se faire exploser à la grenade au cri de «Dieu est grand».

Pourvoyeur. L’attaque a été revendiquée par la milice de rebelles intégristes Al-Shebab («la jeunesse», en arabe), qui contrôle une partie de la capitale et les régions du sud et du centre de la Somalie. Ce groupe s’était également attribué le double attentat du 11 juillet à Kampala, la capitale ougandaise, qui avait fait 76 morts le soir de la finale de la Coupe du monde de football. L’Ouganda, pays anglophone de la région des Grands Lacs, était visé en tant que principal pourvoyeur des 6 000 hommes que comptent les contingents de la Mission de l’Union africaine en Somalie (Amisom), déployée en 2007.

Ce nouvel attentat à l’hôtel Muna a été condamné comme «choquant et brutal» par Abdirahman Ibbi, le vice-Premier ministre du gouvernement de transition somalien, qui ne contrôle qu’une partie de Mogadiscio. Perpétrée en plein ramadan, l’attaque-suicide intervient au deuxième jour d’une offensive des insurgés islamistes contre les forces gouvernementales et les troupes de l’Amisom, auxquelles ils ont déclaré «une guerre massive». L’Union africaine (UA) avait décidé, fin juillet, de renforcer à hauteur de 2 000 hommes les contingents africains, en réaction à l’attentat de Kampala. Le bilan des derniers combats s’élevait hier à 40 morts et 130 blessés.

La Somalie n’est plus gouvernée depuis la fin de la guerre froide et la chute, en 1991, de son ancien dictateur, Mohamed Siad Barré, soutenu tour à tour par l’URSS et les Etats-Unis. L’échec retentissant de l’opération militaire Restore Hope, lancée fin 1992 par les Etats-Unis, a dissuadé toutes les puissances occidentales d’intervenir directement dans les incessantes guerres de clans en Somalie.

Les Shebab sont nés de la chute du gouvernement dit «des tribunaux islamiques», renversés après l’intervention militaire de l’Ethiopie, en 2006. Le groupe ferait partie d’un réseau terroriste global et a reconnu avoir fait allégeance à Al-Qaeda.

Etrangers. Le pays accueille aussi de nombreux jihadistes venus de l’extérieur. Ainsi, selon le gouvernement somalien, au moins sept ressortissants étrangers, dont trois Pakistanais, deux Indiens, un Afghan et un Algérien, ont été tués au cours du week-end dernier par la bombe qu’ils fabriquaient dans une maison de Mogadiscio. Parmi les 32 suspects arrêtés après le double attentat de Kampala figurent d’autre part 14 Ougandais, 10 Kényans, 6 Somaliens, un Rwandais et un Pakistanais. Par ailleurs, un agent français de la DGSE est toujours l’otage des Shebab, à Mogadiscio, depuis juillet 2009.

______________________ 3 – Amnesty international

YEMEN. LE YÉMEN ABANDONNE LES DROITS HUMAINS AU NOM DE LA LUTTE ANTITERRORISTE

Françoise Guillitte

Les autorités yéménites doivent cesser de sacrifier les droits humains au nom de la sécurité face aux menaces d’Al Qaïda, aux rebelles chiites zaïdites dans le nord et aux demandes croissantes de sécession dans le sud, a déclaré Amnesty International ce mercredi 25 août dans un nouveau rapport.

Intitulé Yemen : Cracking Down Under Pressure, ce document rend compte de nombreuses atteintes aux droits humains, notamment des homicides illégaux de personnes accusées de liens avec al Qaïda et de militants du Mouvement du sud, des arrestations arbitraires, des actes de torture et des procès iniques.

Les Yéménites accusés de soutenir les Huthis, rebelles armés membres de la minorité chiite zaïdite dans la région de Saada (nord du pays), ou le Mouvement du sud font également l’objet de détentions arbitraires, de procès iniques se déroulant devant des tribunaux spécialisés et de passages à tabac, de même que les journalistes, les dissidents, les défenseurs des droits humains et les détracteurs du gouvernement.

Certains ont été soumis à une disparition forcée pendant plusieurs semaines voire plusieurs mois par des organes de sécurité, dispensés de rendre compte de leurs actes pour la plupart, qui sont placés sous l’autorité directe du président du Yémen, Ali Abdullah Saleh.

