21/10/10 (B574) Un enseignant djiboutien lance un appel de détresse. (Enseignant)

Je vous écris de Djibouti.

Tant bien que mal, j’ai réussi à vous faire passer ces quelques lignes en franchissant les filets qui nous sont opposés par l’implacable censure qui empêche votre site d’être lu depuis notre pays.

Je suis enseignant et je tiens à vous demander de parler des affront dont les enseignants sont victimes : dévalorisation des heures de travail, à ce jour le non-paiement des heures supplémentaires des mois de février, mars, avril et mai.

Nous avons le moral au plus bas et nombre de mes collègues envisagent de plus en sérieusement la solution de l’exil.