11/02/08 (B434) ALERTE ROUGE Incarcération du Père Sandro de Pretis par Guelleh. Le délai de quatre mois étant écoulé, le délai de préventive est écoulé et il devrait être libéré immédiatement. (Lecteur)

_______________________________________ Note de l’ARDHD
Chris Lafaille est le journaliste négationniste de l’assassinat du Jge Borrel. Bernard Nicolas l’avait mis KO lors d’un débat télévisé. Aujourd’hui, il récidive dans un livre consacré au sujet. Que fait-il ? Il plagie à son profit, des passages entier de textes qui avaient été publiés par La Nation ainsi que les propos tenus par Djama Grandes Oreilles lors d’une conférence de presse. Curieux pour un journaliste qui se prétend « Indépendant » – Il n’a même pas donné la parole à Mme Borrel ….???

En fait, la seule inconnue concerne le montant des honoraires qui lui ont été versés par Guelleh pour cet infâme travail de négationniste … Chris Lafaille devrait, en plus, être coopté prochainement dans l’Ordre des Brosses à Reluire, devenant le deuxième occidental a été reçu, après l’Ambassadeur de France Jean-Marie Angelier, qui s’était distingué en remettant la Légion d’Honneur à Zakaria en plein délibéré du procès qui nous opposait.  Et en plus, il avait fait envoyer la copie de son discours avec ses annotations manuscrites au Juge …. peine perdue d’ailleurs, compte-tenu du jugement qui a été prononcé à l’époque …
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La détention Arbitraire du père Sandro est illégale et sans justification du Parquet ni de la Chambre d’Accusation et pourtant elle a dépassé le délai des 4 mois, prévu par le Code de Procédure Pénale.

Le Père Sandro est-il victime
d’un verdict déjà prononcé ?

Fort possible, d’autant plus que comme des affaires véreuses deux livres tendancieux poussent en même temps sur le même Editeur, arrivent simultanément à Djibouti et sont ouvertement affichés sans franchise et pour une somme avec un bon bénéfice emboîtable tout taxe compris. Simple constat.

Dans le même vol que celui en provenance de la Haye ?

Verdict de Chris Laffaille sur le père Sandro.

En survolant les passages sur le père Sandro probablement recueillis en partie et ce en violation du « Secret d’Instruction », par un spécialiste sans aucun doute proche du. et qui à première vue semble rabaisser sa belle plume vers des Euros sonnants. N’est-ce pas ?

Et comment expliquer aussi les plagiats des passages déjà publiés par le Journal « La Nation » qui n’avait pas manqué de lui ouvrir ses portes alors que son site Internet est depuis longtemps opérationnel ?

Drôles de coïncidences à quelques tournures près.

Les passages sur le Père Sandro sont sporadiques et peu nombreux, mais avec de telles affirmations basées sur des soupçons et des fausses déclarations, on est droit de se demander si le but final est celui de fixer définitivement un motif d’accusation afin d’inciter le Juge d’Instruction à instruire dans ce sens ?

Et que condamnation suive ?

Rappelant que, la Chambre d’Accusation sur Appel du Ministère Public avait rapidement incarcéré le Père Sandro et pourtant le Juge d’instruction chargé de l’affaire l’avait mis en liberté provisoire durant l’enquête.

Reste à savoir, si la Chambre d’Accusation a pris cette Décision pour ne pas entraver les pitres allégations non fondées, fortement médiatisées à Djibouti du Procureur Général M. Djama Souleiman. (Voir la première page du journal la Nation n°124 du jeudi 18 octobre 2008 : Affaire Borrel).

Il est bon de souligner que la plume de Chris est clairement empreinte des propos de cette Conférence de Presse dans un Hôtel de luxe – alors que le Pavé du Palais de Justice s’apprête mieux à de telles déclarations- justifiant en même temps l’incarcération du Père Sandro.

Aujourd’hui 11/02/08 le Père Sandro est encore en Détention Arbitraire, le délai des quatre mois a expiré le 9 février dernier.

Rappelant les deux pivots de Chris

– Le mois de novembre 1999 marque un tournant décisif dans l’affaire Borrel en dévoilant une formidable convergence d’intérêt. (197)

– Les intérêts communs existent, c’est certains : mettre Guelleh en accusation, lui faire perdre sa crédibilité, tel serait le socle de l’alliance. (198)

Passages sur le père Sandro

Un terrain de chasse pour pédophiles (pages 227)

– « A ce stade de l’enquête, il apparaît que les partisans de la thèse de l’assassinat se sont bel et bien écartés des faits pour dépeindre une situation imaginaire, diffusée par des médias à la fois victimes et promoteurs d’un travestissement de la réalité. Or, en ce mois d’octobre 2007, au moment où, dans le cours de ma rédaction, je m’apprête à aborder  la question des raisons du suicide du juge Borrel, la réalité djiboutienne vient de sauter à la figure avec l’arrestation du père Sandro, un Italien responsable de la Mission catholique d’Ali Sabieh. Raison de sa mise en détention à Djibouti : « diffusion et enregistrement d’images de mineurs présentant un caractère pornographique ». (ces points de suspensions sont de l’auteur) (227).

