20/01/2012 (B639) Radio-Trottoir : émeute à Ali Sabieh ! Pour manifester contre le non paiement des salaires … De nombreuses arrestations parmi les jeunes et les femmes « ouvrières » (Lecteur)

Selon des sources bien informées, la ville d’ALI-SABIEH aurait été placée en état de siège par les militaires stationnés dans les
camps militaires d’ALI-SABIEH .

Cela ferait suite à une action des
femmes qui sont employées dans la fabrication et le taillage des briques
rouges et qui se seraient revoltées parce qu’elles n’auraient pas reçu leur légtitime rémunération alors qu’elles ont travaillé pendant trois mois pour le comptedu commissaire de la ville d’ALI-SABIEH.

Les briques sont utilisées pour construire la nouvelle villa d’Ismaël Omar Guelleh à ALI-SABIEH et aussi par
des entreprises de construction .

Ces femmes victimes, accompagnées de jeunes, auraient investi la
maison du commissaire et on aurait noté des dégradations après leur passage. Le commissaire
aurait été evacué "in extremis" par des forces de polices debordées par la
foule en colere.

Il aurait été fait appel aux forces armées pour disperser la foule. On signale des arrestations massives.

Bilan provisoire :

200 personnes en majortié des jeunes et des femmes auraient été interpellées et auraient été placées en
detention arbitraire.

La lutte continue et la victoire est proche.

19/12/2011 (B635) Radio-Trottoir. Le SDS sur Twitter ????

Selon plusieurs observateurs, le SDS s’afficherait sur Twitter, via ce que certains considèrent comme son émanation : Djibouti24.

Djibouti24, qui s’affirmait être un site indépendant, à l’origine via son site Internet, avait tenté de créer sa notoritété en dénonçant une « soi-disant » censure (censure organisée par le pouvoir ?), dont il aurait été victime à Djibouti.

Immédiatement après les élections, le site avait cessé d’émettre, se limitant à envoyer des messages pervers et trompeurs sur FaceBook, ce qu’ont dénoncé de nombreux lecteurs.

Nos correspondants à Djibouti disent que les messages courts envoyés par Djibouti24 sur Twitter pour effrayer les populations sur les risques d’un « carnage » à Arhiba, auraient certainement pu avoir un impact auprès de certains manifestants potentiels : impact cependant relativement limité, quand on découvre l’ampleur de la participation sur les photos.

Il est grand temps d’informer tous les opposants et les sympathisants de l’opposition sur la perversité de Djibouti24, qui ne serait qu’une cellule de désinformation pilotée par le SDS.

03/12/2011 (B633) Radio-Trottoir et Alerte : les rats continuent à quitter le navire Guelleh en perdition et ils privilégient les pays de l’Europe du Nord où nos correspondants les démasquent pour informer les services de l’immigration, afin qu’ils n’obtiennent pas le statut d’exilé sur la base de fausses déclarations.(Article illustré par Roger Picon le 4/12 à 16h30 Paris)

Nos correspondants en Suède sont en alerte.

1°) Hassan, l’un des neveux du Général Zakaria Sheikh Osman, chef adjoint de l’état-major des armées, s’est présenté en Suède pour solliciter l’asile politique en se faisant passé pour un réfugié somalien.

Dès que nous avons localisé le camp de réfugié où il se trouve actuellement (à Göteborg, la deuxième ville du pays), nous avons informé les services suédois de l’immigration en leur communiquant sa véritable identité et ses liens avec les tenants de la dictature djiboutienne.

2°) Aujourd’hui nous avons appris que Mohamed Garad Mahamoud Haid, un neveu de Kadra Mahaoud Haid (la Paulette !) vient d’atterir lui aussi en Suede et qu’il cherher à obtenir l’asil’ politique dans la région de Småland. Dès que le camp où il a été envoyé aura été identifé, une information sera envoyée aux services suédois de l’immigration.

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Je recommande à la diaspora d’être vigilante, chacune et chacun dans son pays d’accueil (en particulier, Suède, Norvège, Danemark et Finlande) pour identifier ces faux réfugiés, qui ont contribué à vider le pays de sa substance et qui prétendent bénéficier aujourd’hui des droits qui sont réservés à leurs victimes.

Je demande à l’ARDHD d’établir un réseau de surveillance et de nous aider à communiquer toutes les informations concernant les déplacements de ces menteurs qui croient pouvoir tromper les services de l’immigration des pays d’accueil, privant les vrais réfugiés des places auxquels ils pourraient prétendre.

