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16/11/2015 (Brève 519) Alwihda : Djibouti : Un nouveau souffle ! 20 Novembre 2015. Ça passe ou ça casse. (Par Nidal Mahmoud Ibrahim)

Lien avec le site : http://www.alwihdainfo.com/Djibouti-Un-nouveau-souffle-_a25157.html

Les attentats tragiques de Paris ont occulté la dernière sortie de l’U.S.N. à Djibouti. Une étape historique a été franchie. L’accord cadre du 30 décembre 2014 semble (ENFIN!) définitivement enterré, face à l’entêtement du chef de l’état.

En réponse, me semble-t-il, à «la marche de soutient au 4° mandat» du R.P.P., que d’aucuns ont qualifié de «marche de la honte», l’U.S.N. organisera donc une grande mobilisation nationale le 20 novembre 2015.

L’U.S.N. se jette finalement dans la bataille !

Quels sont le risques pour l’U.S.N. dans ce bras de fer engagé? Une alternative s’offre à l’U.S.N.

1) Le choix de la sécurité ou le retrait de dernière minute Pour rappel, lors de son dernier discours de l’AID, le chef de l’état comme d’habitude a fixé clairement le cap: aucune expression en dehors de la sienne bien-sûr, ne sera tolérée avant 2016. Le ministre de l’intérieur pourrait alors interdire ce rassemblement sous des prétextes fallacieux. Malheureusement, on a été trop habitué à ce genre de menace.

Et l’U.S.N. se couchera avant même l’heure fatidique, et le combat cessera faute de combattants ! Et comme d’habitude, l’U.S.N. hurlera sur les réseaux sociaux, prendra à témoin les Djiboutiens et la Communauté Internationale sur le manque de liberté, certains passeront sur les médias internationaux pour déclamer leur rage et leur impuissance, justifiant leur faiblesse par leur amour de la paix et de la raison. Mais le résultat sera définitif: L’U.S.N. cédera et perdra toute crédibilité. A ce stade de notre histoire, ce serait « Echec et Mat»

2) Le choix du courage et de la responsabilité. Quelque soit la réponse du pouvoir en place, la mobilisation est maintenue. Évidemment, cette option est plus risquée, surtout avec les jusqu’au-boutistes en face. Ce régime fera tout pour perdurer, mais l’U.S.N. en est conscient. Envoie des forces de l’ordre, arrestations des leaders et des sympathisants, provocations, heurts, et peut-être même plus, avec comme chefs d’accusations: «troubles à l’ordre publique, association de malfaiteurs, appel à l’insurrection, et pourquoi pas, connivence avec l’ennemi Érythréen!»

A part (et c’est déjà beaucoup) quelques jours ou quelques mois d’incarcération, quelques coups, l’U.S.N. n’a rien à perdre, au contraire. Les Djiboutiens ne sont pas idiots, et la Communauté Internationale non plus. Tout le monde sait qui joue avec la paix et la sécurité pour perdurer, refusant systématiquement toute avancée démocratique, bafouant les droits humains, piétinant la justice sous prétexte de sauvegarder la stabilité. Personne n’est dupe. Le combat de l’U.S.N. si combat il y a, fera œuvre de salubrité publique. L’U.S.N. sera le sauveur de la Nation.

Accepterez-vous le combat et les coups qui vont avec, messieurs de l’U.S.N.?

L’avenir de notre nation ne mérite-t-il pas quelques sacrifices? Surtout de la part de ceux qui veulent être ses futurs dirigeants? Parce que si vous êtes à la tête de cette manifestation, le peuple vous suivra. Sans contrainte, sans khat, sans argent, mais avec la certitude d’un avenir plus serein Les manifestations de vendredi 13 ont suscitées l’espoir. On sent un nouveau souffle sur Djibouti.

Ne décevez pas! Faites que le 20 novembre 2015 devienne le jour 1 de l’an 1 de notre renaissance.

08/10/09 (B519) Le Journal de la Flibuste (6 articles en Français)

________________________________ 6 – AFP

Les amiraux de 100 pays se plongent dans la piraterie et le réchauffement

De Paola MESSANA

Lutte contre la piraterie et changement climatique sont au menu du 19e sommet des puissances maritimes qui réunit à partir de mercredi plus de cent pays dont la Russie –mais pas la Chine– dans une base navale américaine à Newport (Rhode Island, nord-est).

En guise de bienvenue, le secrétaire américain à la Marine, Ray Mabus, a plongé son auditoire d’amiraux au coeur d’une des conséquences de l’évolution climatique.

"Alors que l’Arctique sera bientôt ouvert une grande partie de l’année, les étudiants des écoles navales vont vivre dans un monde nouveau", a observé M. Mabus, qui s’exprimait devant ce forum qui se déroule durant trois jours dans l’enceinte du "US Naval War College", un centre de formation pour officiers de carrière situé sur une base navale.

"Il faut prendre acte des conséquences sur la sécurité mondiale qu’a le changement climatique, et participer à la recherche de sources alternatives d’énergie pour les flottes", a-t-il dit.

L’amiral Gary Roughead, commandant en chef de la Marine américaine, s’est lui attaqué au problème de la piraterie qui se pose avec une acuité particulière ces derniers mois, surtout au large de la Somalie où des flottes de plusieurs pays tentent de protéger la navigation.

"La lutte contre la piraterie dans le golfe d’Aden est un exemple sans précédent de coopération, qui doit être étendue à des secteurs comme l’environnement et la lutte contre les trafics, qu’il s’agisse de de stupéfiants ou de trafic d’êtres humains", a-t-il dit devant une audience d’officiers en uniformes kaki, bleus, ou blancs selon leurs pays de provenance, aux épaulettes décorées d’étoiles.

"Vous êtes les spécialistes de vos régions et vos concours sont précieux", a-t-il lancé aux représentants des 101 pays présents. "Notre tâche est de chercher ensemble les moyens de relever les graves défis qui se présentent à nous et d’unir nos forces pour sauvegarder la paix et la sécurité au XXIe siècle".

"La piraterie est loin d’être le seul exemple (de collaboration) efficace", a souligné de son côté Ray Mabus, évoquant la coopération entre marines sud-américaines et européennes dans la localisation et la destruction de cargaisons de stupéfiants.

Dans un message vidéo, la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton a souligné "qu’aucun pays n’a les capacités de faire face toute seule aux défis".

Outre la Russie, le Cambodge, le Vietnam, les Maldives ou encore la Guyane participent pour la première fois à ce forum, inauguré en 1969 en pleine Guerre froide avec une quarantaine de pays "du monde libre", puis élargi après la chute de l’Union soviétique à un éventail toujours plus large de nations.

