13/11/04 (B272) Question d’un lecteur :  » Pour quelles raisons, avez-vous mis 48 heures pour rétablir la consultation du site de l’ARDHD ? « 

Merci, Cher lecteur, pour
votre question, qui montre l’intérêt que vous portez, comme de
nombreux lecteurs à notre publication, puisque vous êtes plus
de 1.800 en moyenne à le consulter chaque jour.

Le site de l’ARDHD est
hébergé par une société professionnelle qui est
extrêmement sécurisée. Une sauvegarde est effectuée
deux fois par jour, ce qui garantit la sécurité des données
et des archives, qui représentent un capital fort précieux.

L’incident grave est d’origine
matérielle. D’après les informations dont nous disposons la
société d’hébergement a été dans l’obligation
d’installer un équipement de réserve et de le remettre en ligne,
après avoir rétabli tous les paramètres, ce qui prend
du temps.

En ce qui concerne plus
spécifiquement le contenu de l’ARDHD, il faut savoir que c’est plus
de 7.000 articles en ligne et 4.000 photos ! Cela représente un important
volume de données à télécharger. De plus, il a
été nécessaire de s’assurer que la majorité des
liens étaient bien actifs (Quelques erreurs peuvent encore subsister).
En ce moment, nous vous confirmons que tous les articles ont été
remis en ligne. Nous aurons terminé à la fin du week end, le
rechargement de toutes les photos, des fichiers son et des fichiers video,
qui sont les plus volumineux.

Nous tenons à rassurer
tous les Djiboutiens qui estiment que nos archives pourraient avoir un rôle
à jouer dans l’avenir, tant au titre de la mémoire que s’il
s’avérait nécessaire de les fournir à un Tribunal pénal
qui aurait à juger les dirigeants pour crimes et crimes contre l’humanité
: les données sont sauvegardées et archivées chaque jour
avec le plus extrême soin.

Une deuxième copie
est envoyée simultanément sur un autre serveur, dont le lieu
est tenu secret pour des raisons évidentes de sécurité.
Comme nous l’avions déclaré, il y a quelques jours à
peine, nous considérons que ces données font partie du patrimoine
du Peuple djiboutien et nous nous engageons à les lui remettre au lendemain
de la libération de l’Etat.