« Une tendance extrêmement préoccupante se développe : les autorités yéménites, sous la pression des États-Unis et d’autres pour combattre al Qaïda, et de l’Arabie saoudite pour faire face aux Huthis, prennent la sécurité nationale comme prétexte pour s’attaquer à l’opposition et étouffer toute critique, a souligné Malcolm Smart, directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.

« Toutes les mesures prises au nom de la lutte antiterroriste ou d’autres enjeux de sécurité au Yémen doivent accorder une place centrale à la protection des droits humains. »

Le nombre de condamnations à mort prononcées contre des personnes accusées de liens avec al Qaïda ou avec les Huthis a sensiblement augmenté. En 2009, au moins 34 personnes accusées d’être en relation avec des groupes armés de Huthis ont été condamnées à la peine capitale.

Depuis l’an dernier, les forces de sécurité ont tué au moins 113 personnes lors d’opérations visant, selon les autorités, des « terroristes ». Ces attaques sont devenues plus fréquentes depuis décembre 2009 et les forces de sécurité, dans certains cas, n’essaient même pas d’arrêter les suspects avant de les tuer.

Le 17 décembre 2009, au moins 41 personnes ont trouvé la mort, dont 21 enfants et 14 femmes, lorsque leur campement de la région d’al Maajala, dans le gouvernorat d’Abyan (sud du Yémen), a été touché par des missiles.

« Les autorités yéménites ont le devoir de garantir la sécurité publique et de déférer à la justice les personnes participant à des attaques visant délibérément des membres de la population, mais elles doivent ce faisant respecter le droit international, a ajouté Malcolm Smart. Les disparitions forcées, les actes de torture et autres mauvais traitements et les exécutions extrajudiciaires ne sont jamais acceptables, et les autorités yéménites doivent immédiatement mettre fin à ces violations des droits humains. »

« Il est particulièrement inquiétant de constater que des pays comme l’Arabie saoudite et les États-Unis aident le gouvernement du Yémen, de façon directe ou indirecte, à s’engager dans un engrenage qui l’éloigne des avancées précédemment accomplies en matière de droits humains. »

Le Mouvement du sud est une coalition informelle d’individus, de groupes politiques et d’autres organisations qui réclament davantage de droits pour les habitants du sud. Ses origines remontent à la guerre civile de 1994 entre le nord et le sud du Yémen. De nombreuses factions de ce mouvement appellent aujourd’hui à la sécession du sud vis-à-vis du reste du Yémen.

Les Huthis, partisans de Hussain Badr al Din al Huthi, combattent les forces gouvernementales dans la région de Saada depuis 2004. Ce qui était au départ un mouvement de protestation contre l’invasion de l’Irak conduite par les États-Unis s’est transformé peu à peu en conflit armé, particulièrement après qu’Hussain Badr al Din al Huthi a été tué par les autorités.

Le Tribunal pénal spécial a été créé dans le cadre de la « lutte contre le terrorisme » en 1999, sa compétence a été étendue en 2004, et trois autres instances de ce type ont été mises en place en 2009. Ces juridictions sont utilisées pour condamner des personnes, comme les journalistes, qui traitent du conflit à Saada ou des revendications du Mouvement du sud.

Plusieurs centaines de personnes ont été jugées par le Tribunal pénal spécial depuis sa création.

Les autorités yéménites ont désormais recours à ce type d’instance pour poursuivre un vaste éventail de personnes dont les activités ou les révélations sont considérées comme hostiles ou dommageables au gouvernement.

Qassem Askar Jubran, ancien diplomate, et Fadi Baoom, militant politique, ont été arrêtés en avril 2009 et jugés pour avoir « porté atteinte à l’indépendance de la République » et à « l’unité du Yémen » et organisé des manifestations en faveur du Mouvement du sud. Tous deux ont été condamnés à cinq ans d’emprisonnement en mars 2010, mais ils ont depuis été libérés.

« Tout ce que les autorités ont contre lui est l’implication dans le Mouvement du sud, la publication d’articles dans le journal Al Ayam et la participation à des rassemblements », a indiqué Salah Askar Jubran, le frère de Qassem, à Amnesty International en mars.

La création du Tribunal spécialisé dans la presse et les publications en mai 2009 a été vue par beaucoup comme une tentative du gouvernement visant à réprimer l’opposition non violente et l’expression d’opinions critiques dans les médias.