La Chine, invitée, a décliné "pour des raisons non précisées", et des pays comme l’Iran n’ont pas été conviés, a précisé l’amiral Roughead. La Libye, elle aussi sur la liste des invités, s’est désistée à la dernière minute, a-t-on précisé au service de presse.

________________________________ 5 – AFP

Un navire de commandement français attaqué par des pirates somaliens

Des pirates somaliens ont attaqué par méprise dans la nuit de mardi à mercredi au large des côtes de la Somalie le navire de commandement des forces militaires françaises dans l’océan Indien, qui a fait prisonnier cinq assaillants.

Le Bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) La Somme a été pris à parti par des pirates vers "01H00 locale à 250 milles nautiques (460 kilomètres) au large des côtes somaliennes", a annoncé l’état-major des armées à Paris.

L’incident a eu lieu alors que "La Somme faisait route vers des frégates de l’opération (européenne de lutte contre la piraterie) Atalante pour les ravitailler".

Selon l’état-major français, "les pirates, qui, trompés par l’obscurité, ont pris le bâtiment français pour un navire de commerce, étaient à bord de deux embarcations et ont ouvert le feu à la Kalachnikov".

La Somme a alors "pris en chasse l’une des deux embarcations qui s’est immobilisée après une heure de poursuite, l’autre parvenant à prendre la fuite".

A bord, les militaires français ont trouvé cinq hommes mais ni armes, ni eau, ni même nourriture, les assaillants ayant "tout jeté par-dessus bord".

"Il n’y a pas de blessé, ni côté français ni côté somalien" et les cinq assaillants présumés étaient encore "retenus" mercredi à la mi-journée à bord de La Somme, toujours selon l’état-major.

Une source occidentale naviguant dans la zone a confirmé ces informations, faisant cependant état "d’échanges de tirs" entre le navire français et les embarcations pirate.

Un des esquifs "a réussi à s’échapper à la faveur de la nuit et du fait que La Somme était occupé avec le premier bateau pirate".

"Malgré l’arrivée d’autres bâtiments, ils n’ont pas encore réussi à trouver le deuxième", a expliqué cette même source, précisant que d’autres vaisseaux de guerre dans la zone était déjà "occupés à retrouver les pirates qui ont attaqué dimanche un cargo à 100 milles nautiques au nord de l’île Denis (archipel des Seychelles)".

La Somme, un imposant pétrolier-ravitailleur de 160 mètres de long, accueille actuellement à son bord l’état-major de l’amiral commandant les forces navales françaises, mais aussi terrestres et aériennes, de l’océan Indien (Alindien).

Cet état-major participe ainsi à la "Task Force 150", volet naval de l’opération américaine "Enduring Freedom" de lutte contre le terrorisme déclenchée après les attentats du 11 septembre 2001.

Il a également commandé les opérations conduites pour libérer des équipages de navires français pris en otages par des pirates somaliens, comme celui du voilier Le Ponant en avril 2008.

Il ne s’agit pas de la première attaque visant un bâtiment militaire français. Début mai une frégate de la marine nationale avait déjà été prise pour cible, par méprise, par des pirates somaliens. Plusieurs d’entre eux avaient également été faits prisonniers.

Cet incident illustre de nouveau la reprise des actes de piraterie au large des côtes somaliennes depuis la fin de la mousson et le retour à une mer calme.

Il fait suite à la capture vendredi d’un thonier espagnol, l’Alakrana, avec 36 marins à son bord.

Les pirates somaliens détiennent actuellement 4 navires étrangers et 134 marins, selon l’ONG environnementaliste Ecoterra International, qui suit les questions de piraterie dans le Golfe d’Aden et l’océan Indien.

Fin avril, au plus fort de leurs attaques, les pirates retenaient jusqu’à une vingtaine de bateaux. Toujours selon Ecoterra, 172 navires ont été pris d’assaut depuis début 2009 –dont 49 ont été capturés–, avec au moins neuf attaques par erreur sur des navires de guerre en patrouille.

_______________________________ 4 – Romandie News avec AFP

Un navire de commandement français attaqué par des pirates somaliens

Le navire de commandement des forces militaires françaises dans l’océan Indien, La Somme, a été attaqué par des pirates somaliens dans la nuit de mardi à mercredi, cinq assaillants étant faits prisonniers, a-t-on appris auprès de l’état-major des armées à Paris.

"L’attaque est survenue vers 01H00 locale à 250 miles nautiques (460 kilomètres) au large des côtes somaliennes alors que La Somme faisait route vers des frégates de l’opération (européenne de lutte contre la piraterie) Atalante pour les ravitailler", a expliqué l’amiral Christophe Prazuck, de l’état-major, interrogé par l’AFP.

Selon lui, "les pirates, qui, trompés par l’obscurité, ont pris le bâtiment français pour un navire de commerce, étaient à bord de deux embarcations et ont ouvert le feu à la Kalachnikov".

La Somme, a-t-il poursuivi, a alors "pris en chasse l’une des deux embarcations qui s’est immobilisée après une heure de poursuite, l’autre parvenant à prendre la fuite".

A bord, les militaires français ont trouvé cinq hommes mais ni armes, ni eau, ni même nourriture, a expliqué l’amiral Prazuck, selon lequel les assaillants "ont tout jeté par-dessus bord".

"Il n’y a pas de blessé, ni côté français ni côté somalien" et les cinq assaillants présumés étaient encore "retenus" mercredi à la mi-journée à bord de La Somme", a-t-il encore indiqué.

La Somme, un pétrolier ravitailleur, accueille actuellement à son bord l’état-major de l’amiral commandant les forces navales françaises, mais aussi terrestres et aériennes, de l’océan Indien (Alindien).

Cet état-major participe ainsi à la "Task Force 150", volet naval de l’opération américaine "Enduring Freedom" de lutte contre le terrorisme déclenchée après les attentats du 11 septembre 2001.

Il a également commandé les opérations conduites pour libérer des équipages de navires français pris en otages par des pirates somaliens, comme celui du voilier Le Ponant en avril 2008.

Il ne s’agit pas de la première attaque visant un bâtiment militaire français. Début mai une frégate de la marine nationale avait déjà été prise pour cible, par méprise, par des pirates somaliens. Plusieurs d’entre eux avaient également été faits prisonniers.

___________________ 3 – LCI

Somalie – Un navire militaire français attaqué par des pirates

La Somme, un navire militaire français, a été attaqué par des pirates somaliens dans la nuit de mardi à mercredi. Plusieurs assaillants ont été faits prisonniers.

