24/06/06 (B356_A) Tous à vos écrans le 28 juin, lendemain de la fête nationale. L’atterissage de Guelleh, après les réjouissances du 27 juin, pourrait être difficile. Comme nous le laissions entendre depuis plusieurs semaines, c’est un nouveau reportage de Bernard Nicolas sur les développements de l’affaire Borrel qui sera diffusé le 28 juin 2006 dans l’émission 90 minutes « Droit de suite », à partir de 23h05.
Le sujet est annoncé par Canal +
: http://www.canalplus.fr/pid61-rid26979.htm
DROIT DE SUITE :
90 MN
LES SUITES DE L’AFFAIRE DU JUGE BORREL
Une enquête de Bernard Nicolas
RESUME
La suite du reportage diffusé le 2 Decembre 2002 Des analyses ADN effectuées sur les vêtements de Bernard Borrel ont révélé trois ADN différents, dont deux ne sont pas de Bernard Borrel. Selon les experts, il pourrait s’agir de traces de sueur laissées par les hommes qui ont transporté le corps.
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D’autre part, 90 MINUTES a retrouvé un témoin supplémentaire qui accrédite la thèse selon laquelle deux hommes, incarcérés pour des actes terroristes, ont été extraits de la prison de Gabode à Djibouti avant la mort du juge, et réincarcérés après.
Un deuxième raconte comment un de ces terroristes, après avoir été gracié en
Djibouti, 19 Octobre 1995. Le corps d’un homme est retrouvé au pied d’une falaise à 80 kms de Djibouti. Ce cadavre est celui de Bernard Borrel, un magistrat français, en mission de coopération. Le corps est découvert en partie carbonisé. L’enquête n’a pas encore commencé que l’Ambassade de France diffuse l’information qui deviendra la version officielle : suicide par immolation.
Quand le corps est rapatrié, les radios ont disparu et il n’y a pas eu d’autopsie.
Depuis l’enquête de 90 MINUTES, de nombreux éléments sont venus renforcer la thèse de l’assassinat du juge Borrel. En 2003, la veuve de Bernard Borrel a rendu publique une nouvelle expertise médico-légale qui contredit la thèse du suicide de son mari, notamment en raison de la constatation d’un traumatisme crânien, d’une fracture de l’avant-bras gauche et de la présence de deux liquides inflammables différents.
La justice française travaille désormais sur la seule thèse de l’assassinat.