Anissa Uthman, journaliste travaillant pour le journal Al Wasat, figure parmi plusieurs journalistes et rédacteurs en chef jugés par cette juridiction. Elle a été condamnée par contumace à trois mois de prison en janvier 2010 pour diffamation envers le président Saleh. D’après certaines sources, elle était poursuivie pour avoir dénoncé, dans certains de ses articles, l’arrestation et l’emprisonnement de défenseurs des droits humains.

________________________ 2 – AFP

Yémen du sud: l’armée reprend le contrôle de Loder

L’armée a repris le contrôle de la plus grande partie de la ville de Loder, dans le sud du Yémen, après cinq jours de combats avec des hommes armés liés à Al-Qaïda qui ont fait au moins 33 morts, a affirmé mardi un responsable yéménite à l’AFP.

Selon ce responsable d’un service de sécurité qui a requis l’anonymat, "l’armée a pu pénétrer mardi dans la ville et prendre le contrôle de la plus grande partie de Loder, après le retrait des éléments d’Al-Qaïda".
Il a ajouté que les soldats ratissaient la ville située dans la province d’Abyane, sans faire état d’accrochages.

Pour sa part, le ministère de la Défense a affirmé sur son site internet que "des éléments séparatistes hors-la-loi ont participé aux côtés des terroristes d’Al-Qaïda aux combats contre l’armée à Loder", ajoutant que "certains de ces éléments sont toujours retranchés dans des maisons de la ville".

Les combats à Loder, qui avaient éclaté vendredi, sont les plus violents à opposer les soldats à des hommes armés dans le sud du Yémen, où Al-Qaïda dans la Péninsule arabique (Aqpa) est actif et où les attaques contre les forces de sécurité et les responsables gouvernementaux se sont multipliées au cours des derniers mois.

Le Yémen du sud, qui était un Etat indépendant avant 1990, est également le foyer d’une contestation animée par le Mouvement sudiste, une coalition dont certaines composantes appellent au fédéralisme et d’autres à la sécession du Sud.

Les combats à Loder ont fait depuis vendredi 33 tués –11 militaires, 19 membres d’Al-Qaïda et trois civils– selon un décompte de l’AFP basé sur des sources officielles et médicales.

Plusieurs témoins avaient fait état d’un exode massif des habitants de la ville de Loder, qui compte en temps normal 80.000 habitants.

Dans un communiqué parvenu mardi à l’AFP, le principal dirigeant sudiste en exil, Ali Salem al-Baid, a appelé "l’ONU et la Ligue arabe à intervenir immédiatement pour arrêter les massacres et enquêter sur les violations perpétrées par le régime de Sanaa".

L’ancien vice-président yéménite a accusé Sanaa d’utiliser "l’argument de la lutte contre Al-Qaïda (…) pour obtenir un appui international et des aides des parties internationales concernées par la lutte contre le terrorisme".

"Nous répétons notre condamnation des agissements d’Al-Qaïda et soulignons à l’égard de la communauté internationale que le régime de Sanaa est de connivence avec ce réseau", a-t-il encore dit dans ce communiqué.

Selon lui, l’un des objectifs de "la campagne militaire menée contre Loder est de briser la résistance pacifique du peuple sudiste face à l’occupation, en entraînant le Mouvement sudiste pacifique à une confrontation armée pour le liquider".

________________________ 1 – El Moudjahid (Algérie)

Violences au Yémen : 7 morts

L’armée yéménite lance un ultimatum aux éléments liés à Al-Qaïda pour se rendre

Le ministère yéménite de l’Intérieur a fait état samedi soir de la mort de sept membres d’Al-Qaïda, dont trois étrangers, et trois blessés dans les affrontements avec l’armée vendredi soir à Loder, dans le sud du Yémen.

Un précédent communiqué du ministère de la Défense faisait état de cinq morts parmi les membres d’Al-Qaïda. Onze militaires et trois civils ont péri également dans ces accrochages, selon un bilan du ministère de l’Intérieur.

Les onze soldats tués sont tombés dans "des embuscades tendues par des éléments terroristes d’Al-Qaïda et certains hors-la-loi qui coopèrent avec eux", a précisé le ministère. Parmi les victimes figurent huit soldats tués par une roquette RPG qui a touché de plein fouet le véhicule blindé à bord duquel ils se trouvaient.