Le navire amiral des forces navales françaises déployées dans l’océan Indien, La Somme, a été attaqué par des pirates somaliens dans la nuit de mardi à mercredi, plusieurs assaillants étant faits prisonniers. L’attaque est survenue à 250 miles nautiques (460 kilomètres) au large des côtes somaliennes "alors que La Somme faisait route vers des frégates de l’opération (européenne de lutte contre la piraterie) Atalanta pour les ravitailler", a expliqué l’état-major.

Selon lui, "les pirates, qui, trompés par l’obscurité, ont pris le bâtiment français pour un navire de commerce, étaient à bord de deux embarcations et ont ouvert le feu à la Kalachnikov". La Somme a alors "pris en chasse l’une des deux embarcations qui s’est immobilisée après une heure de poursuite, l’autre parvenant à prendre la fuite". A bord, les militaires français ont trouvé cinq hommes mais ni armes, ni eau, ni même nourriture, a expliqué l’amiral Prazuck, selon lequel les assaillants "ont tout jeté par-dessus bord". "Il n’y a pas de blessé, ni côté français ni côté somalien" et les cinq assaillants présumés étaient encore "retenus" mercredi à la mi-journée à bord de La Somme, a-t-il encore indiqué.

La Somme, un pétrolier ravitailleur, accueille actuellement à son bord l’état-major de l’amiral commandant les forces navales françaises, mais aussi terrestres et aériennes, de l’océan Indien (Alindien). Cet état-major participe ainsi à la "Task Force 150", volet naval de l’opération américaine "Enduring Freedom" de lutte contre le terrorisme déclenchée après les attentats du 11 septembre 2001.

Il a également commandé les opérations conduites pour libérer des équipages de navires français pris en otages par des pirates somaliens, comme celui du voilier Le Ponant en avril 2008. Il ne s’agit pas de la première attaque visant un bâtiment militaire français. Début mai une frégate de la marine nationale avait déjà été prise pour cible, par méprise, par des pirates somaliens. Plusieurs d’entre eux avaient également été faits prisonniers.

___________________ 2 – Ria Novosti (Russie)

L’OTAN veut coopérer militairement avec la Russie (porte-parole)

La Russie et l’OTAN doivent renforcer leur coopération militaire, a déclaré mardi le porte-parole de l’Alliance James Appathurai au cours d’un duplex organisé par RIA Novosti.

"Il faut intensifier la coopération en Afghanistan, dans la lutte contre le terrorisme et la piraterie, ainsi que dans le domaine militaire", a indiqué M.Appathurai.

"Il y a des domaines où nous pouvons unir davantage nos efforts, notamment celui de la lutte contre la piraterie. La lutte contre la piraterie est un problème qui intéresse les deux parties (la Russie et l’OTAN). La coordination des efforts peut s’avérer utile pour tout le monde (…). Il est possible que l’on en discute dans le cadre du Conseil Russie-OTAN", a-t-il ajouté.

Selon l’ONU, plus de 120 attaques de pirates contre des cargos et autres navires civils ont été enregistrées au large de la Corne de l’Afrique en 2008. Une coalition des forces navales de 16 pays lutte actuellement contre les pirates somaliens.

Evoquant les relations entre la Russie et l’Alliance atlantique, le porte-parole a souligné la nécessité d’"élever le niveau des échanges politiques" et de créer une atmosphère constructive de coopération.

___________________ 1 – Afrique Avenir avec APA

Espagne: mise en détention inconditionnelle de deux pirates somaliens

Un juge espagnol a décrété la mise en détention inconditionnelle de deux pirates somaliens ayant participé, vendredi dernier, au détournement du thonier espagnol Alakrana au large de la Somalie, a appris mardi APA de source judiciaire à Madrid.

Les deux pirates somaliens, Abdu Willy et Raagegeesey, arrêtés dimanche à l’aube par la marine espagnole, alors que le bateau et ses 36 marins étaient toujours aux mains d’autres pirates, sont accusés de 36 délits de détention illégale (un délit pour chaque marin pris en otage), vol avec violence et usage d’armes à feu.

Arrêtés par des militaires espagnols peu après avoir quitté le thonier à bord d’un petit bateau, les deux pirates ont été transférés en Espagne ou le juge anti-terroriste Baltasar Garzon a ouvert une procédure judiciaire contre eux.

Le thonier espagnol Alakrana avait été capturé vendredi dernier dans l’Océan indien entre la Somalie et les Seychelles, par des pirates somaliens. Il mouille actuellement face aux côtes somaliennes, sous la surveillance de deux frégates, une espagnole et une française, qui participent à l’opération européenne antipiraterie "Atalante".

08/10/09 (B519) Yémen Express (3 articles en Français)

___________________________ 3 – Le Figaro avec AFP

29 rebelles tués au Yémen

Les combats entre l’armée yéménite et les rebelles zaïdites chiites se sont poursuivis dans le nord, a annoncé aujourd’hui l’armée en faisant état de la mort de 29 rebelles ces dernières 24 heures.

Douze rebelles ont péri hier dans des affrontements dans le secteur de Harf Soufyane, à quelque 70 kilomètres au nord de la capitale Sanaa, et les autres lors de différentes opérations dans la province de Saada, plus au nord. L’armée a également annoncé avoir détruit cinq camions chargés d’explosifs destinés aux rebelles dans la province de Saada, un fief de la rébellion situé à 240 km au nord de Sanaa.

Ces opérations font suite à une visite du chef de la Ligue arabe, Amr Moussa, venu hier à Sanaa porteur d"idées" sur les moyens de résoudre le conflit entre le gouvernement et les rebelles chiites qui s’affrontent depuis près de huit semaines après le lancement d’une nouvelle offensive de l’armée. M. Moussa a défendu l’unité du Yémen et affirmé, après avoir rencontré le président Ali Abdallah Saleh, que ce dernier était ouvert au dialogue avec tous les Yéménites.

___________________________ 2 – EuroInvestor

Les Etats arabes soutiennent l’unité du Yémen, selon Amr Moussa

Amr Moussa, secrétaire général de la Ligue arabe, a assuré mardi que les Etats membres de l’organisation soutenaient l’unité du Yémen, qui est en proie à une rébellion chiite au nord et à des troubles sécessionnistes au sud.

L’Arabie saoudite, grand voisin du Yémen, et les Etats-Unis craignent que le conflit du Nord et les fréquents affrontements dans le Sud ne provoquent une instabilité propice à l’ancrage d’Al Qaïda, qui a redoublé d’activité depuis deux ans.