01/12/2011 (B632) Non « l’Arlésienne » n’est pas prêt à aller se faire tuer en Somalie (Humour ARDHD)

Milieu août de cette année, lors de la visite « éclair » qu’il avait rendu à son homologue le Président ONU-désigné de la Somalie (pardon, le terme « chef de l’un quartier de Mogadiscio », serait probablement plus juste), pour apporter 30 tonnes de médicaments (selon l’enquête menée par LTL, ce serait plutôt 30 tonnes d’armement), Guelleh avait annoncé l’envoi d’un corps expéditionnaire djiboutien pour renforcer les troupes étrangères sur place : essentiellement Burundi et Uganda.

Il faut croire qu’il n’avait pas bien préparé son dossier ou qu’il n’a plus la mainmise, qu’il croyait avoir, sur l’Armée djiboutienne… Car aucun contingent djiboutien constitué n’est parti pour prendre position dans les rues de Mogadiscio.

Il ne faudrait pas en déduire que Guelleh soit resté les bras croisés : consciencieusement, pesant le pour et le contre, il a couché exclusivement sur le papier, après une sélection impitoyable, tous les noms de ceux qui le dérangeaient et des tribus qui lui rendaient la vie plus difficile que les autres…

Mais pendant tous ces atermoiements, les Kenyans et les Ethiopiens n’ont pas chômé de leurs côtés. Quand on sait que leurs athlètes sont les meilleurs du moment sur les grandes distances, nous n’avons pas été étonnés qu’ils distancent largement les forces djiboutiennes au point de rencontre. Ils sont arrivés en Somalie bien avant les Djiboutiens (qui ne sont pas encore partis) et ils ont pu établir leurs têtes de pont.

Se seraient-ils organisés aussi en vue de repousser la violente offensive djiboutienne ? Rien ne permet même de le supposer !

Pendant ce temps IOG, qui avait le plus grand mal à trouver des cadres qui acceptent de conduire ce petit contigent jusqu’à Mogadiscio, a du utiliser son charme personnel « et trébuchant », faire miroiter des gains financiers et faire à ces officiers des promesses qu’il ne tiendra jamais : peu importe puisqu’ils le savent. En dépit des pronostics pessimistes, il a quand même réussi à constituer un petit état-major de campagne.

Le problème, c’est que les troupes (hommes du rang et sous-officiers), choisis et désignés par Guelleh, ont bien compris qu’on les envoyait froidement et impitoyablement à la mort et certainement pas pour une cause glorieuse … Pour ceux qui tomberaient là-bas, ce ne sera pas « morts au champ d’honneur », mais plutôt « morts pour rien dans un immense bourbier » …

Qu’ont fait alors ces militaires ?

Nombre d’entre eux se sont sauvés, préférant être portés déserteurs, que morts pour une cause indéterminée. Pendant que les zouaves de la garde rapprochée de Zakaria et de Fathi couraient d’un côté après les fuyards pour en rattraper un, ils en perdaient dix de l’autre côté.

Il faut conserver en mémoire que les militaires djiboutiens se sont déjà fait berner dans la sombre histoire « tordue » de Doumera et qu’ils ont bien l’intention de ne pas renouveler l’expérience ni de participer à un nouveau désastre annoncé…

Moralité : le contingent qui devait partir en Octobre n’est pas parti. On a repoussé la date à novembre. Nous sommes en décembre et toujours rien.

Certes, Guelleh a du déjà encaisser le premier acompte sur la subvention offerte par l’UA aux pays qui envoient des troupes à Mogadiscio … mais cet acompte, s’il a été versé, est un acompte à fond perdu pour l’UA … qui n’aura d’autres ressources que de le passer en « profits et pertes ».

Car Guelleh prend tout, mais il ne rend jamais rien.

Il promet tout, mais il ne tient jamais rien, etc…

Cela prouve plusieurs choses :

  • D’abord que ni Guelleh, ni ses généraux d’opérette comme Fathi ou Zakaria, n’arrivent plus à se faire obéir des militaires,
  • Que les militaires djiboutiens ont bien compris où était le piège et qu’ils n’ont pas l’intention de s’y faire prendre,
  • Que Guelleh a encore perdu la face aux yeux des instances internationales : d’ici à ce que S&P ou Moody’ dégradent sa note personnelle en la passant de « perspective instable » à « perte totale du contrôle de la situation sans espoir de retour à l’équilibre », il n’y a pas loin…..