27/08/10 (B566) A lire sur LOI cette semaine …

___________________________________________ Djibouti

LA LETTRE DE L’OCEAN INDIEN N°1291 – 28/08/2010
Djibouti
L’Association cultures et progrès (ACP), basée à Bruxelles et codirigée par Dimitri Verdonck et Ali Deberkale, prépare un ouvrage collectif sur l’état des droits de l’homme à Djibouti , qu’elle espère publier quelques mois avant l’élection présidentielle d’avril 2011. (…).

LA LETTRE DE L’OCEAN INDIEN N°1291 – 28/08/2010
La mort subite a encore frappé
L’abus de khat, l’incertitude sur l’avenir politique du pays et les conflits d’intérêts financiers entre les dirigeants du régime djiboutien forment un véritable cocktail détonnant. (…).

LA LETTRE DE L’OCEAN INDIEN N°1291 – 28/08/2010
René Forceville
L’ambassadeur de France à Djibouti , Dominique Decherf, partant à la retraite, c’est un diplomate très expérimenté qui va le remplacer. (…).

LA LETTRE DE L’OCEAN INDIEN N°1291 – 28/08/2010
Aline Kuster-Ménager
Un nouvel ambassadeur de France va prochainement prendre ses fonctions en Ouganda, pour remplacer René Forceville muté à Djibouti

__________________________ Ethiopie

LA LETTRE DE L’OCEAN INDIEN N°1291 – 28/08/2010
Addis-Abeba

édéral de la capitale éthiopienne a ordonné la comparution, forcée si nécessaire, du PDG de la Dashen Bank. (…).

LA LETTRE DE L’OCEAN INDIEN N°1291 – 28/08/2010
Prochain congrès national de l’EPRDF en Ethiopie
Il n’est pas certain que le congrès de l’Ethiopian People’s Revolutionary Democratic Front (EPRDF, coalition gouvernementale), prévu courant septembre, donne lieu à de grands changements stratégiques. (…).

LA LETTRE DE L’OCEAN INDIEN N°1291 – 28/08/2010
Asmara veut unir l’opposition éthiopienne
L’homme fort d’Asmara, Issayas Afeworki, cherche la parade pour faire pièce à la conférence des organisations de l’opposition érythréenne que l’Ethiopian People’s Revolutionary Democratic Front (EPRDF, coalition gouvernementale) a accueilli début août dans la banlieue d’Addis-Abeba. (…).

LA LETTRE DE L’OCEAN INDIEN N°1291 – 28/08/2010
Feu vert pour le port de Lamu
Selon une source proche de la présidence kenyane, les préparatifs du lancement du projet de construction d’un port en eau profonde à Lamu ont atteint un niveau avancé. (…).

AFRICA MINING INTELLIGENCE – Edition française N°232 – 25/08/2010
Or : qui sont les raffineurs de demain ?
Fini le monopole des Sud-Africains dans le raffinage de l’or en Afrique ? Longtemps dans les cartons des gouvernements ghanéens successifs, le projet de construction d’une raffinerie de métal jaune dans l’ancienne Côte-d’Or refait surface. (…).

____________________________ Erythrée

LA LETTRE DE L’OCEAN INDIEN N°1291 – 28/08/2010
Asmara veut unir l’opposition éthiopienne
L’homme fort d’Asmara, Issayas Afeworki, cherche la parade pour faire pièce à la conférence des organisations de l’opposition érythréenne que l’Ethiopian People’s Revolutionary Democratic Front (EPRDF, coalition gouvernementale) a accueilli début août dans la banlieue d’Addis-Abeba. (…).

LA LETTRE DE L’OCEAN INDIEN N°1291 – 28/08/2010
Sunridge Gold Corp.

A partir de septembre, la compagnie minière canadienne Sunridge Gold Corp.

27/08/10 (B566) Communiqué du CDS pour inviter les Djiboutiennes et les Djiboutiens à se réunir le 12 septembre pour fêter l’Aïd El Fitr

A l’initiative du Congrès Djiboutien pour la Solidarité(CDS) une journée de rencontre et de fête à l’occasion de l’Aïd El fitri aura lieu le Dimanche 12 septembre dans les locaux de centre Kriekelaar au 86 rue de gallait à Schaerbeek (près de la place Liedts) à partir de 14h jusqu’à 18h.

Le but de la rencontre est d’entretenir et d’accompagner la dynamique pour le changement actuellement en cours dans notre pays. Il s’agit également pour la diaspora de sortir des initiatives isolées et de s’inscrire dans un programme unitaire et coordonné.