La Ligue arabe « affirme son soutien à l’unité, à la sécurité et à la stabilité » du Yémen, a déclaré Amr Moussa après une rencontre avec le président yémenite Ali Abdallah Saleh.

Il s’est refusé à évoquer une éventuelle médiation de la Ligue dans les deux zones troublées, se bornant à dire: « La voie à emprunter est celle d’un dialogue national exhaustif. »

Les Etats arabes modérés de la région redoutent que l’Iran ne prenne pied au Yémen via les rebelles chiites Zaydis, qui se plaignent de discrimination religieuse.

Téhéran dément toute ingérence mais exhorte Sanaa à régler pacifiquement son conflit avec les rebelles, qui a fait des centaines de morts et des dizaines de milliers de réfugiés depuis le mois d’août.

A Radfane, dans la province méridionale d’Abyane, des centaines de manifestants ont défilé mardi pour réclamer que les Etats arabes protègent l’ancien Yémen du Sud, réunifié en 1990 avec le Yémen du Nord.

Les habitants du Sud se plaignent d’être marginalisés par le Nord, alors que c’est leur région qui recèle l’essentiel des ressources pétrolières du pays.

(Mohamed Soudame,
version française Marc Delteil)

_____________________________ 1 – AFP

Yémen: manifestations indépendantistes pour réclamer le soutien de la Ligue Arabe

Des milliers de Yéménites ont manifesté mardi dans trois villes du sud du pays pour demander au secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa, attendu à Sanaa, d’appuyer leur demande de sécession.

Plus de 10.000 personnes selon des habitants joints par téléphone -20.000 d’après des militants sudistes- ont défilé dans la ville de Dhaleh, à 220 km au sud de Sanaa, brandissant des drapeaux de l’ex-Yémen du sud et des banderoles réclamant "l’appui de la Ligue arabe à notre demande d’indépendance du sud".

"Moussa, appuie la libération du sud", scandaient les manifestants.

Des manifestations similaires rassemblant plusieurs milliers de personnes se sont également déroulées dans les villes d’Abyan et d’Habilein, dans la province de Lahej, selon des témoins.

Le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, est attendu à Sanaa mardi après-midi pour des discussions avec le président Ali Abdallah Saleh portant notamment sur la situation dans le nord du pays, où l’armée fait face à une rébellion zaïdite, une branche du chiisme.

Le sud du Yémen est lui en ébullition depuis des mois sur fond de revendications politiques et sociales, ses habitants estimant faire l’objet de discriminations de la part des nordistes et ne pas bénéficier d’une aide économique suffisante. Certains appellent ouvertement à la sécession du sud, qui formait un Etat indépendant avant 1990

08/10/09 (B519) Nouvelles de Somalie (4 articles en Français)

___________________________ 4 – IRIN News (ONU)

SOMALIE: Les Etats-Unis élaborent de nouvelles conditions d’aide

Le gouvernement américain va fixer des conditions spéciales d’attribution de ses aides pour au moins 13 organisations humanitaires travaillant en Somalie.

Cette mesure pourrait permettre le dégel de millions de dollars d’aide humanitaire bloqués en raison des règles antiterroristes américaines.

Selon un rapport du Bureau pour la Coordination des Affaires Humanitaires des Nations Unies (OCHA) publié en août, le gel des fonds américains affecte l’aide alimentaire et d’autres opérations d’aide en Somalie.

« Il est vrai que certains fonds ont été gelés en attendant la décision du Bureau du Trésor américain pour le contrôle des avoirs étrangers [US Treasury’s Office of Foreign Assets Control, OFAC] », a dit Russell Brooks, attaché de presse pour le département d’État, à IRIN par courriel.

Maintenant toutefois, « l’USAID [Agence des États-Unis pour le développement international], l’État et le Trésor sont parvenus à un accord qui permettra aux programmes humanitaires d’aller de l’avant, en attendant que les partenaires consentent à se conformer à une série de conditions qui doivent être fixées pour chacune des subventions », a indiqué M. Brooks.

Mesures antiterroristes

Selon certaines sources humanitaires, les délais [d’attribution des aides] ont commencé plus tôt cette année lorsque des fonds de l’USAID destinés à la Somalie ont été bloqués par l’OFAC, chargé d’appliquer les règles antiterroristes américaines et d’autres sanctions.

Au sud et au centre de la Somalie, de vastes territoires sont aux mains de groupes armés considérés comme des terroristes par les États-Unis. Tout comme les Nations Unies, l’Union africaine (UA) et l’Union européenne (UE), Washington soutient le fragile gouvernement fédéral de transition (TFG). Le pays dans son ensemble n’est pas soumis aux sanctions américaines.

L’USAID, l’État et les départements du Trésor semblent avoir trouvé une solution pour poursuivre l’attribution des aides en toute légalité, sans aller à l’encontre des sanctions décrétées contre des groupes ou des individus, notamment le groupe islamiste somalien Al-Shabab.

« C’est Al-Shabab, et non pas la bureaucratie américaine, qui menace de refuser aux Somaliens l’aide humanitaire dont ils ont un besoin urgent », a déclaré M. Brooks.

Parmi les organisations affectées par les retards des financements USAID figurent des agences des Nations Unies et des ONG.

La nature de la « série de conditions » proposée n’a pas été précisée.

Au cours de l’année fiscale américaine 2008, l’USAID a fourni 319 millions de dollars (dont 274,2 millions d’aide humanitaire et alimentaire) à la Somalie. En 2009, elle a apporté 189 millions de dollars d’aide humanitaire.

« Nous sommes inquiets de la situation en Somalie et déterminés à apporter notre soutien au peuple somalien », a ajouté M. Brooks. « L’USAID continuera de revoir ses politiques et ses procédures pour apporter son aide à la Somalie. Dans le cadre de ce processus, nous nous assurerons que ces politiques respectent les lois américaines destinées à éviter le soutien potentiel à des groupes terroristes ».

Réponses

Préoccupé par les récents rapports sur les fonds gelés, le gouvernement somalien a pressé les organisations œuvrant en Somalie d’apporter leur aide à toutes les populations affectées par la sécheresse et aux personnes déplacées, indépendamment de qui ils sont et d’où ils vivent.

« La politique du gouvernement [TFG] est d’encourager tous nos partenaires à apporter leur aide à l’ensemble de la population, peu importe où ils vivent », a dit le ministre de l’Intérieur, Sheikh Abdulkadir Ali Omar, à IRIN.

« Le gouvernement est en guerre avec Al-Shabab, pas avec le peuple somalien… Nous ne voulons rien faire ou prôner qui puisse ajouter aux souffrances de notre peuple ».