– Quel rapport avec l’affaire Borrel ? Selon moi, nous sommes au cour même du sujet. Pas à pas, je vais tenter de démontrer en quoi (228). Sandro de Prétis a 52 ans. Ancien d’une ONG italienne opérant en Erythrée, reconverti en père missionnaire, il a été ordonné prêtre en 1993 par Monseigneur Perron, l’évêque de Djibouti. La gendarmerie de djiboutienne l’a arrêté le 8 octobre dernier et a saisi de nombreux films papier et des milliers de photos numériques stockées dans son ordinateur. Il se photographiait en maillot de bain avec les enfants en prenant des poses indignes d’un homme d’église. Les photos saisies dans le disque dur de son ordinateur sont plus explicites, paraît-il, mais couverte par le secret de l’instruction. Le père Sandro s’est occupé, un temps du foyer d’enfants Caritas situé derrière l’église de Djibouti, le même foyer de rue administré par l’association Porte Ouverte de Sylvie David dont m’avait parler mon contact…

Sandro a eu la charge de ce foyer immédiatement après qu’un éducateur djiboutien de l’association eut dénoncé à la police, dès 1999, les dérives de certains prêtres de la cathédrale. A ce moment-là, une guerre sans merci avait été déclarée par l’Eglise locale à l’association Porte ouverte. (228)

– En novembre 2006, quelques semaines après cet entretien, je me rendis à Djibouti pour tenter d’éclaircir et de vérifier.

– A cette même époque, continua Mao, mes soupçons ainsi que ceux de Mme David s’étaient également portés sur un autre père de la mission : le père Sandro, un prêtre italien qui était très, trop proche des enfants. Il avait l’habitude de les emmener à la plage ou sur les îles et prenait en photos des enfants nus lors de ces sorties. « ces points de suspensions sont de l’auteur » (236).

– Aujourd’hui, la justice djiboutienne a retrouvé les garçons et les filles qui vivaient dans le foyer Caritas de la cathédrale dont Sandro avait eu la charge. Leurs témoignages sont révélateurs : les garçons accablent le père Sandro, les filles le père Aubert. Ces témoins sont d’autant plus crédibles qu’ils ont aujourd’hui 25 ans, qu’ils ont fondé une famille et qu’ils ont toujours voulu oublier ce passé douloureux (250).

– 7 octobre 2007 Le père Sandro de Prétris, ancien responsable de la mission Caritas à Djibouti, est arrêté par la gendarmerie à la Mission catholique d’Ali Sabieh. Placé en détention provisoire, il et inculpé de diffusion et d’enregistrement d’images de mineurs présentant un caractère pédophile (323)
».

L’auteur dit que Sandro a été arrêté le 8 octobre 2008, pour sa chronologie, il s’agit du 7 octobre 08, à cause des précipitations.

Les passages, ci-dessus, sur le père Sandro vous sont reproduits in extenso.
Pages : 227, 228, 236, 250, 323.

Avertissement sur le crime du 5 mars 1987. Pages 241 à 243

Avant de nous poser des questions, il est de notre devoir de dénoncer les passages sur le meurtre du père Léon connu sous le nom de père Marcellin, qui ne sont pas les versions de Madame Fois mais plutôt les termes d’une fausse enquête accompagnée d’un procès bidon.

Dans ce cas précis, le Vatican sait mieux que quiconque, que le père Marcellin avait été assassiné par la Police Parallèle, car ses engagements auprès de la Rébellion Afar était de notoriété publique.

Il temps d’arrêter, les fausses versions, car ce crime commandité risque de remuer des vases dangereuses pour les commanditaires, mêmes si certains sont décédés.

Questions sur le procès d’intention de Chris Laffaille.

1. Qui fait perdre, en réalité, la crédibilité d’Ismaël Omar ?

2. A Tadjourah, qu’avait dit Ismaël Omar, en langue Somalie, le jour de la vaste manifestation contre la « France pédophile ?

3. Où était exactement Ismaël Omar quand il avait déclaré que pendant 12 ans, ils ont caché la vérité, et que maintenant la vérité éclatera ? Et quelle vérité ?

4. Pourquoi n’a-t-il pas dit la vérité pendant tant d’années ?

5. Pourquoi le Premier Magistrat a-t-il caché la vérité à la Justice ?

6. Ce mensonge par omission volontaire n’est-il pas passible d’un Jugement en Haute Cour de justice ?

7. Des questions que Chris a oublié de se poser, car le complément dans son «inavouable vérité de l’affaire Borrel » axé sur l’Eglise ne date qu’après la vaste manifestation contre « la France Pédophile », les diatribes du Chef de l’Etat à Tadjourah, les propos calomnieux du Journal « La Nation » lancés contre l’Eglise, un peu avant l’incarcération du père Sandro.

8. Toute sa démonstration sur le Père Sandro est :

a) – « Sandro a eu la charge de ce foyer immédiatement après qu’un éducateur djiboutien de l’association eut dénoncé à la police, dès 1999, les dérives de certains prêtres de la cathédrale.

b) – A cette même époque, continua Mao, mes soupçons ainsi que ceux de Mme David s’étaient également portés sur un autre père de la mission : le père Sandro, un père italien qui était très, trop proche des enfants. Il avait l’habitude de les emmener à la plage ou sur les îles et prenait en photos des enfants nus lors de ces sorties. ».

9. M. Chris LAFFAILLE n’a pas respecté le principe du contradictoire en se rendant à Gabode pour entendre le Père Sandro et pourtant les portes de Gabode lui sont et ont été facilement ouvertes le 5 novembre 2007 pour entendre CG (Christian Georges). (C’est dans son Livre, pages 257)

Le reste des faits reprochés empiètent gravement les prérogatives de la Justice, tout en violant, avec des faux, le respect du secret de l’instruction domaine strictement réservé au Juge d’Instruction.

Toutefois, la question fondamentale est, surtout, de savoir si le Ministère Public est habilité à dénoncer toutes ces affirmations gratuites et à notre avis tendancieuses, insultantes et diffamatoires ?

Autrement, compte tenu de la publicité pour ce livre déjà insérée dans Jeune Afrique, du 3 au 9 février 2008, à la même page que l’interview d’Ismaël Omar dans « Djibouti n’a pas besoin de la France » on peut facilement comprendre beaucoup de choses.