Est-il nécessaire de rappeler que la situation tant économique que politique du pays se dégrade dangereusement. En témoigne le détournement massive (qui se chiffre en milliards) des recettes de l’état mais aussi des morts subites dans des circonstances absurdes qui se multiplient et cela même à l’intérieure de l’appareil sécuritaire du régime.

Ismail Omar est désormais seul ! Seul à savoir où il dirige le pays, seul à choisir les options, seul à gérer les ressources.

Chers frères,

Nous ne nous lasserons jamais de le dire : silence qui tue et l’action libère.

Mobilisons nous contre l’arbitraire.

Animations culturels

Adresse
De Kriekelaar Center
Rue gallait 86
1030 Schaerbeek (Bruxelles près de la place Liedts)
Transport en commun : Tram 55 arrêt Rubens où Pavillon

Contacts :
0486 355 827 Mahamed Robleh Bourale
0486 363 110 Bouh Robleh Ismail
0486 186 264 Moustapha kaire Darar

27/08/10 (B566) Contribution d’un lecteur : NE TOUCHE PAS A LA CONSTITUTION REPUBLICAINE

Le projet pour la violation de la Constitution djiboutienne est lancé. Les opérations ont débuté officiellement au cours du 31éme anniversaire du parti unique au pouvoir.

Monsieur le Président de la République ou plutôt le Président d’une poignée d’hommes et des femmes non rassasiés de détourner les fonds publics, je ne sais pas si je peux encore vous dire Président, car le mot Président désigne une personne qui gouverne ou dirige un peuple dans le bon sens de la démocratie et de la justice. Alors que vous, votre seul rêve est de détruire ce petit pays pauvre et d’en modifier sa constitution aux seul but et objectif de continuer à vous enrichir et à creuser encore plus profondément le fossé humain, financier et justice entre les djiboutiens.

Permettez-moi de vous rappeler que ‘ La Constitution d’un État a valeur de Loi ; elle est à la fois l’acte politique à valeur juridique et la loi fondamentale qui unit et régit de manière organisée et hiérarchisée l’ensemble des rapports entre gouvernants et gouvernés au sein de cet État, en tant qu’unité d’espace géographique et humain. La Constitution garantit les droits et les libertés de la communauté humaine concernée’.

Je mets en évidence le sentiment que fait naître chez les citoyens djiboutiens la question de la révision constitutionnelle telle qu’elle se présente aujourd’hui.

Pourquoi voulez-vous changer la constitution ? Ce n’est pas pour servir l’intérêt du peuple djiboutien qui souffre de ce que vous avez déjà semé à savoir la pagaille, le désordre, l’anarchie, la peur, l’intolérance, l’injustice et la corruption.

Ce n’est pas en faveur des populations de Balbala, du PK 12, d’Arhiba, des Quartier 1, 2, etc…., d’Obock, de Tadjourah, Ali-Sabieh, Arta ni de Dikhil, mais les résidents d’Haramous et du Héron, qui ne cessent de gagner sur la mer et qui continuent de construire ces villas ultras modernes avec de l’eau minérale.

Alors que mon cousin, citoyen de Layableh ou d’Arhiba, ne boit même pas de l’eau potable.

Il faut souligner, que les modalités de révision constitutionnelles, ne peuvent être que le résultat d’un arbitrage des constituants autour de trois impératifs. D’une part, la volonté et la nécessité de ne pas livrer les institutions à une instabilité quasi congénitale, c’est-à-dire qui aurait été préparée, facilitée et favorisée par la Loi fondamentale elle-même. Une telle instabilité aurait pour conséquences, par exemple, la fragilisation et la non pérennité ou encore la non permanence des institutions démocratiques, l’instabilité politique avec tous les inconvénients pour le développement de la nation, bref, une sorte de précarité institutionnelle, politique voire sociale.

D’autre part, il y a la nécessité de se ménager des voies de sortie plus ou moins étroites, certes, mais possibles, réalistes, praticables, si l’on ose dire. Il s’agit de ne pas tomber dans l’excès inverse qui consisterait à conduire la société dans une espèce d’impasse ou de cul-de-sac institutionnel. Il est, en effet, indispensable de se préserver la possibilité d’introduire dans la Loi fondamentale, des amendements, des améliorations souhaitables et même requises susceptibles de l’enrichir, de la compléter, de la rendre plus efficiente et plus efficace par rapport aux objectifs que l’on veut atteindre.