D’après Timothy Othieno, un analyste de conflits basé à Londres, les politiques prévoyant l’attribution d’aides uniquement aux régions contrôlées par le gouvernement sont vouées à l’échec et peuvent avoir des conséquences non voulues.

« Elles peuvent s’avérer contre-productives, notamment pour gagner le cœur et l’esprit des personnes déplacées et des Somaliens en général », a-t-il ajouté. « Psychologiquement, elles peuvent donner aux insurgés l’occasion de justifier leur opposition au TGF et à ses alliés ».

Asha Sha’ur, activiste et membre de la société civile somalienne, a fait remarquer que les personnes déplacées n’avaient pas choisi de vivre là où elles vivent. « Je pense que la plupart d’entre elles vous diront qu’elles veulent rentrer à la maison », a-t-elle expliqué. « Elles n’ont pas choisi qui contrôle leur région. Si elles l’avaient fait, je suis certaine que plusieurs de ces groupes ne seraient pas là. »

Selon les Nations Unies, la Somalie est confrontée à la pire crise humanitaire depuis 18 ans. Environ 3,8 millions de personnes – soit près de la moitié de la population – ont besoin d’aide. Selon le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR), le nombre de déplacés qui ont fui les combats entre les forces du gouvernement et deux groupes d’insurgés islamistes aurait atteint plus de 1,5 million.

_____________________________ 3 – AFP

Ouganda: remise en liberté du ministre somalien arrêté mardi à Kampala

Le secrétaire d’Etat à la Défense du gouvernement de transition somalien, arrêté mardi à Kampala par les services de sécurité ougandais, a été remis en liberté mercredi, a-t-on assuré de source officielle.

"Il est maintenant un homme libre d’aller où il veut", a indiqué à l’AFP le porte-parole de l’armée ougandaise, le lieutenant-colonel Felix Kulayigye.

En visite privée à Kampala, le secrétaire d’Etat somalien et vice-ministre à la Défense, Youssuf Mohamed Siad "Indho Ade", avait été interpellé mardi en fin d’après-midi par des membres des services de sécurité ougandais.

Mardi soir, les responsables de ces services n’avaient donné aucune explication à cette arrestation, qui avait suscité des rumeurs d’enlèvements au sein de la petite communauté somalienne de Kampala.

Puissant chef de guerre de Mogadiscio et ex-responsable des Tribunaux islamiques (au pouvoir en 2006), Youssuf Mohamed Siad "Indho Ade" est l’un des hommes forts du gouvernement de transition somalien (TFG), menacé par les insurgés islamistes et soutenu par la communauté internationale.

"Nous avions des informations selon lesquelles quoi il y avait un dissident somalien de passage. Avec une conférence des pays d’Afrique de l’Est sur la sécurité et le jour de l’indépendance, il y a de nombreux dignitaires en ville et nous devions être en alerte", a expliqué le porte-parole de l’armée.

"Nous avons été informés de la présence de ce monsieur en Ouganda. Nous avons enquêté et nous l’avons suivi. Peu après son arrestation, il a été très vite identifié (…)", a ajouté le lieutenant-colonel Felix Kulayigye.

Le ministre somalien est entré en Ouganda par la route, en provenance du Kenya. "Il aurait dû venir par avion et nous informer officiellement de sa présence".

L’Ouganda compte un contingent d’environ 2.500 soldats au sein de la force de paix de l’Union africaine en Somalie (Amisom), déployés à Mogadiscio en soutien au TFG.

_____________________________ 2 – Swiss. info (Ch)

Interpellation à Kampala d’un ministre somalien

Un membre du gouvernement somalien a été interpellé mardi par les services de renseignements ougandais alors qu’il était en visite à Kampala, a-t-on appris de source officielle ougandaise. Il s’agissait d’une mesure de sécurité de routine.

Le secrétaire d’Etat somalien à la Défense, Youssuf Mohamed Siad "Indho Ade", a été "appréhendé par les services de sécurité de l’Etat ougandais", a annoncé à l’AFP le chef des renseignements militaires, le général James Mugira.

Puissant chef de guerre de Mogadiscio et ex-responsable des Tribunaux islamiques (au pouvoir en 2006), Youssuf Mohamed Siad "Indho Ade" est l’un des hommes forts du gouvernement de transition somalien (TFG), menacé par les insurgés islamistes et soutenu par la communauté internationale.

L’Ouganda compte un contingent d’environ 2500 soldats au sein de la force de paix de l’Union africaine en Somalie (Amisom), déployés à Mogadiscio en soutien au TFG.

______________________________ 1 – AFP

Le ministre somalien de la Défense enlevé en Ouganda

Le ministre somalien de la Défense a été enlevé à Kampala, la capitale de l’Ouganda, a annoncé un porte-parole du gouvernement somalien.

Il a précisé que le ministre de la Défense, Youssouf Mohamed Siad, avait été enlevé mardi alors qu’il sortait d’une mosquée.

La Somalie est un des pays les plus violents du monde. Son gouvernement tente de contenir une puissante insurrection. Quelque 5.000 soldats de la force de maintien de la paix de l’Union africaine surveillent les principales installations du gouvernement dans la capitale. Mais le groupe insurgé islamiste al-Shabab contrôle une grande partie du reste du pays.

07/10/09 (B519) La LDDH souffre avec le peuple Guinéen


Le Président

DIFFUSION  D’INFORMATION DU 6 OCTOBRE2009

La LDDH souffre avec
le peuple Guinéen

La Ligue Djiboutienne des Droits Humains (LDDH) souffre avec le Peuple de Guinée et avec « l’UIDH exprime son entière solidarité à toutes les victimes et apporte son soutien agissant à l’Organisation Guinéenne des Droits de l’Homme (OGDH) et à toutes les Forces Vives de Guinée dont elle salue le courage et le sens de l’action pour les libertés et la Démocratie en Guinée ».

NOEL ABDI Jean-Paul

______________________________ UIDH

DECLARATION DE L’UIDH DU 30 SEPTEMBRE 2009

L’UIDH condamne fermement la répression sanglante perpétrée par la junte militaire en Guinée sur les populations civiles et exprime sa profonde indignation face aux actes de violence d’une extrême brutalité qui ont coûté la vie à des centaines d’innocents.

L’UIDH dénonce les viols et les actes d’humiliation subis par des femmes et des jeunes filles au cours de cette répression.

L’UIDH rappelle son attachement indéfectible aux principes démocratiques et condamne la volonté de confiscation du pouvoir par la junte militaire du CNDD avec à sa tête Moussa Dadis Camara.