    Quelqu’un pourrait-il nous dire si ces agences de notation peuvent donner des notes négatives ? Dans ce cas Guelleh pourrait avoir le « -3A » : -A-A-A?

30/11/2011 (B632) Radio-Trottoir. La reconnaissance prochaine du Somaliland par Djibouti.

Selon des sources fiables, nous apprenons que Guelleh devrait reconnaître la république du Somaliland, probablement demain ou dans les jours qui viennent.

Il est trop tôt pour prévoir les conséquences. Les avis des lecteurs seront certainement très partagés, entre approbation et soulagement et critiques acerbes.

La République du Somaliland n’est probablement pas encore un véritable état de droit, mais elle a le mérite d’avoir institué une zone de calme dans une région en totale effervescence et pratiquement incontrôlable à l’heure actuelle : la Somalie, avec des interférences de toutes natures : religieuses, mafieuses, étrangères (Burundi, Ouganda, Kenya, Ethiopie et USA sans parler des puissances qui interviennent probablement mais avec discrétion, comme la France ou l’Angleterre).

Quelle va être la réaction des puissances occidentales qui refusent toujours de reconnaître la République du Somaliland ? (A suivre)

26/11/2011 (B632) Radio-Trottoir : les salaires n’ont pas été payés …

Selon nos correspondants les salaires des fonctionnaires n’auraient pas encore été versés. Les banques auraient déclaré que ce serait fait ce dimanche ???

Probablement IOG attend que Total lui paye la rançon qu’il a fixé à plus de 204 millions d’Euro, (soit l’équivalent approximatif de sept années de location pour la base militaire française ….) pour payer les salaires.

Comme il n’y a plus un sou disponible dans le trésor : (les derniers détournements ont été faits, soit par la fille de Guelleh qui s’est enfuie en France, soit avec la complicité (Hélas !) d’Ilyas, dans la caisse des retraites.), Guelleh a trouvé la parade en taxant Total pour se refaire de l’argent de poche

22/11/2011 (B631) Radio-Trottoir : Arrestation de plusieurs dignitaires religieux à Djibouti et confiscation de leurs symboles religieux ?

Un lecteur nous signale que six dignitaires religieux qui s’étaient réunis pour prier et pour échanger, auraient été violemment arrêtés par la gendarmerie de Guelleh, dont les hommes auraient même saisi les symboles religieux : encensoir, encens, etc…

17/11/2011 (B630) Radio-Trottoir : règlement de compte par Djibouti24 interposé ? (Courrier des lecteurs – L’Association des Jeunes djiboutiens propose des pistes pour identifier les commanditaires – A vérifier)

Djib24 : le ministre de la justice, sponsor du Djibouti24 ?

Après investigation, l’Association des jeunes Djiboutiens a révélé qu’Ali Farah Assoweh et son porte pélerine, Cheiko, étaient derrière DJIB24, qui diffuse des informations avec la complicité d’Hassan Said, le chef redouté de la sécurité djiboutienne (SDS) .

Il a été constaté que Djib24 n’adressait jamais aucune critique contre Hassan Said ni Djama, le procureur, qui entretiennent des liens privilégiés avec Ali Farah Assoweh.

Pour discréditer le Ministre des finances qui est très loin d’être « un ange », Ali Farah, à travers son journal de choux, multiplie les critiques à son encontre. A un point tel qu’Ilyas Doualeh pourrait légitimement se demander quel camp, il sert … !

Pour preuve : on sait qu’Ahmed Kaiseh le directeur de la CNSS est brouillé avec la sœur d’Ali Farah, directrice adjointe de la CNNS ; que Djama, le nouveau Ministre l’est avec Fadoul, un cousin d’Ali Farah. Comme par hasard, ils sont systèmatiquement pris pour cible par Djib24.

Grâce à ses sponsors, Djib24 a la possibilité de mettre en ligne l’ordre du jour du conseil des ministres, avant même sa tenue. Ce ne peut-être qu’avec l’aide d’Ali Farah car il est d’usage que les ministres soient destinataires de l’ordre du jour, la veille du conseil des ministres.

En conclusion, on peut assurer, avec une très faible marge d’erreur possible, qu’Ali Farah et ses obligés utiliseraient leur site Djib24, pour régler leurs comptes personnels..