Et enfin, il apparaît que la révision ne devrait pas être source de polémique ou de débat. Et c’est là justement tout le problème de la considération de la révision dans l’absolu. L’histoire contemporaine de l’Afrique et l’actualité fourmillent d’exemples qui font réfléchir et rappellent à l’envi l’exigence d’objectivité et de retenue qui s’imposent devant les questions de révision constitutionnelle.

En effet, selon les pays, la modification de la constitution a entraîné des problèmes, voire des guerres. On peut citer, avec des nuances, les cas de la Côte d’Ivoire, du Niger, du Congo-Brazzaville, du Togo etc. On peut citer aussi les cas différents du Burundi et du Rwanda qui mettent en exergue le fait que les constitutions n’ont pas tenu compte du contexte, avec tous les inconvénients qui en découlent, hélas.

Quelles voix avez-vous entendues, pour nous demander de confirmer un troisième mandat, illégal de fait. Ce n’est pas celle de Farah qui habite sous une tente à Cheik Moussa, ni celle de Safia de Djebel, ni celles d’Hamadou de Sagalou ou d’Assoweh qui travaille à Edmonton dans le froid et la neige parce qu’il a été contraint de fuire l’injustice et le chômage qui touche une partie ciblée du peuple djiboutien.

Avez-vous entendu les propositions de Rifki, votre ministre rapporteur, de Boulaleh Barreh ou de Dileita. Vous devriez pensez aussi au dernier jour, celui où l’on passe le jugement dans l’au-delà. Vous ne devriez pas négliger la crainte du jugement de Dieu. Finir Pharaon de Djibouti ? Votre souhait est-il d’être accroché au pouvoir, à l’argent et de contempler les maux de ce pauvre peuple qui souffrent en silenc (pour le moment !) par votre faute.

Si aujourd’hui, nos valeureux guerriers comme, ANDOLEH, HARBI, ou OUDOUN découvraient vos ambitions, ils se seraient mordu les doigts avant de repartir au combat. Et cette fois, leur adversaire ne serait plus l’administration coloniale, mais celui qui se prend désormais pour le Messie, le prince « à vie » de notre petit pays.

J’en terminerai, ne touche pas à la Constitution pour le bien être de la République de Djibouti. Il vous faut partir en 2011 comme la Constitution républicaine la prévoit.

A.B
Amérique du Nord
Militant Actif de L’Union pour la Démocratie et la Justice
U.D.J

27/08/10 (B566) LDDH : Halte aux crimes qui sont commis chaque jour, en Somalie, par les forces armées du Burundi et de l’Ouganda, sous couvert de l’IGAD, avec le haut-parrainage des Nations unies et le soutien financier de l’Amérique d’Obama. Libérez la Somalie de toute ingérence extérieur, car alors les populations sauront s’entendre entre elles !



Le Président

COMMUNIQUE DE PRESSE DU 24 AOÛT 2010

MASSACRES A MOGADISCIO PAR LES FORCES TUEUSES ONUSIENNES
ESSENTIELLEMENT DE L’OUGANDA.



Quand l’Administration d’Obama va-t-elle mettre fin au financement des crimes de guerre qui sont commis en permanence à Mogadiscio ?

« Les Somalis parviendront à s’entendre, dès que les forces étrangères
et les interférences étrangères cesseront ».
Cheick Daher Aweys
Patriote Somali leader de Xisbi Al Islam

– Conscients, de la volonté des Patriotes Somalis de mettre fin à la présence des Forces Etrangères d’occupation, qui pillent, violent et massacrent les personnes fragilisées.

– Conscients que, ces Forces de l’AMISOM sont financées par des puissances étrangères qui n’ont
pour seul objectif, que de déstabiliser, de fractionner la République de Somalie et de
soutenir, avec des bombardements aveugles, un gouvernement fantoche fabriqué dans
un Hôtel de Djibouti, un gouvernement « qui ne contrôle rien sur le terrain », un
groupuscule cantonné dans un paté de maisons à Mogadiscio sous la protection
des Forces tueuses d’Ouganda et du Burundi ;

+ Nous Déplorons, l’Entêtement des Nations Unies, des Etats-Unis, de l’UE à participer au financement du g énocide et de l’extermination des habitants légitimes de Mogadiscio en République de Somalie ;