L’UIDH exprime son entière solidarité à toutes les victimes et apporte son soutien agissant à l’Organisation Guinéenne des Droits de l’Homme (OGDH) et à toutes les Forces Vives de Guinée dont elle salue le courage et le sens de l’action pour les libertés et la Démocratie en Guinée.

LUIDH Invite la CEDEAO, l’Union Africaine, les Nations Unies et tous les militants des droits de l’Homme à poursuivre leurs interventions pour mettre un terme à ce régime de fait et garantir à la Guinée une transition apaisée devant aboutir à des élections libres et transparentes.

L’UIDH demande que la Communauté Internationale en particulier la CEDEAO, l’Union Africaine et les Nations Unies exercent une pression sur la junte militaire afin qu’il soit mis en place une commission internationale indépendante chargée de faire la lumière sur ces actes criminels dont les auteurs doivent être poursuivis et punis par la justice.

Bamako, Ouagadougou, le 30 Septembre 2009

Le Président
Maître Brahima Koné

07/10/09 (B519)  Point de vue, au sujet de l’information sur la réunion des partis politiques au sein de l’Ambassade américaine à Djibouti (Information donnée à l’origine par notre représentant sur place, puis reprise dans un extrait audio BBC en Somali)

________________________ Point de vue d’un lecteur
(Ce point de vue n’engage que son auteur et ne saurait refléter les orientations ni de l’ARDHD et de son équipe, ni de ses lecteurs. De son côté l’ARDHD craint que cette démarche (bien intentionnée à l’origine ?), ne soit récupérée par l’équipe direigeante pour assurer la continuité de la domination des partis de la majorité, au détriment de l’opposition, sous le couvert d’apparences démocratiques trompeuses, sponsorisées par les USA ).

Les representants des USA ont placé les responsables politiques djiboutiens, qui gouvernent au pied du mur, à savoir que le seul avenir pour Djibouti est de s´engager dans la voie de la démocratie, du droit et de la justice.

Je pense qu´ils (les représentants US) ont donné d’emblée une prime à la démocratie car les Djiboutiens(nes) sont avides de changement, pour impulser  un nouvel ordre politique.


Selon leurs habitudes, les Etats Unis d´Amerique ont fait preuve d’originalité, de perspicacité politique et de pédagogie pour soutenir, encourager et aider un peuple qui en a bien besoin.


A mon avis, c’est une décision très forte qui fera date dans l’histoire.

07/10/09 (B519) The report Deberkalleh (continued – 11 -) End of the Socio-Economic Analysis IV. Analysis on Regional Policy



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Complaint filed with the Attorney Ethiopia for the murder of old people and children to Guerrissa Afar and the surrounding communities (related article – 2005)

(Link – 2005)

(… Continued 12)
This automatically leads:

1. Education Nationale

  • A grossly inadequate number of classroom teachers who every year is growing more and more.
  • A large number of disgruntled teachers who leave the country for exile ( France, USA, Canada, Belgium).
  • A quality education national decline and seriously jeopardizes the future of the country.

A considerable number of students each year, one way or another are taken out of school, college or high school because the infrastructure is inadequate to accommodate the same time students of the year and of course the following year.

2. For Work

  • The existence of any policy and any general plan and rationale for providing the labor force.
  • The existence of an unimaginable rate of unemployment of over 70% of the workforce each year and, again, is growing over the last the life of thousands of schoolchildren, schoolboys and students.
  • The abuse of employees by employers, knowing that protected, do not even bother to pretend to respect the laws and labor regulations.
  • The increase of corruption and "slavery" in the department where the nationals of the nomenklatura are fortunate to obtain work.
  • Others when they have to accept what is (if still here and we doubt it), whatever their specialization and their level of study.

3. For National Health

  • The health situation of the most devastating because it is completely corrupt and disorganized.
  • Officials demobilized by the harmful practices of personal enrichment of their leaders and policy makers that sell personal capacity the few drugs and materials received in international aid.
  • Insufficient and inadequate health facilities for all people who no longer has the means to heal in private.
  • Significant decrease of life expectancy of Djibouti with the impossibility of finding ways to protect and care for themselves against all sorts of opportunistic diseases (AIDS, STDs, tuberculosis, cardiovascular diseases …)

Indeed today some ways Djibouti (10%) seek treatment in Ethiopia (Dire-Dawa and Addis Ababa), other fortune (5%) will go to get medical treatment in Saudi Arabia, The UAE (Dubai ) or Europe (France, Belgium, Germany, USA, England …) and the remaining majority (85%) of Djibouti live somehow with the system "D" to survive.

To conclude on this aspect of things serious, he should know that while most people are daily faced with these challenges leaders and their clients live well, very well.

There is no doubt for us that such a situation can not only continue but was mostly not allowed to take the understanding that, currently existing national resources are able, if a policy of socio-economic just is implemented to satisfy all the needs of the population. But we doubt that much because we see that since the takeover by IOG, the situation is getting worse every day a little more.

IV. Analysis on Regional Policy

The Republic of Djibouti, after gaining its independence in 1977, is committed, like other sovereign states of the world, to embrace the ideas contained in the major international conventions and compliance with bilateral and multilateral she spent with some of these statements.

Having thus been considered, from there, as a state underground, full member of the UN, OAU, Igaad and many other major international organizations, and it was his duty to ensure , first, to respect and safeguard the sovereignty of other states and particularly those of neighboring countries with which it shares not only borders but also with whom she should maintain good neighborly relations of borrowings climate of peace and trust.

Unfortunately, however, a brief observation of the reality of the Djiboutian diplomacy current, immediately highlighted the hypocrisy, duplicity and interventionism that characterized the mercantilist concept of inter-state plan that runs this country.

Indeed, the regime headed by an absolute master IOG, retains and conventions, international agreements already signed and ratified on behalf of the nation Djiboutian that the points of law that suits which coincide with its interests.

This means that it retains only what contributes to helping to continue to apply its design tyrannical governance of a country and a people. That is all that will promote the enrichment of its leaders and, what is its willingness to participate megalomaniac who follows his desire to play at all costs a leading role in the region.

This way of being diplomatic Djiboutian government that many international observers have already noted is aggravated by the ambition of the individual whose decisions and actions on this plane, inevitably lead to interventionism illegal direct or indirect, in the internal affairs of countries in the region.

The negative attitude of this man, who uses the resources and prerogatives of a state, and popular beliefs, cultural and religious backgrounds of different communities in the region to promote his concept illogical and unreasonable to the regional reality, not only participates to maintain the chaotic state which is reflected in our sub-region.

