01/05/09 (B496) Radio-Trottoir : comment se sont déroulées les dernières heures vécues par Christian Georges et le Père Sandro sur le sol Djiboutien, avant leur expulsion pour la France. (Correspondant)
Selon l’avocat djiboutien de Christian Georges, ce serait l’Ambassade de France qui aurait payé le billet d’avion parce qu’il n’en avait pas les moyens (*).
Selon un agent de l’Aéroport de Djibouti, Christian Georges et le Père Sandro auraient été expulsés, manu militari, le même jour.
Ils auraient d’abord passé toute la journée dans la salle de transit de l’Aéroport sous la surveillance des gendarmes. Leurs passeports auraient été remis directement par la Gendarmerie au personnel naviguant, avec mission de les remettre directement à la Police des Frontières à Paris.
L’ARDHD a fait le maximum pour Christian Georges. C’est grâce à vous et aux pressions que vous avez initiées qu’il a évité un procés devant la Cour criminelle avec des peines beaucoup plus lourdes.
Votre Correspondant
(*) Note de l’ARDHD.
Bien que les autorités diplomatiques françaises n’aient pas répondu à la lettre ouverte que nous leur avions adressé, il est rassurant de constater qu’elles ont pris en main le cas de Christian Georges pour lui faciliter le départ de Djibouti. Nous les en félicitons.
Maintenant l’ARDHD a rempli sa mission. La suite, à partir du moment où il est arrivé en France, ne concerne que lui et ne nous regarde plus.