+ Nous déplorons et nous dénonçons, les Crimes de guerre, les Crimes de génocide et les Crimes
contre l’Humanité qui sont perpétrés par les Forces Onusiennes de l ‘Amisom, sous le
parapluie de l’IGAD, depuis 2006 ;

+ Nous d éplorons, le silence du Procureur de la Cour Pénale Internationale sur l’Impunité des Crimes Onusiennes, avec les massacres quotidiens des Forces tueuses de l’Ouganda et du Burundi en République de Somalie, qui se sont multipliés depuis le départ des forces coloniales éthiopiennes ;

+ Nous saluons, le refus historique des Autorités de l’Afrique du Sud à ne pas participer aux massacres des Populations Somalies.
Cette récente Décision des Autorités de l’Afrique du Sud de ne pas envoyer des troupes en République de Somalie sera inoubliable ;

+ Nous saluons, tous les Chefs d’Etat africains amis du Peuple Somali, condamné à
l’extermination par décision de l’IGAD dont le siège est à Djibouti, qui refusent d’envoyer des troupes
pour participer au massacre « programmé » de la population d’un pays africain ;

+ Nous lançons un Appel solennel, aux peuples de l’Afrique de l’Est, notamment à nos
frères du Burundi et de l’Ouganda pour faire pression sur leurs élus afin d’activer le départ des Forces tueuses, qui perçoivent des rentes en échange de l’extermination d’un peuple pacifique qui n’aspire qu’à son unité et à son Développement.

+ Nous rappelons que, l’eurodéputé socialiste portugaise Anna Gomes avait déclaré et
sonné la charge en accusant l’UE, tout comme les Etats-Unis, d’avoir « mis tous
ses œufs dans le panier du gouvernement de transition somalien qui ne contrôle
rien sur le terrain »;

+ Nous rappelons que, lors de la victoire d’Obama contre « l’illuminé » Bush ennemi
numéro 1 du peuple Somali, que la victoire d’Obama avait allumé une lueur d’espoir
pour tous les Somalis et en particulier ceux qui vivent à l’extérieur ;

+ Nous
rappelons que, dès son intronisation, le Jeune OBAMA avait immédiatement fait débloquer plusieurs dizaines de millions de US
Dollars au profit des forces tueuses des grands lacs via Kampala (Ouganda) et ce en accord avec avec le
Ministre de Bush au Pentagone,

__________________
Par ces motifs .

Préoccupés par les bombardements inadmissibles et indignes qui sont commis par des forces tueuses agissant sous le couvert d’un label ridicule « forces pour la Paix », mais qui ont effectivement des
comportements fascistes sur le terrain et qui bénéficient, hélas, du parrainage du Conseil de Sécurité des
Nations Unies ;

Lançons et réitérons des Appels Pressants à la Communauté Internationale pour faire pression sur les Nations unies de New-York, afin que toutes les forces d’occupation de l’Amissom quittent la République de Somalie, dans les plus brefs délais, comme l’avaient fait les forces éthiopiennes ;

Demandons aux Défenseurs des Droits de l’Homme et à tous les journalistes qui ont payé un lourd tribu dans la recherche de la vérité, à continuer leur
mobilisation pour mettre fin à l’impunité des crimes de guerre, crimes de
génocide et crimes contre l’Humanité perpétrés contre les populations civiles déjà fragilisées.

QUE DIEU TOUT-PUISSANT PROTEGE LE PEUPLE SOMALI

NOEL ABDI Jean-Paul

27/08/10 (B566) Le site de l’ARDHD est de nouveau disponible pour les internautes qui se connectent depuis Djibouti ! (ARDHD)

Le site est de nouveau accessible au pays.

Probablement le dictateur a-t-il été sensibilisé par nos arguments de bon sens et peut-être même a-t-il enfin compris l’inutilité de la mesure (?) :

– la censure d’un site, même si elle ajoute une difficulté supplémentaire aux internautes, ne fait que retarder de quelques heures, la diffusion des informations,

– en censurant un site, le régime lui donne officiellement du crédit. En donnant l’ordre de couper le robinet, le régime confirme qu’il est dérangé par les informations diffusées : elles deviennent alors pour les internautes des informations à rechercher par tous les moyens et à diffuser largement, puisqu’elles sont rares …

– la censure démultiplie ausi la soif de savoir ce que le régime veut masquer. Tous les moyens de copie, de tansfert sont alors utilisés. Par exemple, pendant les périodes de censure, nombreux sont ceux s’échangent des copies dans les mabrazes et même, nous dit-on, qui se les revendent (?)