But also creates and creates antagonisms between the different communities in one country or part to draw a population against its democratically elected leaders.

Generally, for him the latter case applies when the leaders of these countries do not meet his expectations and refuse their commitments or decisions, of being manipulated to share its design and direction of regional policy. This way of being the policy of this character out clearly the ordinary course of interstate relations, it seems important to understand, before further analysis, the reasons behind such pronouncements which erode regional balance.

After review and while remaining on a global level, it seems timely and appropriate to note that this behavior Qualifiable of harmful and dangerous to the entire Horn of Africa and more particularly Djibouti, must have a dual motivation from its instigator. These two motivations can be formulated as follows:

1) The certainty and the Djiboutian leader will be or do anything to become the sole and inescapable Somali Authority, empowered to express and resolve the current problems of this community.

Belonging to the latter and the high opinion he has of himself to push themselves as the only valid interlocutor to deal with the way the hopes and the difficulties that community, as everyone knows, is scattered in four (4) countries of the subregion.

So to reconcile the scattered over several countries and will be the backbone of the will of all Somalis, IOG must not only ignore the reality of existing state borders, but also do everything to endorse his views, to design the various leaders and strongmen Somalis already on the ground and when it is impossible to ensure to switch off or liquidate pure and simple.

This approach can be seen in his handling of the crisis of the former Somali Republic. Since the beginning of the crisis in that country, he demonstrated a desire for a more pathological than willing, at all costs, avoid men, important in resolving this crisis as Mr. Husayn Aideed , General Morgan and Mr. President Abdillahi Yusuf he called lords and war criminals.

That said, this point is a question that would benefit our readers to ask and which could, again, be formulated as follows:

Why I.O.G. would be the backbone of the will of all Somalis regardless of their country? … and especially to deal with any threat? … What good wins t.il? …

Regarding this analysis, there is no doubt that all the maneuvers of this man on this aspect, refer only to Ethiopia and its regional interests.

How else to explain qu’IOG, leaving the historic and special relationship with that country, has been working to find allies on the side of Arab extremists and corrupt (example: Bassist regime of former dictator Saddam Hussein whose It was a big supporter) and radical Islam in general.

2) A historic and religious (false in our view), qu’IOG represents or uses and combines his personal ambitions at the regional level to an expansionist interests of certain Arab Islamists.

The latter, following and enforcing the letter of the philosophical and religious principles of Wahhabism and Islamist movements like tablik philosophies and other fundamentalist Saudi Arabia and Pakistan, advocating an Islamic war clean and hard, see the sub-region Horn of Africa as a zone of preferential expansion of backward design and aggressive Islam.

In fact, one such association, lucrative and beneficial for both parties is the most logical thing especially taking into account the lure and attractiveness of the gain that characterizes so deeply the personality of the Djiboutian leader. One consequence of this association is that we have seen develop over time and years to install more and more important ideas and principles of fundamentalist Islam in Djibouti whereas before this country was characterized by a traditional and tolerant Islam.

This state of affairs has not been smooth and without opposition from traditional religious authorities who have attempted to counter these new Islamic doctrines.

But that was hardly lost, as these new philosophies and religious scholars who represented them were fully supported and promoted by IOG that although only Chief of Staff at that time did not represent less absolute power of the state.

And this organization is still relevant because it continues with just a few adjustments to make it less obvious to the regional and international opinion. That is why supporters and propagators of these religious fundamentalist philosophies now directed to the Director of the Office of IOG Mr. Ismail Tani and sometimes some of his intimates as Mr. Hachi Abdillahi (Hachi the big mouth) for the promotion and performance of their projects both in Djibouti, Somalia or elsewhere in the region.

In fact this region is the point of contact between different religions is viewed by fundamentalists and other Muslim fundamentalists in their war against the USA in particular, as an area conducive to not only carry out some of their operations but also to make preparations attached to them while having on-site logistics, protection and discretion necessary to IOG.

In conclusion to this entry in this chapter, we can already see that whatever the motivations, interests and desires expressed through the interference and the questioning of the regional balance, it is clear and proves that not only the regional political system of Djibouti to take an important role but also participates actively in ways that really have nothing to do with the normal principles of interstate diplomacy.

From there and to provide our readers with "Friends" can get a deeper understanding on the regional reality that affects us all very closely, we propose to perform a more localized and more detail on communities, countries and organizations concerned by this situation.

06/10/09 (B519) FreeDjibouti -> GUELLEH : le Pinocchio de Djibouti.

Par FreeDjibouti

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Quand Guelleh cessera-t-il de mentir aux Djiboutiens?

Il ment comme il respire comme on le qualifie maintenant à l’intérieur du pays. Après les millions de fausses promesses qu’il avait vociférées mais qui n’ont jamais vu le jour, maintenant c’est par un nouveau slogan que Guelleh veut berner les Djiboutiens à savoir la construction d’un pont entre l’Afrique et l’Asie.

Monsieur le Président-policier, les Djiboutiens ont des problèmes plus urgents et plus aigus que la construction d’un pont ou autre projet bidon qui ne verra d’ailleurs jamais le jour.

Où sont l’eau potable et l’électricité ?

Comment un pays qui n’a pas de courant électrique va-t-il construire un pont dans un pays ou même la prospection n’est qu’à l’état embryonnaire ? Un pays ne se construit pas sur des fondations de promesses fallacieuses et vides mais à travers des actions concrètes. Vous avez trop promis et trop menti. Ce sont vos propres mensonges qui vont vous tuer car « trop de quoi que ce soit est toxique et tue ». Dans vos priorités de campagnes s’inscrivait l’électricité, ou on est-il maintenant depuis 10 ans?

Arrêter de promettre et faites voir ce dont vous êtes capables à travers des réalisations visibles qui vont dans le sens de l’amélioration des conditions de vie des Djiboutiens. Voilà 10 ans, vous avez replongé Djibouti et cela plus profondément dans le marasme du chaos économique et social, à cause vos turpitudes, de votre manque de responsabilité faisant courir le pays d’un risque d’instabilité chronique, le tout sous le danger de guerre civile à cause de votre couteau dans la plaie ethnique.

La vie est devenue plus chère qu’avant votre nomination et les Djiboutiens sont devenus plus divisés à cause de votre politique sournoise d’exclusion. Pourtant à votre élection truquée, tous les espoirs étaient permis, tellement les promesses étaient belles et mirobolantes.

Mais quelle n’a pas été la désillusion des Djiboutiens quand le pseudo libérateur a instauré un système politique qui est la copie parfaite du régime de Gouled et une politique de gouvernance pire que celui-ci, qu’il devrait être l’antidote.