Bref, avec la mondialisation de l’information et le développement des techniques de contournement, la censure des sites internet ne sert plus à rien, sauf à crédibiliser largement les sites qui en sont les victimes et à créer un marché local de revente des informations.

27/08/10 (B566) Point de vue : Qui est plus tribaliste qu’IOG et son régime ? (Lecteur)

Je voudrais réagir aux propos insultants tenus par celui qui est encore considéré comme le président encore légal pour six mois, mais qui n’est pas légitime de notre pays.

C’est Lui qui, à un moment solennel de notre histoire, la commémoration du 33ème anniversaire de notre pays où il aurait du célébrer la lutte acharnée de notre peuple contre le colonialisme français, chanter la mémoire de nos héros, nous relire les pages dorées de notre Histoire et l’aventure exaltante de notre libération, s’évertue à se mettre au premier rang et à occulter notre histoire.

Lui qui incarne la médiocrité pour avoir d’abord collaboré avec les colons et ensuite pour n’avoir pas su gouverner le pays que Gouled lui a offert sur un plateau d’argent avec la promesse d’élections truquées d’avance.

IOG s’est particulièrement illustré par son comportement défaitiste, sa phobie des élections justes et transparentes, son manque aigüe de vision. Il a préféré sacrifier son pays et son peuple pour son intérêt personnel.

Il s’est entouré d’hommes sans scrupule qui, comme lui, ont trahi un par un leurs meilleurs amis (feu Yacin Yabeh, Abdourahman Boreh, Al-Gamil…. la liste est longue). Des corrompus comme lui, sans foi ni loi comme lui, même s’il s’amuse à construire des mosquées.

C’est cet homme-là, qui le 27 juin dernier a prétendu nous donner une leçon de tribalisme.

Qui contrôle le Port, l’EDD, la banque nationale, l’ONED, la Garde dite républicaine, l’armée dite nationale, pour ne citer que ceux-là ?

Ce n’est pas un hasard si de hauts-gradés issus des autres tribus se « suicident » souvent ? Pire encore IOG a deux ministres qui lui sont liés par alliance.

Sans oublier les multiples ambassadeurs génétiquement proches de Guelleh, comme le fameux Olhayeh. Aussi incompétents qu’improductifs comme lui. C’est vrai qu’avec un quotient intellectuel (QI) inférieur aux plus basses mesures connues, il ne pouvait rien espérer d’autre que de faire l’espion d’abord au profit de la puissance coloniale et maintenant contre son peuple.

C’est sans doute pour camoufler ce passé honteux que, vous et votre femme, vous faites la « danse de ventre » le jour où les vrais djiboutiens pleurent leurs héros dont vous êtes peut-être, vous deux, les bourreaux directs ou indirects.

Est-ce la raison pour laquelle vous voulez faire oublier nos héros de l’indépendance qui se sont sacrifiés pour notre patrie ? Est-ce pour cette raison que vous cherchez à salir les noms de ceux qui sont vivants comme le valeureux Aden Robleh.

Même lorsqu’il s’agit d’envoyer des délégations en Somaliland, IOG calcule tribu.

C’est pourquoi il a envoyé Ali Abdi Farah et Mohamed Awaleh à Hargeysa.

Comme si le « très lucide » et « très bien élu » Président Silaanyo regardait l’origine ethnique des membres des délégations. Nos ministres indignes se sont très vite rendu compte de leur bassesse et ils se sont mis, à contre-cœur, à vanter les mérites de l’alternance démocratique, en vérifiant auparavant et avec soin, qu’IOG était bien resté à Djibouti.

Ce monsieur mafieux a fait du tribalisme la pierre angulaire de sa politique. Inversant les rôles quand ça l’arrange, il a même commis l’outrage d’accuser les dirigeants de l’opposition d’être des « tribalistes ». Les fourbes ont la manie d’accuser leurs adversaires, de leurs propres turpitudes ! .

Sans le valeureux Gouled dont vous avez ignoré les funérailles, sereiz-vous Président aujourd’hui et seriez-vous même quelqu’un. IOG, ne l’oubliez pas ! Vous aussi, vous avez trahi vos bienfaiteurs !

Nous, nous savons que vous êtes à la fois « un tribaliste et un traitre ».