Plutôt que de représenter les intérêts de la population djiboutienne dans son ensemble, un Président, incapable d’offrir aux Djiboutiens ce qu’ils cherchent, le vrai changement, joue au roi au profit de quelques politiciens à la recherche du pouvoir par raccourci. Le Gourou Guelleh s’est entouré d’une intelligentsia ou plutôt d’une « Mafia » dangereuse dont les adeptes sont aveuglés par un certain culte de divinité du pouvoir pour eux.

La pathologie de Guelleh, entraînera Djibouti vers des répressions sanglantes bien pires avec des guerres psychologiques qui laisseront des traces indélébiles dans la fracture sociale du pays car l’exclusion, le clientélisme politique, la gabegie et la terreur psychologique érigés en système de gouvernement par ses hommes de main ne feront qu’alimenter de conflits et contribuer ainsi à créer une instabilité chronique dans le pays. Guelleh a crée un environnement incertain pour cette jeunesse djiboutienne désœuvrée.

Pour tout Djiboutien encore lucide, Djibouti donne aujourd’hui l’image d’un bateau ivre et sans repère. Le pays est un véritable désert économique, maintenu sous-perfusion par les dons étrangères, peuplé de mendiants et de délinquants au col blanc.

Le Tribalisme, la concussion, la gabegie, l’enrichissement facile et illicite, les nombreux détournements impunis des biens et deniers publics, etc.…, sont devenus de véritables sports nationaux dans notre pays.

Djibouti sous Guelleh, est plus que jamais un pays parmi les plus misérables de la planète, mais en plus, Djibouti est classée à la tête du championnat du ridicule et de la connerie.

Guelleh s’est quadrillé de fonctionnaires guidés par des ambitions carriéristes, plus enclins à se remplir les poches, qu’à créer les conditions du décollage économique effectif de leur patrie.

Aujourd’hui quel est le choix pour le peuple djiboutien ?

Pendant 32 ans, la majorité du peuple s’est rendue complice d’une minorité qui ne regarde son nombril.

Face à cette situation inextricable qu’est ce que le peuple de Djibouti doit faire pour s’en sortir ?

Si les Djiboutiens continuent à observer ce mutisme coupable, cela reviendra à opter mutuellement à fond de leurs corps défendant pour le suicide collectif. Ce serait mourir à petit feu sans s’en apercevoir.

C’est ainsi que, chaque Djibouti et Djiboutienne lucide, épris de paix et guidé par un désir collectif de bonheur, se doivent de dénoncer cette situation.

Si cette situation n’est pas corrigée et cela dès maintenant avant qu’il ne soit trop tard, le sang risquera de couler. Les Djiboutiens patriotes guidés par l’amour du pays et notamment les « soldats », l’armée étant le premier symbole de la souveraineté d’un pays, doivent tout faire pour épargner, sauver le pays de ce carnage qui risque d’être inévitable.

Les djiboutiens ne doivent pas accepter que leurs compatriotes meurent comme des mouches à cause de l’irresponsabilité, de l’incompétence ainsi que de l’inconscience des dirigeants plus enclins à se remplir les poches qu’à créer les conditions du développement social durable comme c’est le cas de Guelleh aujourd’hui.

L’histoire demandera aux djiboutiens des comptes, ainsi vos enfants !

Il est urgent que chaque Djiboutien s’arrête un temps soit peu court, pour s’interroger sur sa part de responsabilité dans cette incurie que vit le pays.

Le moment n’est plus aux discours lénifiants encore moins la diarrhée verbale décousue de sens d’un Président qui cherche le pouvoir coûte que coûte.

L’heure est à l’action et à l’engagement total et courageux de tout un peuple longtemps humilié. Si les Djiboutiens ne changent pas leurs pensées et leurs actions, ils ne réussiront jamais à changer le pays.

Ce serait une honte nationale si ce refrain de paresse physique et intellectuelle continue à dominer encore les Djiboutiens au point de refuser le changement. Ce serait aussi une infamie à tous les Djiboutiens s’ils refusent de tirer les leçons de ce passé tumultueux et pathétique de leur pays.

Ce serait aussi un déshonneur collectif si demain on ne cite pas le Djiboutien en exemple d’unité, de dignité et de travail. Cela traduirait ainsi une démission collective. Les vrais maux qui gangrènent le pays sont connus de tous. C’est le moment de se ressaisir. Il faut que les Djiboutiens arrêtent de vivre imaginairement de la conviction qu’ils ne sont capables de rien.

Dans quel tiroir poussiéreux de l’oubli, les Djiboutiens ont-ils rangé la réputation de leur pays, j’adis considéré comme le pays des Braves?

Le patriotisme qui est rien d’autre que le sang lié à la terre natale, doit pousser les vrais patriotes du pays à tout faire pour que les Djiboutiens se réapproprient leur pays qui depuis longtemps est devenu une propriété familiale. Il ne faut pas laisser Djibouti entre les mains de Guelleh. Il (Guelleh) n’est pas là pour aider Djibouti à développer, mais plutôt pour s’enrichir et enrichir ses adeptes.

Aujourd’hui et plus que jamais la patrie appelle chaque Djiboutien pour faire son droit et devoir pour sauver le pays. Depuis des années les ancêtres du pays observent, non sans avoir honte les errements de tout un peuple.

Les Djiboutiens vont-ils mériter la dignité de leurs ancêtres ou au contraire continuer à bêler comme des moutons et à rejeter la responsabilité de leurs malheurs sur les autres. Il n’y a vraiment plus d’anathèmes qui tiennent.

Lève toi fils et filles de Djibouti et réponds a l’appel de tes aïeux pour sauver le pays.

Je suis optimiste que le jour viendra et cela dans une très proche future quand le peuple de Djibouti se lèvera comme un seul homme encore une fois, pour reprendre sa dignité et dire non au régime dégradant, méprisant et honteux qu’incarne Guelleh.

Nous devons tous croire à l’avenir de Djibouti malgré la tempête politique qui s’y annonce car le pays attend de sa jeunesse, de chaque citoyen, d’accomplir la tâche sacrée de la libération et la reconquête de la vraie indépendance du pays, de sa vraie souveraineté et de sa dignité. Dans cette bataille entre le mal et le bien, justice sera faite.

Malgré l’humiliation que le peuple de Djibouti subi pendant 32 ans, un jour viendra où le peuple dira que trop c’est trop et plus jamais cela.

Que Dieu sauve ma patrie et mon peuple de ses sanguinaires. Amen !

FreeDjibouti

freedjibouti@windowslive.com

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